La Guerre Des Mondes [Remake] - Steven Spielberg - 2005
Modérateur : dino VELVET
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karras
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Au delà des effets spéciaux ultra-réussis et des incohérences scénaristiques inhérentes au bouquin, je trouve que Spielberg a surtout réalisé un film post traumatique avec en fond les séquels du 11 septembre. Il y a d'abord ces scènes de fuites, ces chutes de bâtiments, la scène au Tom Cruise, blanc de cendres, se regarde dans la glace, tout ça ramene aux images longuement diffusées lors des attentats new-yorkais. Il y a aussi, il me semble, une reflexion à travers les deux enfants sur la société américaine partagée entre le culte de l'héroisme ( le garçon ) et un ultra-protectionnisme incarné à travers Dakota Shining ( ne pas montrer les scènes choquantes, le bandeau sur les yeux, ... ).
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Zorg
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Bon, je suis retourné voir le film hier soir avec des amis. Histoire de. En j'ai eu une révélation : en fait, ils auraient du buter Tom dès le départ, ca nous aurait évité nombre d'emmerdes.
Parce que dès qu'il a le malheur de rester quelque part plus de 10 minutes, y'a un, voire plusieurs, tripodes qui débarquent, semant mort de destruction sur leur passage. Ce type les attire donc d'une façon ou d'une autre. En le retirant de l'équation, on se serait épargné une peine colossale.
De plus, ce qui aurait été vraiment intelligent, c'est de buter les deux gosses. Déja, ca nous aurait épargné le happy end de merde, et augmenté la dramaturgie à la fin du film (j'aurais vraiment bien vu Tom Cruise arriver chez ses baaux-parents et devoir expliquer à son ex que les gosses sont morts) mais en plus, ca leur ferait faire des économies monumentales. Passke bon, ok, le fils, meme si on se demande comment il fait pour survivre à Hamburger Hill, il n'a pas l'air trop esquinté, mais alors la gamine.... Avec ce qu'elle s'est mangée, elle a la cervelle a moitié cramée. Je vous raconte pas la ruine que ca va etre de leur faire faire une psychothérapie. Y'en a pour des années et des années de traitement.
Donc non, sérieusement, c'aurait été plus rapide de tous les buter en fait.
Mais ce qui me gene surtout avec ce film, et de plus en plus avec le cinéma de Steven Spielberg c'est le discour néo-conservateur qui nous est servi. Parce qu'en grattant la surface d'un blockbuster estival techniquement stupéfiant, j'y trouve un discours que je trouve indigeste (limite infect) avec les attentats du 11 septembre en toile de fond. La métaphore est plus que pénible à mes yeux, et y'a pas grand chose à en sauver.
Sinon, j'avais oublié le coup du train qui passe à tout berzingue. Rigolo.
Et 2/3 autres détails du genre "c'est les terroristes ?!" Franchement limite celle là tellement elle est simpliste.
Mais surtout quand il disent qu'au Japon il ont reussi à abattre plusieurs tripodes. Ben c'est normal, ils ont Godzilla là bas.
Parce que dès qu'il a le malheur de rester quelque part plus de 10 minutes, y'a un, voire plusieurs, tripodes qui débarquent, semant mort de destruction sur leur passage. Ce type les attire donc d'une façon ou d'une autre. En le retirant de l'équation, on se serait épargné une peine colossale.
De plus, ce qui aurait été vraiment intelligent, c'est de buter les deux gosses. Déja, ca nous aurait épargné le happy end de merde, et augmenté la dramaturgie à la fin du film (j'aurais vraiment bien vu Tom Cruise arriver chez ses baaux-parents et devoir expliquer à son ex que les gosses sont morts) mais en plus, ca leur ferait faire des économies monumentales. Passke bon, ok, le fils, meme si on se demande comment il fait pour survivre à Hamburger Hill, il n'a pas l'air trop esquinté, mais alors la gamine.... Avec ce qu'elle s'est mangée, elle a la cervelle a moitié cramée. Je vous raconte pas la ruine que ca va etre de leur faire faire une psychothérapie. Y'en a pour des années et des années de traitement.
Donc non, sérieusement, c'aurait été plus rapide de tous les buter en fait.
