A History of Violence - David Cronenberg - 2005
Modérateur : dino VELVET
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Que voulez-vous ? J'adore me faire désirer.
Bon, fini de déconner. Passons aux choses sérieuses.
Ce qui m'a le plus frappé dans ce film, c'est son aspect double. Comme la vie a ses bons côtés et ses mauvais côtés, comme une pièce a deux faces, ce film a deux visages, deux rythmes. On pourrait presque dire qu'il y a deux histoires, deux univers et deux galeries de personnages complètement distinctes. Alors qu'arrive-t-il lorsque tout ça se rencontre ?
Le pitch de base est simple : quelles conséqueces l'incursion de la violence dans la vie d'une ville et d'une famille sans histoire peut-elle avoir sur cette famille et sur son univers ?
On a droit, comme on en a l'habitude, à un traitement carré de la part de Cronenberg. Il ne prend pas de gants et va droit au vif du sujet.
Là où on découvre une ambiance légère, un endroit où il fait bon vivre et une famille heureuse et unie, il fait ensuite s'insinuer une aura malsaine du moment où Tom Stall prend en main son destin lors de la tentative de cambriolage de son restaurant. Dès lors, les évènements se déroulent dans un environnement de plus en plus poisseux et lourd.
Les acteurs sont tous très bons : Viggo joue très bien héros américain malgré lui dont la bravoure va lui causer quelques soucis, Maria Bello est magnifique (à la fois lumineuse et triste suivant les moments... mais surtout sexy en diable dans une certaine scène), Ed Harris glace le sang et William Hurt prouve qu'il peut très bien jouer des persos décalés.
Mais c'est franchement Viggo qui tire le plus son épingle du jeu. Il est le symbole de la dualité qui habite ce film et son charisme éclate littéralement à l'écran (ses confrontations avec Harris sont d'ailleurs assez géniales).
Un excellent moment.
7,5/10
Bon, fini de déconner. Passons aux choses sérieuses.
Ce qui m'a le plus frappé dans ce film, c'est son aspect double. Comme la vie a ses bons côtés et ses mauvais côtés, comme une pièce a deux faces, ce film a deux visages, deux rythmes. On pourrait presque dire qu'il y a deux histoires, deux univers et deux galeries de personnages complètement distinctes. Alors qu'arrive-t-il lorsque tout ça se rencontre ?
Le pitch de base est simple : quelles conséqueces l'incursion de la violence dans la vie d'une ville et d'une famille sans histoire peut-elle avoir sur cette famille et sur son univers ?
On a droit, comme on en a l'habitude, à un traitement carré de la part de Cronenberg. Il ne prend pas de gants et va droit au vif du sujet.
Là où on découvre une ambiance légère, un endroit où il fait bon vivre et une famille heureuse et unie, il fait ensuite s'insinuer une aura malsaine du moment où Tom Stall prend en main son destin lors de la tentative de cambriolage de son restaurant. Dès lors, les évènements se déroulent dans un environnement de plus en plus poisseux et lourd.
Les acteurs sont tous très bons : Viggo joue très bien héros américain malgré lui dont la bravoure va lui causer quelques soucis, Maria Bello est magnifique (à la fois lumineuse et triste suivant les moments... mais surtout sexy en diable dans une certaine scène), Ed Harris glace le sang et William Hurt prouve qu'il peut très bien jouer des persos décalés.
Mais c'est franchement Viggo qui tire le plus son épingle du jeu. Il est le symbole de la dualité qui habite ce film et son charisme éclate littéralement à l'écran (ses confrontations avec Harris sont d'ailleurs assez géniales).
Un excellent moment.
7,5/10
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