Alors que Michael arrive à Berlin pour rendre visite à Gabi, son ex-petite amie adorée, un terrible virus – transformant le commun des mortels en tueur sanguinaire – se propage rapidement à travers la ville. Michael, s’inquiètant de ne pas trouver Gabi chez elle, fait la rencontre d’Harper, un jeune apprenti plombier qui effectue des travaux dans l’immeuble. Ensemble, ils parviennent à se barricader tandis que des hordes contaminées par le virus envahissent les lieux. Cernés par ces zombies assoiffés, Michael et Harper doivent combattre pour défendre leur vie et il leur faudra user de toute leur ingéniosité pour survivre et retrouver Gabi.
Métrage également connu sous le titre Rammbock.
Sympa.
Typiquement le film qui fait beaucoup avec peu : une durée brève (62 minutes au compteur), un budget limité (200 000 dollars) et un tournage court (13 jours).
Rammbock en remontre d’ailleurs à bien des productions beaucoup plus thunées.
Posée de façon simple et en un rien de temps, l’ambiance apocalyptique fonctionne parfaitement.
Parmi les bons points à souligner :
- Un côté huis clos parfaitement géré. L’unique décor est exploité à merveille. Comme dans [REC], la progression narrative est intimement liée à l’exploration des lieux.
- Les règles qui régissent le phénomène de contagion et le comportement des infectés.
- Des personnages simples et crédibles.
- De l’émotion (le final !).
A l’arrivée, une bande horrifique simple mais concluante