It comes at night (Trey Edward Shults - 2017)

Tout ce qui concerne le cinéma...

Modérateur : dino VELVET

Répondre
Avatar du membre
dino VELVET
Tycoon
Tycoon
Messages : 11161
Enregistré le : 16.05.2003 - 22:23

It comes at night (Trey Edward Shults - 2017)

Message par dino VELVET »

Image
Alors que le monde est en proie à une menace terrifiante, un homme vit reclus dans sa propriété totalement isolée avec sa femme et son fils. Quand une famille aux abois cherche refuge dans sa propre maison, le fragile équilibre qu'il a mis en place est soudain bouleversé.


Un film qui carbure à la menace et au mystère.

Menace car il cultive une grosse sensation de danger, d’insécurité latente.

Mystère car il reste toujours très allusif en matière de background narratif.

Le résultat n’est pas déplaisant.

Disons que le long-métrage se suit avec intérêt mais manque quand même un peu de « matière » pour convaincre pleinement.

Quelque part, c’est davantage un huis-clos psychologique qu’un film purement fantastique.

J’ai bien aimé certains partis-pris couillus (non explication de pas mal de choses, ellipse audacieuse quand le personnage de Joel Edgerton part récupérer l’autre famille, …).

Des bonnes choses pour un résultat global pas tout à fait probant.

Un titre intéressant (par son minimalisme et sa suggestivité) mais assez frustrant au final … :idea:
"If you don't know Jurassic Park, you don't know shit"

"Il a les yeux blindés"

"Now I've got a machine gun ho ! ho ! ho !"

"Are you gonna bark all day, little doggie, or are you gonna bite ?"
Avatar du membre
Rockatansky
Tycoon
Tycoon
Messages : 13812
Enregistré le : 08.12.2002 - 13:52

Re: It comes at night (Trey Edward Shults - 2017)

Message par Rockatansky »

Encore un film "d'horreur" qui n'en est pas un, destiné aux non fans du genre, c'est un peu la spécialité d'A24. Le résultat se laisse regarder, même si on est plus dans le film de relation entre les personnages sans grande surprise ni beaucoup d'imagination.
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
Répondre