Souvenirs, souvenirs …Au XIIe siecle, au terme d'un terrifiant massacre, le Djinn, entite diabolique et collectionneuse d'ames, nee avant le monde, a ete emprisonne dans une opale de feu. Mais apres huit cents ans de sommeil voila qu'il reapparait a Los Angeles sous les traits du suave et sophistique Nathaniel Demarest. Il part a la recherche d'Alexandra Amberson, scientifique qui l'a delivre malgre elle. Il reve d'ajouter son ame a sa collection.
Eté 1997. Fête du cinéma.
J’ai seize ans et je vais voir Wishmaster (pour 10 francs).
Je le trouve con mais fun (un peu).
Depuis, je ne l’avais jamais revu … jusqu’à la semaine dernière.
Je voulais être sûr de ne pas être passé à côté d’une série B sympathique.
La réponse est sans appel : c’est NON
Le film est mauvais, sacrément.
Le concept, un brin E.C. Comics dans l’esprit, reste bien vu mais le résultat à l’écran est bidon.
C’est narrativement ridicule et visuellement cheap
Exception faite d’effets physiques signés KNB (le film est d’ailleurs réalisé par le « K », Robert Kurtzman), tout est à jeter.
Dans cet océan de trucs moisis, je retiens surtout :
- Un texte introductif ridicule lu par une voix menaçante (« La peur du Djinn ! »).
- Une interprétation à chier (ça pique).
- Une héroïne mentalement connectée avec le Djinn (Andrew Divoff ultra cabot) et qui couine comme un goret à chaque exaction de ce dernier. Répétitif et con
- Des effets numériques très … approximatifs.
Bref, c’est désolant mais c’est drôle (un peu).
Un nanar pur jus