King Kong - Peter Jackson - 2006
Modérateur : dino VELVET
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Colonel Kurtz
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Je peux que m'inscrire en faux par rapport à ça : le film de 76 s'essaye peut être à des explications d'ordre anthropologique ,il est quand même beaucoup moins poétique que le version de 33 et du film de Jackson qui est un remake direct de celle-ci (je me suis maté le Shoedsack hier et ça suit à la lettre ,scène par scène ,la preuve qu'un remake même étroitement fidèle n'est pas pour autant une oeuvre servile).zetis a écrit : Bref je trouve que celle de 76 est superbe donc refaire un King Kong en mettant des effets speciaux et autre action sur les T-rex, cafart et les herbivaures n'etait pas utiles
Moins poétique car beaucoup pus orienté seventies c'est à dire écolo et un brin anar.
Il est aussi extrément moins spectaculaire,plus sérieuse en quelque sorte .Mais c'est une version que j'apprécie aussi ,mais clairement en retrait.
Le film de Jackson est d'abord et avant tout un film de monstres ,c'est pour ça qu'il en fait jaillir à profusion (non les T-rex n'attaquent sans doute pas en groupe mais est ce que les singes de 8m ça existe ?
).Il ne s'agit pas d'un cours d'histoire naturelle mais de péripéties fantastiques complètement démesurées avec des monstes de folie (je voulais le serpent !!!!) et c'est en son genre,ultime .
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Colonel Kurtz
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Colonel Kurtz a écrit :zetis a écrit : Il ne s'agit pas d'un cours d'histoire naturelle mais de péripéties fantastiques complètement démesurées avec des monstes de folie (je voulais le serpent !!!!) et c'est en son genre,ultime .
moi aussi le serpent me manque.Donc c'est plus KING KONG mais l'Ile Fantastique....
J'ai quand même adoré le Film.
Personne parle des cafards? pourtant dans la salle de Ciné les gens avaient de vivent reaction d'Effroie.
Certains naissent sous une bonne étoile... d'autres sous une mauvaise. Moi, je mène ma vie du mieux que je peux, sans me soucier de mon étoile http://clemetfred.skyrock.com
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On aurait pus croire que Peter Jackson allait se la couler douce après la conclusion de sa trilogie et de son oscarisation à la manière d’un Cameron qui n’arrive plus à quitter son Titanic mais il avait un autre projet en tête, un rêve qu’il s’était promis de réaliser après avoir vu le film qui lui a donné envie de faire du cinéma quand il était tout jeune KING KONG. A peine a-t-il le temps de profiter du succès monumental du seigneur des anneaux qu’il reprend son équipe et se lance de ce projet qui lui tient encore plus à cœur ce qui donnera le meilleur film d’aventure vu sur un écran depuis Indiana Jones et la dernière croisade !
Eh oui rien que ça, Jackson nous balance un film monumental en pleine tronche, un film qui rentre déjà dans l’histoire du cinéma, un enchaînement de passages d’anthologies qu’il sera difficile de dépasser ou juste d’égaler !
Déjà la chose qui frappe c’est la reconstitution de l’ambiance du New York des années 30 en pleine crise, on reste béat devant le travail accomplie c’est magnifique mais il n’y a pas que les décors, l’ambiance de crise est très bien rendu.
Toute cette première partie place l’histoire et les personnages sans lourdeurs, on rencontre Anne magnifique actrice qui fini sans travail, Carl un réalisateur qui est prêt à tout pour finir son film peu importe les moyens, Jack scénariste de talent très élégant qui se fait rouler par Carl et toute léquipe technique et les membres du bateau. C’est très bien écrit les gros clichés sont évités et on ne s’ennuie pas mais les choses sérieuses vont commencer à l’arrivée sur Skull Island.
Car oui on va enfin découvrir LE KING KONG, véritable réussite, magnifique tant visuellement qu’au niveau de l’animation Sirkis donne vie au géant amoureux et on reste béat devant la bête qui d’ailleurs se montrera bien plus humain que beaucoup d’hommes…
Toute la partie sur l’île est monumental, on se prend en pleine tronche des scènes de bravoures simplement dantesques, franchement il fallait oser tenter de faire des scènes aussi complexes car c’est juste du jamais vu que ce soit la scène de panique du troupeaux de Dino (il se passe 20 000 trucs à l’écran…) ou la déjà cultissime scène de baston entre Kong et les T. rex qui franchement est ahurissante et qui n’a pas du être une partie de plaisirs à faire vu ce qu’ils nous font vivre à l’écran et c’est dans cette scène que l’on ressent le plus la puissance de Kong. Tétanisant !
Mais le dernier monument de Jackson n’est pas juste un film spectaculaire et bourrin avec un singe qui défonce tout oh que non et bien au contraire !
Le film est aussi une œuvre naïve et touchante dans sa relation entre Anne et Kong, une relation qui nous donnera des passages d’une beauté et d’une infinie tendresse (la main portée vers Anne, le rire de Kong, la scène dans le parc et la séparation) oui cette bête numérique Jackson arrive à en faire un personnage vivant qui arrive à nous toucher et c’est peut être ça le plus grande tour de force de Jackson dans ce film. On fini par aimé Kong et la fin nous arrache le cœur (et des larmes aussi…).