Mais ce qui me gene surtout avec ce film, et de plus en plus avec le cinéma de Steven Spielberg c'est le discour néo-conservateur qui nous est servi. Parce qu'en grattant la surface d'un blockbuster estival techniquement stupéfiant, j'y trouve un discours que je trouve indigeste (limite infect) avec les attentats du 11 septembre en toile de fond. La métaphore est plus que pénible à mes yeux, et y'a pas grand chose à en sauver.
Sinon, j'avais oublié le coup du train qui passe à tout berzingue. Rigolo.
Et 2/3 autres détails du genre "c'est les terroristes ?!" Franchement limite celle là tellement elle est simpliste.
Mais surtout quand il disent qu'au Japon il ont reussi à abattre plusieurs tripodes. Ben c'est normal, ils ont Godzilla là bas.
Donc revu hier soir et pffff mais Spielberg est un Dieu !!
On retient sont souffle pendant 2h de film, franchement la 1ère attaque des tripodes est déjà culte c'est immense incroyablement puissant on assiste à la destruction et à la mort à hauteur d'homme et c'est là la force de Spielby nous mettre au même niveau que Ray et sa famille qui ne sont rien du tout et ne peuvent empêcher une telle tragédie les tripodes les balayent et détruisent tout sur leurs passage, fuir est la seule solution.
Il y aura bien sur d'autre séquences forte tel que la meute autour de la voiture qui se montre d'une violence rare et tétanisante (l'homme qui écarte le par-brise avec les mains
) suivant la terrible scène du ferry, l'attaque inutile de l'armée qui se finira dans la maison du personnage joué par l'impec Tim Robbins, une séquence remarquablement filmé et stressante avec un Robbins inquiètant et mystérieux.
La caméra de Spielby va partout passe d'un coin à un autre il maîtrise parfaitement l'espace permettant de tout voir, tout ressentir, impressionnant tout simplement !
Après la libération psychologique de Ray dans une scène éprouvante et de la macabre découverte de l'origine des racines rouge, voilà qu'arrive le seul défaut du film, une fin tombant un peu à plat avec une naïveté déconcertante loin de ce que l'on venait de voir durant 2h...dommage mais en aucun cas pénalisant pour moi quand on repense à ce que l'on vient de vivre !
Un putain de film, impressionnant, dramatique, monstrueusement bien réalisé et bien interprété donc mais aussi un film loin des clichés inhérent aux film de ce genre qui n'a comme défaut qu'une fin vite expédié et ne collant pas avec le reste du métrage !
ENORME !!!!
On retient sont souffle pendant 2h de film, franchement la 1ère attaque des tripodes est déjà culte c'est immense incroyablement puissant on assiste à la destruction et à la mort à hauteur d'homme et c'est là la force de Spielby nous mettre au même niveau que Ray et sa famille qui ne sont rien du tout et ne peuvent empêcher une telle tragédie les tripodes les balayent et détruisent tout sur leurs passage, fuir est la seule solution.
Il y aura bien sur d'autre séquences forte tel que la meute autour de la voiture qui se montre d'une violence rare et tétanisante (l'homme qui écarte le par-brise avec les mains
) suivant la terrible scène du ferry, l'attaque inutile de l'armée qui se finira dans la maison du personnage joué par l'impec Tim Robbins, une séquence remarquablement filmé et stressante avec un Robbins inquiètant et mystérieux.La caméra de Spielby va partout passe d'un coin à un autre il maîtrise parfaitement l'espace permettant de tout voir, tout ressentir, impressionnant tout simplement !
Après la libération psychologique de Ray dans une scène éprouvante et de la macabre découverte de l'origine des racines rouge, voilà qu'arrive le seul défaut du film, une fin tombant un peu à plat avec une naïveté déconcertante loin de ce que l'on venait de voir durant 2h...dommage mais en aucun cas pénalisant pour moi quand on repense à ce que l'on vient de vivre !
Un putain de film, impressionnant, dramatique, monstrueusement bien réalisé et bien interprété donc mais aussi un film loin des clichés inhérent aux film de ce genre qui n'a comme défaut qu'une fin vite expédié et ne collant pas avec le reste du métrage !
ENORME !!!!
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zetis
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La fille de Tom Cruise dans le film detrone toutes les stars d'hollywood
LOS ANGELES (AFP) - Aucun producteur ne lui dira qu'elle est trop vieille pour un rôle, et pour cause: Dakota Fanning, promue récemment "actrice la plus puissante de Hollywood" par un hebdomadaire américain, n'a que 11 ans et sa carrière s'inscrit déjà dans les traces des enfants stars.
