Découvert hier soir.Moyen Âge. Accusés de servir le Diable, les habitants d’un village sont massacrés par des chevaliers. Afin d’enrayer la propagation du mal, une église est érigée sur le charnier. De nos jours, lors des travaux de restauration qu’elle dirige, Lisa découvre un parchemin dissimulé dans la paroi des sous-sols de l’église. Elle s’empresse d’en faire part à Ewald, le nouveau bibliothécaire. Imprégné des théories de l’alchimiste Fulcanelli, Ewald, bien résolu à percer le secret du parchemin, va, bien malgré lui, réveiller des forces obscures et malveillantes … qui bientôt vont se déchaîner en se propageant à tous ceux présents dans l’édifice.
Un titre moyen mais sympathique.
Ce qui est plaisant (et amusant), c’est que Michele Soavi est toujours à fond
Jamais il ne va se reposer le temps d’une scène. Jamais il ne va signer un plan tranquille.
Non, le bonhomme va toujours chercher un angle biscornu, un mouvement d’appareil, un détail singulier à exploiter.
Un plan, une idée. Infatigable ritournelle soavienne.
Ça donne une mise en scène originale et très dynamique.
C’est, clairement, le principal intérêt du film à mes yeux
