Un jeune migrant se fait tirer dessus alors qu'il traverse illégalement la frontière. Sous le coup de sa blessure, Aryan découvre qu'il a maintenant le pouvoir de léviter. Jeté dans un camp de réfugiés, il s'en échappe avec l'aide du Dr Stern qui nourrit le projet d'exploiter son extraordinaire secret. Les deux hommes prennent la fuite en quête d'argent et de sécurité, poursuivis par le directeur du camp. Fasciné par l'incroyable don d'Aryan, Stern décide de tout miser sur un monde où les miracles s'achètent.
J’avais plutôt bien apprécié le précédent effort de Kornel Mundruczo (White God) mais j’ai trouvé La lune de Jupiter passablement foiré.
C’est simple : le film est fait trop à tous les niveaux.
Trop de mise en scène (on dirait Alejandro Gonzalez Inarritu en train de se palucher).
Trop de pathos.
Trop de message social.
Trop de photographie grisâtre.
Trop de personnages pas attachants (les deux protagonistes principaux : un cynique cupide et un benêt volant).
Bref, une belle branlette pour Télérama and Co.
Raté.