oui ça c'est enorme !right hand of doom a écrit :J'aime beaucoup le coup du pipeau.
Les poupées russes - Cédric Klapish - 2005
Modérateur : dino VELVET
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mercizetis a écrit :Petit apparté Hulk j'aime beaucoup ton gif dans ta signature, surtout à la fin quand la fille au gros seins en bas à droite se leve pour applaudire.hulk a écrit :j'ai bien aimer l'auberges espagnolees donc je peut mattendre peut etre a quelque choses de pas mal prévue aussi pour la féte du cinema!!!!!
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Vu hier soir. Alors, ça va pas être facile de résumer mon sentiment. Allez le voir, les gens, ça vaut quand même très largement le coup.
Cette suite de l'Auberge espagnole peut se voir, à mon avis, comme un film indépendant. Bien sûr, on retrouve les personnages de l'Auberge, mais j'ai envie de dire qu'ils ont tous tellement changé que c'est presque inutile de chercher les références à l'Auberge. Bien sûr, c'est toujours Xavier, Wendy, William, Martine, Isabelle et (un peu) les autres - , mais en plus âgé, et presque dans une nouvelle vie.
Ce film n'est pas parfait. Il y a quelques longueurs. En même temps, ces longueurs, je n'ai pas envie de les dénoncer, car il me semble clair que Klapisch s'est fait plaisir, a fait plaisir à ses acteurs, et a voulu en donner au spectateur. C'est une démarche généreuse. Sûr qu'à quelques moments, on a envie de dire: "OK, Cédric, on a compris le message" pour mieux passer à autre chose. Et pourtant, malgré ces longueurs, très franchement, j'en redemandais en sortant de la salle.
Tour à tour, dans ce film, j'ai ri, je me suis senti triste, j'ai été ému, j'ai eu de la sympathie pour tous les personnages, j'en ai découvert d'autres (quel sens du casting pour les seconds et troisièmes rôles, Monsieur Klapisch !!!) et j'ai ressenti que c'était un film de copains. Je trouve ridicule de dire que ce film est vide sous prétexte qu'on a pas aimé. La démarche de fond, moi, je la trouve éminemment sympathique. Les poupées russes ou une idée du plaisir partagé, tout en sachant que le plaisir n'est jamais éternel, qu'il suppose des remises en question, des doutes, des trois-pas-en-avant-deux-pas en arrière.
Bref, j'ai vraiment beaucoup aimé. J'suis sorti de la salle presque à regret, enthousiasmé une nouvelle fois par une bande originale à la Klapisch, tout simplement d'anthologie. Je l'achèterai sûrement en DVD sitôt qu'il sera sorti. Et j'espère que Klapisch nous concoctera quelques bonus des plus séduisants, comme il en a pris l'habitude.
Je n'ai pas envie d'évoquer des scènes plus précises, c'est un sentiment général. Je crois qu'il est difficile, après un tel film, de ne pas avoir envie de vivre et d'aimer. Et je ne dis pas ça que pour rendre hommage à la superbe Kelly Reilly. Non, je dis ça parce que ce film m'a paru capter l'air du temps, le sentiment général d'une génération - la mienne - qui ne sait pas très bien où elle va. Ce film, à mes yeux, délivre aussi un message d'espoir. Je dirai juste pour finir: merci, Monsieur Klapisch.
Cette suite de l'Auberge espagnole peut se voir, à mon avis, comme un film indépendant. Bien sûr, on retrouve les personnages de l'Auberge, mais j'ai envie de dire qu'ils ont tous tellement changé que c'est presque inutile de chercher les références à l'Auberge. Bien sûr, c'est toujours Xavier, Wendy, William, Martine, Isabelle et (un peu) les autres - , mais en plus âgé, et presque dans une nouvelle vie.
Ce film n'est pas parfait. Il y a quelques longueurs. En même temps, ces longueurs, je n'ai pas envie de les dénoncer, car il me semble clair que Klapisch s'est fait plaisir, a fait plaisir à ses acteurs, et a voulu en donner au spectateur. C'est une démarche généreuse. Sûr qu'à quelques moments, on a envie de dire: "OK, Cédric, on a compris le message" pour mieux passer à autre chose. Et pourtant, malgré ces longueurs, très franchement, j'en redemandais en sortant de la salle.
