Je suis en train de mater "KAIRO" (film jap') jen suis a 1h et quelques de films et je flippe pas mal a le regarder tout seul.....
il y a le même système "Ring-ien" avec la fille se couvrant le visage avec ses cheveux bref bien flippant en + ça tourne autours de l'informatique alors....
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2ème partie moins flippante..
Je n'ai pas compris a grand chose (pourquoi un avion se crash sur la ville ) bref beaucoup de questions...
Le film devient plus un film de reflexion que d'horreur c'est sur.....
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vince a écrit :Je suis en train de mater "KAIRO" (film jap') jen suis a 1h et quelques de films et je flippe pas mal a le regarder tout seul.....
il y a le même système "Ring-ien" avec la fille se couvrant le visage avec ses cheveux bref bien flippant en + ça tourne autours de l'informatique alors....
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2ème partie moins flippante..
Je n'ai pas compris a grand chose (pourquoi un avion se crash sur la ville ) bref beaucoup de questions...
Le film devient plus un film de reflexion que d'horreur c'est sur.....
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Trés réussis ce film ... des moment trés abgoissant ... plus réussis que Ring pour moi (que j'ai trouvé trés moyen) ... ne cherche pas forcément à expliquer les films ... ressent les.
Powered_by_HK a écrit :
Trés réussis ce film ... des moment trés abgoissant ... plus réussis que Ring pour moi (que j'ai trouvé trés moyen) ... ne cherche pas forcément à expliquer les films ... ressent les.
Belle phrase.........je comprends ce que tu veux me dire....Ce film est vraiment UNIQUE en tout cas .... (et dire qu'un remake est prévut "The Pulse" par Wes Craven,ça m'énerveeeeeeeee )
J'ai adoré Ring,j'ai beaucoup apprécier celui-là...Dans pas longtemps,j'attaque "Cure"
S’il s’inscrit dans la nouvelle vague japonaise de kwaidan-eiga (films de fantômes) débutée avec Ring, Kaïro se démarque cependant très nettement du film de Hideo Nakata. Certes, les deux œuvres ne sont pas sans entretenir certains rapports (notamment l’intrusion du fantastique dans un univers urbain résolument moderne), mais celle de Kiyoshi Kurosawa, plus désespérée, constitue à bien des égards une véritable métaphore sur une société japonaise en perte de repères ; une société au sein de laquelle sentiments de solitude et de désespoir vont croissant.Ainsi, les thématiques de l’aliénation (via Internet), de la mort (le suicide en particulier) et de la désolation sont-elles largement développées dans Kaïro.
C’est surtout par le biais du traitement des personnages que ces éléments transparaissent dans le métrage. Filmés avec retrait, parlant peu, tristes et désespérés, ils présentent tous un côté éthéré, fantomatique.
Pour ce qui est de la réalisation, Kiyoshi Kurosawa nous livre sans nul doute son plus bel ouvrage à ce jour, reprenant avec brio les éléments caractéristiques de son style : cadres dans le cadre (les portes fermées avec du ruban adhésif), décors froids et paysages de friche industrielle. A l’aide de procédés simples (flous, voix distordues, jeu sur la vitesse de l’image,…), le réalisateur nous offre de majestueuses apparitions de fantômes.
Indéniablement, Kaïro est un film moins effrayant que Ring mais c’est une œuvre qui transporte le spectateur dans un univers autrement plus étrange et envoûtant.
"If you don't know Jurassic Park, you don't know shit"
"Il a les yeux blindés"
"Now I've got a machine gun ho ! ho ! ho !"
"Are you gonna bark all day, little doggie, or are you gonna bite ?"
S’il s’inscrit dans la nouvelle vague japonaise de kwaidan-eiga (films de fantômes) débutée avec Ring, Kaïro se démarque cependant très nettement du film de Hideo Nakata. Certes, les deux œuvres ne sont pas sans entretenir certains rapports (notamment l’intrusion du fantastique dans un univers urbain résolument moderne), mais celle de Kiyoshi Kurosawa, plus désespérée, constitue à bien des égards une véritable métaphore sur une société japonaise en perte de repères ; une société au sein de laquelle sentiments de solitude et de désespoir vont croissant.Ainsi, les thématiques de l’aliénation (via Internet), de la mort (le suicide en particulier) et de la désolation sont-elles largement développées dans Kaïro.
C’est surtout par le biais du traitement des personnages que ces éléments transparaissent dans le métrage. Filmés avec retrait, parlant peu, tristes et désespérés, ils présentent tous un côté éthéré, fantomatique.
Pour ce qui est de la réalisation, Kiyoshi Kurosawa nous livre sans nul doute son plus bel ouvrage à ce jour, reprenant avec brio les éléments caractéristiques de son style : cadres dans le cadre (les portes fermées avec du ruban adhésif), décors froids et paysages de friche industrielle. A l’aide de procédés simples (flous, voix distordues, jeu sur la vitesse de l’image,…), le réalisateur nous offre de majestueuses apparitions de fantômes.
Indéniablement, Kaïro est un film moins effrayant que Ring mais c’est une œuvre qui transporte le spectateur dans un univers autrement plus étrange et envoûtant.
Belle critique...
MOi j'ai quand même flippé dans la première partie du film
Excellent effectivement, je suis tout a fait d'accord avec dino VELVET, la metaphore sociale est superbe et vraiment tres bien rendu, en plus ca en reste un excellent film d'epouvante avec des scenes incroyablement stressantes, une tres bonne ambiance et un superbe final.
Un (en tout cas la plus recent) de mes films d'epouvante preferé!
Dispo en coffret avec Charisma edité par Arte.
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
en + ça tourne autours de l'informatique alors.... 
) bref beaucoup de questions...
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