La jeune comédienne, qui joue la fille de Tom Cruise dans le dernier long-métrage à gros budget de Steven Spielberg, "La guerre des mondes", a déjà figuré à l'affiche d'une douzaine de films depuis 2001, côtoyant à l'écran des acteurs aussi chevronnés que Robert De Niro, Sean Penn et Denzel Washington.
Mieux, selon les calculs du journal spécialisé Entertainment Weekly (EW), ce bout de femme d'à peine 1,50 m bat à plate couture Julia Roberts, Nicole Kidman et Sandra Bullock si l'on prend en considération les recettes engrangées aux Etats-Unis par les films dans lesquels elle a joué en quatre ans.
"Dakota Fanning est l'actrice la plus puissante de Hollywood, ce n'est pas de la blague!" titrait la publication dans son numéro du 29 juillet, soulignant que Hollywood bruisse déjà de la rumeur d'un Oscar pour récompenser la fillette de son rôle dans l'adaptation du classique de science-fiction de H.G. Wells.
Née en 1994 en Georgie (sud-est) dans une famille sans aucun lien avec les métiers du spectacle, Dakota a commencé à tourner à cinq ans, d'abord dans des publicités.
Ses parents ont déménagé à Los Angeles pour accompagner une carrière qui a connu un démarrage foudroyant: en 2001, elle était déjà la fille de Sean Penn et de Michelle Pfeiffer dans "I am Sam", après plusieurs apparitions dans les séries "Urgences", "CSI" et "Ally McBeal".
"Rien qu'en voyant +I am Sam+, on voyait qu'elle allait devenir une grande comédienne", assure à l'AFP Marcela Miranda, qui administre depuis le Brésil un des nombreux sites internet non officiels consacrés à l'étoile naissante. "Elle n'est petite que par la taille, son aura est déjà incroyable", estime cette admiratrice de 20 ans.
Dakota Fanning "reçoit environ 200 lettres d'admirateurs par jour", dit à l'AFP son agent depuis cinq ans, Cindy Osbrink.
"Elle peut tout faire, elle est étonnante", "mais c'est aussi quelqu'un de très gentil" et qui garde les pieds sur terre, assure-t-elle.
Mêmes éloges de la part de ses partenaires à l'écran, qui notent sa maturité sur les plateaux. "Dakota est un mélange de Judy Garland dans +Le magicien d'Oz+ et de Meryl Streep", a affirmé Mike Myers (Austin Powers), qui a joué avec elle dans "The cat in the hat" en 2003.
Quant à Denzel Washington, deux Oscars au compteur (meilleur acteur en 2001 et meilleur second rôle en 1989), il a avoué que deux fois seulement au cours de sa carrière il s'était surpris à s'arrêter de jouer en pleine prise, fasciné par son partenaire: "Une fois avec Gene Hackman, une autre avec Dakota".
La fin de l'année 2004 et 2005 ont été particulièrement chargées pour Dakota, qui a enchaîné les tournages pendant neuf mois. "Cet été, elle s'est reposée", adit Mme Osbrink, qui sélectionne, en concertation avec la mère de la fillette, les scénarios qu'elle lui soumet.
La petite blonde aux grands yeux bleus, qui décoche son plus beau sourire aux photographes lors des premières, "pèse" actuellement 3 millions de dollars par film, ce qui reste en deçà des 15 à 20 M USD auxquels peuvent prétendre Angelina Jolie, Julia Roberts et Nicole Kidman.
Mais Dakota Fanning n'a pas encore joué le personnage principal d'un film, remarque Mme Osbrink: ce sera chose faite avec l'adaptation à l'écran du conte pour enfants "Charlotte's Web", qui doit sortir en 2006
Source yahoo.
LOS ANGELES (AFP) - Aucun producteur ne lui dira qu'elle est trop vieille pour un rôle, et pour cause: Dakota Fanning, promue récemment "actrice la plus puissante de Hollywood" par un hebdomadaire américain, n'a que 11 ans et sa carrière s'inscrit déjà dans les traces des enfants stars.
La jeune comédienne, qui joue la fille de Tom Cruise dans le dernier long-métrage à gros budget de Steven Spielberg, "La guerre des mondes", a déjà figuré à l'affiche d'une douzaine de films depuis 2001, côtoyant à l'écran des acteurs aussi chevronnés que Robert De Niro, Sean Penn et Denzel Washington.