Tour à tour, dans ce film, j'ai ri, je me suis senti triste, j'ai été ému, j'ai eu de la sympathie pour tous les personnages, j'en ai découvert d'autres (quel sens du casting pour les seconds et troisièmes rôles, Monsieur Klapisch !!!) et j'ai ressenti que c'était un film de copains. Je trouve ridicule de dire que ce film est vide sous prétexte qu'on a pas aimé. La démarche de fond, moi, je la trouve éminemment sympathique. Les poupées russes ou une idée du plaisir partagé, tout en sachant que le plaisir n'est jamais éternel, qu'il suppose des remises en question, des doutes, des trois-pas-en-avant-deux-pas en arrière.
Bref, j'ai vraiment beaucoup aimé. J'suis sorti de la salle presque à regret, enthousiasmé une nouvelle fois par une bande originale à la Klapisch, tout simplement d'anthologie. Je l'achèterai sûrement en DVD sitôt qu'il sera sorti. Et j'espère que Klapisch nous concoctera quelques bonus des plus séduisants, comme il en a pris l'habitude.
Je n'ai pas envie d'évoquer des scènes plus précises, c'est un sentiment général. Je crois qu'il est difficile, après un tel film, de ne pas avoir envie de vivre et d'aimer. Et je ne dis pas ça que pour rendre hommage à la superbe Kelly Reilly. Non, je dis ça parce que ce film m'a paru capter l'air du temps, le sentiment général d'une génération - la mienne - qui ne sait pas très bien où elle va. Ce film, à mes yeux, délivre aussi un message d'espoir. Je dirai juste pour finir: merci, Monsieur Klapisch.
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Vu hier.
Enchainé de suite derrière cette suite, en gros on prend les mêmes et on recommence 5 ans après. Néanmoins dans cette suite les quelques défauts du premier sont plus pesant et il y a énormément de redondance dans le scénario ce qui donne par moment l'impression de tourné en rond.
Le fond du film est légèrement décalé, il est moins questions d'étude à l'étranger ici mais plus du fameux bobo trentenaire qui sait pas trop où allé dans sa vie.
Un poil en dessous du premier donc mais tout aussi attachant de par ses personnage et sa fluidité.
Pas de quoi faire péter un slibard donc mais une "saga" décontractante
Note : 7/10
Enchainé de suite derrière cette suite, en gros on prend les mêmes et on recommence 5 ans après. Néanmoins dans cette suite les quelques défauts du premier sont plus pesant et il y a énormément de redondance dans le scénario ce qui donne par moment l'impression de tourné en rond.
Le fond du film est légèrement décalé, il est moins questions d'étude à l'étranger ici mais plus du fameux bobo trentenaire qui sait pas trop où allé dans sa vie.
Un poil en dessous du premier donc mais tout aussi attachant de par ses personnage et sa fluidité.
Pas de quoi faire péter un slibard donc mais une "saga" décontractante
Note : 7/10
"Le monde est un bel endroit, qui vaut la peine qu'on se batte pour lui,Je suis d'accord avec la seconde partie."
aussi.
Il est vrai que Les Poupées russes est souvent moins apprécié que L'auberge espagnole. En fait, moi, je préfère cette suite, presque. Peut-être parce qu'elle correspond mieux à ma propre expérience de vie.
La scène du début où il s'énerve devant l'élagueur d'arbres, ça ressemble à des choses qu'un journaliste débutant peut connaître !
Il est vrai que Les Poupées russes est souvent moins apprécié que L'auberge espagnole. En fait, moi, je préfère cette suite, presque. Peut-être parce qu'elle correspond mieux à ma propre expérience de vie.
La scène du début où il s'énerve devant l'élagueur d'arbres, ça ressemble à des choses qu'un journaliste débutant peut connaître !