Une œuvre dantesque donc, mis en scène avec brio avec d’excellentes idées de mise en scène comme lorsque Kong emporte Anne et que l’on adopte la vision de la jeune femme on se retrouve dans la main de Kong et là on voit vraiment qu’il en impose le bougre, juste génial ou encore lors de la poursuite dans New York avec Kong qui poursuit Jack les plans aérien donne une grande fluidité à l’action.
Pour ce qui est des défaut car oui il y en a des tout petit on notera juste quelques effets spéciaux un peu loupé surtout lors de la panique du troupeaux mais aussi une musique vraiment décevante c’est vraiment dommage.
Non vraiment mis à part des tout petits bémols le dernier Peter Jackson est une œuvre monumental, généreuse et imposante, un grand message d’amour au cinéma. Peter Jackson c’est fait plaisir en nous faisant plaisirs et pour ça je ne le remercierai jamais assez !
Merci M. Jackson !
Eh oui rien que ça, Jackson nous balance un film monumental en pleine tronche, un film qui rentre déjà dans l’histoire du cinéma, un enchaînement de passages d’anthologies qu’il sera difficile de dépasser ou juste d’égaler !
Déjà la chose qui frappe c’est la reconstitution de l’ambiance du New York des années 30 en pleine crise, on reste béat devant le travail accomplie c’est magnifique mais il n’y a pas que les décors, l’ambiance de crise est très bien rendu.
Toute cette première partie place l’histoire et les personnages sans lourdeurs, on rencontre Anne magnifique actrice qui fini sans travail, Carl un réalisateur qui est prêt à tout pour finir son film peu importe les moyens, Jack scénariste de talent très élégant qui se fait rouler par Carl et toute léquipe technique et les membres du bateau. C’est très bien écrit les gros clichés sont évités et on ne s’ennuie pas mais les choses sérieuses vont commencer à l’arrivée sur Skull Island.
Car oui on va enfin découvrir LE KING KONG, véritable réussite, magnifique tant visuellement qu’au niveau de l’animation Sirkis donne vie au géant amoureux et on reste béat devant la bête qui d’ailleurs se montrera bien plus humain que beaucoup d’hommes…
Toute la partie sur l’île est monumental, on se prend en pleine tronche des scènes de bravoures simplement dantesques, franchement il fallait oser tenter de faire des scènes aussi complexes car c’est juste du jamais vu que ce soit la scène de panique du troupeaux de Dino (il se passe 20 000 trucs à l’écran…) ou la déjà cultissime scène de baston entre Kong et les T. rex qui franchement est ahurissante et qui n’a pas du être une partie de plaisirs à faire vu ce qu’ils nous font vivre à l’écran et c’est dans cette scène que l’on ressent le plus la puissance de Kong. Tétanisant !
Mais le dernier monument de Jackson n’est pas juste un film spectaculaire et bourrin avec un singe qui défonce tout oh que non et bien au contraire !
Le film est aussi une œuvre naïve et touchante dans sa relation entre Anne et Kong, une relation qui nous donnera des passages d’une beauté et d’une infinie tendresse (la main portée vers Anne, le rire de Kong, la scène dans le parc et la séparation) oui cette bête numérique Jackson arrive à en faire un personnage vivant qui arrive à nous toucher et c’est peut être ça le plus grande tour de force de Jackson dans ce film. On fini par aimé Kong et la fin nous arrache le cœur (et des larmes aussi…).
Une œuvre dantesque donc, mis en scène avec brio avec d’excellentes idées de mise en scène comme lorsque Kong emporte Anne et que l’on adopte la vision de la jeune femme on se retrouve dans la main de Kong et là on voit vraiment qu’il en impose le bougre, juste génial ou encore lors de la poursuite dans New York avec Kong qui poursuit Jack les plans aérien donne une grande fluidité à l’action.
Pour ce qui est des défaut car oui il y en a des tout petit on notera juste quelques effets spéciaux un peu loupé surtout lors de la panique du troupeaux mais aussi une musique vraiment décevante c’est vraiment dommage.
Non vraiment mis à part des tout petits bémols le dernier Peter Jackson est une œuvre monumental, généreuse et imposante, un grand message d’amour au cinéma. Peter Jackson c’est fait plaisir en nous faisant plaisirs et pour ça je ne le remercierai jamais assez !
Merci M. Jackson !
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right hand of doom
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Le V-Rex serait l'évolution du T-Rex sur Skull Island.The DeathScythe a écrit :Il y a plein de gros monstres dans le King Kong original...
Et les dinos ce sont des V-Rex (c'est dans le jeu video me demandez pas la difference avec les T-Rex, peut etre le fait de vivre en troupeau
Et les bananes géantes ? Je veux ma reponse moi !
Mais il y a aussi un dinosaure appelé Wetasaure. (quelle bande de plaisantins ces responsables de effets spéciaux)
Par contre pas de bananier géant mais on voit bien Kong machouiller un genre de long bambou à un moment dans le film.
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peter wonkley
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