Mieux, selon les calculs du journal spécialisé Entertainment Weekly (EW), ce bout de femme d'à peine 1,50 m bat à plate couture Julia Roberts, Nicole Kidman et Sandra Bullock si l'on prend en considération les recettes engrangées aux Etats-Unis par les films dans lesquels elle a joué en quatre ans.
"Dakota Fanning est l'actrice la plus puissante de Hollywood, ce n'est pas de la blague!" titrait la publication dans son numéro du 29 juillet, soulignant que Hollywood bruisse déjà de la rumeur d'un Oscar pour récompenser la fillette de son rôle dans l'adaptation du classique de science-fiction de H.G. Wells.
Née en 1994 en Georgie (sud-est) dans une famille sans aucun lien avec les métiers du spectacle, Dakota a commencé à tourner à cinq ans, d'abord dans des publicités.
Ses parents ont déménagé à Los Angeles pour accompagner une carrière qui a connu un démarrage foudroyant: en 2001, elle était déjà la fille de Sean Penn et de Michelle Pfeiffer dans "I am Sam", après plusieurs apparitions dans les séries "Urgences", "CSI" et "Ally McBeal".
"Rien qu'en voyant +I am Sam+, on voyait qu'elle allait devenir une grande comédienne", assure à l'AFP Marcela Miranda, qui administre depuis le Brésil un des nombreux sites internet non officiels consacrés à l'étoile naissante. "Elle n'est petite que par la taille, son aura est déjà incroyable", estime cette admiratrice de 20 ans.
Dakota Fanning "reçoit environ 200 lettres d'admirateurs par jour", dit à l'AFP son agent depuis cinq ans, Cindy Osbrink.
"Elle peut tout faire, elle est étonnante", "mais c'est aussi quelqu'un de très gentil" et qui garde les pieds sur terre, assure-t-elle.
Mêmes éloges de la part de ses partenaires à l'écran, qui notent sa maturité sur les plateaux. "Dakota est un mélange de Judy Garland dans +Le magicien d'Oz+ et de Meryl Streep", a affirmé Mike Myers (Austin Powers), qui a joué avec elle dans "The cat in the hat" en 2003.
Quant à Denzel Washington, deux Oscars au compteur (meilleur acteur en 2001 et meilleur second rôle en 1989), il a avoué que deux fois seulement au cours de sa carrière il s'était surpris à s'arrêter de jouer en pleine prise, fasciné par son partenaire: "Une fois avec Gene Hackman, une autre avec Dakota".
La fin de l'année 2004 et 2005 ont été particulièrement chargées pour Dakota, qui a enchaîné les tournages pendant neuf mois. "Cet été, elle s'est reposée", adit Mme Osbrink, qui sélectionne, en concertation avec la mère de la fillette, les scénarios qu'elle lui soumet.
La petite blonde aux grands yeux bleus, qui décoche son plus beau sourire aux photographes lors des premières, "pèse" actuellement 3 millions de dollars par film, ce qui reste en deçà des 15 à 20 M USD auxquels peuvent prétendre Angelina Jolie, Julia Roberts et Nicole Kidman.
Mais Dakota Fanning n'a pas encore joué le personnage principal d'un film, remarque Mme Osbrink: ce sera chose faite avec l'adaptation à l'écran du conte pour enfants "Charlotte's Web", qui doit sortir en 2006
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Certains naissent sous une bonne étoile... d'autres sous une mauvaise. Moi, je mène ma vie du mieux que je peux, sans me soucier de mon étoile http://clemetfred.skyrock.com
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Colonel Kurtz
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zetis a écrit :
Quant à Denzel Washington, deux Oscars au compteur (meilleur acteur en 2001 et meilleur second rôle en 1989), il a avoué que deux fois seulement au cours de sa carrière il s'était surpris à s'arrêter de jouer en pleine prise, fasciné par son partenaire: "Une fois avec Gene Hackman, une autre avec Dakota".
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Colonel Kurtz
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Revu à l'instant et j'ai bien cru qu'une tentacule allait arracher le toit de ma baraque .
Rien n'a changé,j'ai même encore plus apprécié qu'au ciné l'été dernier,la vo aidant bien sur mais pas seulement : bien sur cette fin est abrupte,bien sur y a le gout d'inachevé ,mais après tout Spielberg choisit une focale narrative ( le destin d'individus embrassant par intermittence le destin collectif ,alors que souvent dans les films catastrophe ou évenementiels on raconte la grande histoire en passant sur des destins individuels intermittents ...
