Posté : 13.11.2005 - 20:02
vu hier,
Gustave Klopp (G. Canet) est narcoleptique : il s'endort n'importe où, n'importe quand et ses fréquentes crises de sommeil sont aussi brutales qu'inattendues. Si cette maladie constitue un véritable handicap pour sa vie professionnelle et familiale, elle lui permet cependant de se transformer dans ses rêves en super-héros invincible et vengeur, aventures qu'il décide de mettre en bande-déssinée... Disposant d'un pitch fort séduisant, Narco aurait pu être un excellent film, au lieu de cela, malgré de géniales trouvailles narratives et visuelles, il n'est qu'un bon film où Canet et Poelvoorde excellent. Guillaume Canet justement, est bluffant dans ce rôle d'anti-héros mal réveillé et Benoit Poelvoorde fait de son côté du Poelvoorde... On appréciera aussi les performances respectives de Zabou Breitman etFrançois Berléand dans un rôle lui, à contre-emploi (moins rigide que ces derniers films en tout cas), la « cameo » de Gilles Lellouche et les apparitions sympathiques de Lea Drucker, Lionel Abelanski, Diane Kruger, Valerie Lemercier ou encore Sinclair.
La première partie du film est en tout cas excellente et les illustrations où Gus rêve sont vraiment plaisantes. La présentation des personnages fait un peu trop penser à Amélie Poulain ou Jeux d'enfants, mais cela fonctionne tout de même très bien. hélas, le film manque parfois d'équilibre, ça foisonne d'idées, de répliques, de petits détails mais c'est hélas quelque peu décousu à l'arrivée. Toutefois, on sent que les intentions sont là et c'est justement cela qui est à vraiment souligner. Les deux réalisateurs livrent un premier film plein d'audace, plutôt original dans un cinéma français parfois trop sclérosé. Divertissant donc, mais pas culte, dommage...
Gustave Klopp (G. Canet) est narcoleptique : il s'endort n'importe où, n'importe quand et ses fréquentes crises de sommeil sont aussi brutales qu'inattendues. Si cette maladie constitue un véritable handicap pour sa vie professionnelle et familiale, elle lui permet cependant de se transformer dans ses rêves en super-héros invincible et vengeur, aventures qu'il décide de mettre en bande-déssinée... Disposant d'un pitch fort séduisant, Narco aurait pu être un excellent film, au lieu de cela, malgré de géniales trouvailles narratives et visuelles, il n'est qu'un bon film où Canet et Poelvoorde excellent. Guillaume Canet justement, est bluffant dans ce rôle d'anti-héros mal réveillé et Benoit Poelvoorde fait de son côté du Poelvoorde... On appréciera aussi les performances respectives de Zabou Breitman etFrançois Berléand dans un rôle lui, à contre-emploi (moins rigide que ces derniers films en tout cas), la « cameo » de Gilles Lellouche et les apparitions sympathiques de Lea Drucker, Lionel Abelanski, Diane Kruger, Valerie Lemercier ou encore Sinclair.
La première partie du film est en tout cas excellente et les illustrations où Gus rêve sont vraiment plaisantes. La présentation des personnages fait un peu trop penser à Amélie Poulain ou Jeux d'enfants, mais cela fonctionne tout de même très bien. hélas, le film manque parfois d'équilibre, ça foisonne d'idées, de répliques, de petits détails mais c'est hélas quelque peu décousu à l'arrivée. Toutefois, on sent que les intentions sont là et c'est justement cela qui est à vraiment souligner. Les deux réalisateurs livrent un premier film plein d'audace, plutôt original dans un cinéma français parfois trop sclérosé. Divertissant donc, mais pas culte, dommage...