Shadow hours
Modérateur : dino VELVET
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Shadow hours
il était une fois un petit DVD de cdiscount à faible prix qui m'ai passé par là et ouahhhhhh dejà le film reunissait Balthzar Getty (lost highway) et Peter Weller (ouahh )
pour vous faire une idée regardez la bande annonce que cdiscount a eu la bonne idée de mettre en ligne
http://www.cdiscount.com/newmag/webtv/d ... d=34122822
outre Shadow hours vous pourrez aussi regarder celle de Afliction, Albino alligator, Dead zone, 12 singes et classé X (le chouchou de DVDrama)
pour 5,70 euros ce serait dommage de rater un des meilleurs films de dvdy en tout cas une grosse surprise et merci à eux (pour une fois car svt ils sont méprisés)
pour vous faire une idée regardez la bande annonce que cdiscount a eu la bonne idée de mettre en ligne
http://www.cdiscount.com/newmag/webtv/d ... d=34122822
outre Shadow hours vous pourrez aussi regarder celle de Afliction, Albino alligator, Dead zone, 12 singes et classé X (le chouchou de DVDrama)
pour 5,70 euros ce serait dommage de rater un des meilleurs films de dvdy en tout cas une grosse surprise et merci à eux (pour une fois car svt ils sont méprisés)
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Je remonte ce topic d'outre-tombe suite à la vision de ce film ce soir. Je rejoins les avis précédents. En effet, il s'agit d'un film assez glauque (les scènes de piercings facials font mal ) mais au final je trouve le scénar assez classique (la descente aux enfers afin d'apprécier finalement ce à quoi on ne fait plus attention à force d'habitude) mais le casting et la concision du métrage (1h22 hors générique final) fait que l'on ne s'y ennuie pas (6/10).
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"We don't stop playing because we grow old;
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C'est fait .
Thème passe-partout :FAUST,le diable,la tentation ...
De là rien de neuf ,une vision clinquante ,voir proprette (images chocs ? )du mythe ,se jouant ici à Los angeles,terre d'accueil des anges et surtout des démons :mise en scène dépourvue de tout caractère faisant défiler à 100 à l'heure des décors urbains aux étranges lumières artifiçielles,des dizaines de visages,fatigués,fous,maltraités,soumis à d'étranges paradis artifiçiels ,le tout baigant dans une bouillie sonore technoide (sauf le Moby à la fin qui tombe bien),on nage dans la banalité...
Une scène fonctionne pourtant et promène sur le film un aura nouveau :le passage de la roulette russe (de Voyage au bout de l'enfer,jusqu'au récent Intacto,on a rarement fait mieux comme ressort dramatique),réel pouvoir d'impact et révelation surprenante ,le diable serait plus qu'un démon,un ange-gardien,barrière ultime à l'auto-destruction.
Seule vraie idée (mais bonne) qui permet au film de s'épanouir dans ses dernières minutes dans un étrange climat fantastique jusqu'à un dénouement des plus judiçieusement mystérieux .
Casting par ailleurs impeccable (hum jolie la Gayheart,toujours aussi planant et lunaire ce Getty,à nouveau halluciné le Douriif ,et impérialement insondable le Weller)qui constitue la grande forçe de ce film ;moyen de fait .
Thème passe-partout :FAUST,le diable,la tentation ...
De là rien de neuf ,une vision clinquante ,voir proprette (images chocs ? )du mythe ,se jouant ici à Los angeles,terre d'accueil des anges et surtout des démons :mise en scène dépourvue de tout caractère faisant défiler à 100 à l'heure des décors urbains aux étranges lumières artifiçielles,des dizaines de visages,fatigués,fous,maltraités,soumis à d'étranges paradis artifiçiels ,le tout baigant dans une bouillie sonore technoide (sauf le Moby à la fin qui tombe bien),on nage dans la banalité...
Une scène fonctionne pourtant et promène sur le film un aura nouveau :le passage de la roulette russe (de Voyage au bout de l'enfer,jusqu'au récent Intacto,on a rarement fait mieux comme ressort dramatique),réel pouvoir d'impact et révelation surprenante ,le diable serait plus qu'un démon,un ange-gardien,barrière ultime à l'auto-destruction.
Seule vraie idée (mais bonne) qui permet au film de s'épanouir dans ses dernières minutes dans un étrange climat fantastique jusqu'à un dénouement des plus judiçieusement mystérieux .
Casting par ailleurs impeccable (hum jolie la Gayheart,toujours aussi planant et lunaire ce Getty,à nouveau halluciné le Douriif ,et impérialement insondable le Weller)qui constitue la grande forçe de ce film ;moyen de fait .