Le deuxième classe Adrien Dufourquet est témoin de l'enlèvement de sa fiancée Agnès, fille d'un célèbre ethnologue. Il part à sa recherche, qui le mène au Brésil, et met au jour un trafic de statuettes indiennes.
La lecture récente de l’excellent 1000 vies valent mieux qu’une (l’autobiographie de Belmondo) m’a donné envie de (re)découvrir la filmographie du Monsieur.
Après le génial Un singe en hiver, je me cale un autre titre que je n’avais jamais vu : L’homme de Rio.
De celui-ci, j’ai bien aimé l’insouciance, la légèreté de ton. Le côté tintinesque (et pré-Indiana Jones aussi).
Et puis Belmondo (« Even the name is supercoolness » comme dirait Tarantino) est d’une physicalité impressionnante.
C’est un corps toujours en mouvement. Sur le sol, dans l’air, dans l’eau.
Une énergie folle, intarissable. Un bagout réjouissant aussi.
Bon, après, le film n’est pas forcément génial non plus mais j’ai passé un bon moment, c’est clair