Il suit cette famille dans sa fuite ,elle ignore tout de l'assaillant ,tout la dépasse,elle essaye juste de survivre ,elle ne comprend rien au dénouement ,elle s'en moque puisqu'elle vit .
Mais bon qu'est ce qu'on aurait pas donner pour quelques rallonges quand même ...
Donc desespèrement un film formidable,un spectacle dantesque (le naufrage du ferry,j'avais oublié) ,étroitement associé à l'actualité (l'occupation,l'insécurité,la guerre)et opèrant un trait d'union entre tous les grands étapes de la filmo de son auteur (dents de la mer,rencontre 3ème type,empire du soleil,jurassik park,soldat ryan ,minority report).
La force tranquille .
Rien n'a changé,j'ai même encore plus apprécié qu'au ciné l'été dernier,la vo aidant bien sur mais pas seulement : bien sur cette fin est abrupte,bien sur y a le gout d'inachevé ,mais après tout Spielberg choisit une focale narrative ( le destin d'individus embrassant par intermittence le destin collectif ,alors que souvent dans les films catastrophe ou évenementiels on raconte la grande histoire en passant sur des destins individuels intermittents ...
Il suit cette famille dans sa fuite ,elle ignore tout de l'assaillant ,tout la dépasse,elle essaye juste de survivre ,elle ne comprend rien au dénouement ,elle s'en moque puisqu'elle vit .
Mais bon qu'est ce qu'on aurait pas donner pour quelques rallonges quand même ...
Donc desespèrement un film formidable,un spectacle dantesque (le naufrage du ferry,j'avais oublié) ,étroitement associé à l'actualité (l'occupation,l'insécurité,la guerre)et opèrant un trait d'union entre tous les grands étapes de la filmo de son auteur (dents de la mer,rencontre 3ème type,empire du soleil,jurassik park,soldat ryan ,minority report).
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Jack Sparrow
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Zouèze
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On a déjà vu des adaptations de bouquins très réussies dans lesquels la fin a été changée (exemple : Manhunter).
C'est vrai qu'on gueule souvent quand les adaptations de livres ne sont pas respectueuses mais dans ce cas-là, c'était l'occasion pour Spielberg de tartiner la guimauve encore plus qu'il a déjà l'habitude de le faire et ça n'a pas loupé.
C'est vrai qu'on gueule souvent quand les adaptations de livres ne sont pas respectueuses mais dans ce cas-là, c'était l'occasion pour Spielberg de tartiner la guimauve encore plus qu'il a déjà l'habitude de le faire et ça n'a pas loupé.
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Jack Sparrow
- Golden Globe
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Meme un Spielberg n'a pas le droit de changer la fin d'une oeuvre telle que celle de HG WellesZouèze a écrit :On a déjà vu des adaptations de bouquins très réussies dans lesquels la fin a été changée (exemple : Manhunter).
C'est vrai qu'on gueule souvent quand les adaptations de livres ne sont pas respectueuses mais dans ce cas-là, c'était l'occasion pour Spielberg de tartiner la guimauve encore plus qu'il a déjà l'habitude de le faire et ça n'a pas loupé.
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Zorg
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A bon ? Et pourquoi ca ? Son arriere-petit-fils s'est pas privé en faisant The Time Machine. Et l'homme invisible a bénéficé de combien de moutures ?Jack Sparrow a écrit :Meme un Spielberg n'a pas le droit de changer la fin d'une oeuvre telle que celle de HG WellesZouèze a écrit :On a déjà vu des adaptations de bouquins très réussies dans lesquels la fin a été changée (exemple : Manhunter).
C'est vrai qu'on gueule souvent quand les adaptations de livres ne sont pas respectueuses mais dans ce cas-là, c'était l'occasion pour Spielberg de tartiner la guimauve encore plus qu'il a déjà l'habitude de le faire et ça n'a pas loupé.
Et tout oeuvre littéraire est le reflet de son époque, de sa mentalité. On n'est plus fin 19e, on est au 21e, faudrait songer à évoluer un peu parfois...
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The DeathScythe
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le coup des microbes c'est incontournable !
Ouais voila, Spielberg il aurait du finir avec la destruction du vaisseau amiral alien via un super virus informatique
Time Machine, quelle grosse purge en passant (sauf la zizique...)
Time Machine, quelle grosse purge en passant (sauf la zizique...)
