1984 : nouvelle ninjaterie cannonesque avec Ninja III.Abattu par la police à l’issu d’une traque infernale, un ninja survit à sa propre mort en se réincarnant dans le corps de Christie, une jeune femme qu’il transforme en tueur invulnérable. Objet d’une vengeance absolue, Christie remplit la mission que lui assigne le diabolique guerrier, jonchant son parcours de cadavres. Désormais, seul un autre ninja pourrait la délivrer du démon qui la hante.
Après, L'implacable ninja et Ultime violence, Mémé et Yoyo persistent et signent.
Avec son histoire de jeune femme possédée par l'âme d'un ninja, cet opus est de loin le plus débile du lot.
Le plus fun aussi
Au-delà de son côté nanardesque patenté, le long-métrage est aussi un pur concentré d'imagerie eighties.
Le chose possède presque une valeur documentaire sur ce qu'on pourrait appeler le look de l'époque (de toute façon, la Cannon, malgré ses torts nombreux, a toujours su prendre le pouls d'une période ...).
Ça vaut le jus
