Page 1 sur 1

Don't breathe (Fede Alvarez - 2016)

Posté : 31.12.2017 - 09:00
par dino VELVET
Image
Pour échapper à la violence de sa mère et sauver sa jeune sœur d’une existence sans avenir, Rocky est prête à tout. Avec ses amis Alex et Money, elle a déjà commis quelques cambriolages, mais rien qui leur rapporte assez pour enfin quitter Détroit. Lorsque le trio entend parler d’un aveugle qui vit en solitaire et garde chez lui une petite fortune, ils préparent ce qu’ils pensent être leur ultime coup. Mais leur victime va se révéler bien plus effrayante, et surtout bien plus dangereuse que ce à quoi ils s’attendaient …
Des films comme ça, j'en veux bien tous les jours ! :P

Voici une série B rudement efficace.

Simple et sans un pet' de gras.

C'est immersif à crever (on se prend parfois à respirer tout doucement ...), visuellement chiadé (mise en scène enlevée et belle photographie), violent et un peu tordu aux entournures.

Le film exploite parfaitement son pitch et balance régulièrement des rebondissements électrisants.

La topographie des lieux est parfaitement utilisée et l'aveugle joué par Stephen Lang est bien flippant :peur:

Le sous-texte social (Amérique post-crise, décor décrépit de Detroit) est le bienvenu sans jamais être trop envahissant.

Fede Alvarez nous offre donc un tour de train fantôme rondement mené.

J'ai passé un très bon moment :)

Re: Don't breathe (Fede Alvarez - 2016)

Posté : 31.12.2017 - 21:27
par Rockatansky
Le premier quart d'heure laissait augurer quelque chose de potable, après on tombe dans le grand n'importe quoi, le film s'enlise et nous plonge dans un ennui profond avec un Stephen Lang caricatural et des personnages principaux à baffer.

Re: Don't breathe (Fede Alvarez - 2016)

Posté : 01.01.2018 - 09:20
par dino VELVET
J'ai peut-être été bon public sur ce coup, mais ce qui m'a bluffé c'est que ...
Spoiler: Afficher
... jamais je n'ai remis en doute les capacités de l'aveugle. Et notamment celle de viser avec des armes à feu.


Pour moi, ça passe super bien. La suspension d'incrédulité fonctionne à fond.