Après avoir échappé de peu à la mort, Lisbeth Salander se retrouve immobilisée à l'hôpital, dans l'incapacité d'agir ... De nombreux chefs d'accusation pèsent toujours sur elle et la font placer en isolement par la police, dans une chambre jouxtant celle de son père, qui la hait et qui n'est guère en meilleur état qu'elle ... A l'extérieur, Mikael Blomkvist continue de mener l'enquête sans pouvoir avoir le moindre contact avec Lisbeth. Il ne tarde pas à mettre à jour certaines activités souterraines menées par les services secrets. Ce qui pourrait déstabiliser les hautes sphères de l'État mais surtout blanchir Lisbeth une bonne fois pour toutes.
Le moins bon du lot.
Cette fois, c’est juste moyen
Une suite directe du deuxième volet qui délaisse le polar pour lorgner davantage vers le film de procès.
Le résultat s’en ressent.
C’est moins palpitant, voire même très statique, à l’image du personnage principal (Lisbeth) qui passe bien 80 % du métrage dans une chambre d’hôpital.
Ça se laisse quand même voir dans la mesure où l’on s’est attaché aux personnages et qu’il y a deux / trois scènes qui valent le détour (l’exécution à l’hosto, la final dans l’usine désaffectée).
Sinon, c’est intéressant de voir comment toute la trilogie gravite autour du viol craspec du premier opus et comment la saga se désintéresse peu à peu de Blomkvist pour sa focaliser sur Salander (ce troisième volet est d’ailleurs une sorte de Lisbeth begins)
A l’arrivée, la trilogie vaut surtout pour son excellent premier opus. Le chapitre le plus intéressant, et de loin.