La 36e chambre de Shaolin : Je dois avouer que je ne suis pas un pur adepte des films de kung fu old style, mais quelle claque avec celui là, tout y est, c filmé de manière remarquable, les prouesses physiques sont impressionnantes, la trame reste classique, le fond souvent le meme dans ces films, entraine toi et travaille et tu atteindra tes objectifs, une vraie réussite. 7,5/10
Le retour de la 36e chambre de Shaolin : Malgré son titre trompeur ce film n'est pas la suite de la 36e chambre, déjà parce que le comédien ^principal ne reprend pas le meme role, c juste une disgression beaucoup plus comique du premier film, on y retrouve quasiment tous les ingrédient du premier, mais souvent tournés en dérision, moins intéressant. 6/10
Les disciples de la 36e chambre de Shaolin : Retour au sérieux, avec ce film emprunt du contexte de l'époque, emprise des mandchous sur canton, Shaolin dernier bastion de la résistance, des combats remarquables, et de nouveau un sens moderne du filmage des ces scènes, une nouvelle réussite. 7/10
TOP MOVIES (volume 3)
Modérateur : dino VELVET
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Rockatansky
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Rockatansky
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Poursuite de ma récap de Juin
Zatoichi - Le masseur aveugle : Point de départ d'une des plus grandes sagas que le japon ait porté, film magnifique, un superbe noir et blanc et un sens du cadrage remarquable, ici point de combat ultra violent, juste l'installation de Zatoichi et ses mysteres. 7,5/10
Zatoichi - Mort ou vif : 6e opus de la série, visuellement trés beau, Zatoichi campe à merveille son personnage de robin des bois vagabond, les combats commencent à saigner sérieusement, vivement la suite. 7/10
Le boxeur manchot : Wang Yu poursuit son exploration masochiste du combattant handicapé, film ultra violent, ou on le voit tour à tour affronter les pires représentant des arts martiaux de toute l'asie, film classique sur le fond, on comprend que cela soit les memes producteurs que Big boss. 6,5/10
Zatoichi - Le masseur aveugle : Point de départ d'une des plus grandes sagas que le japon ait porté, film magnifique, un superbe noir et blanc et un sens du cadrage remarquable, ici point de combat ultra violent, juste l'installation de Zatoichi et ses mysteres. 7,5/10
Zatoichi - Mort ou vif : 6e opus de la série, visuellement trés beau, Zatoichi campe à merveille son personnage de robin des bois vagabond, les combats commencent à saigner sérieusement, vivement la suite. 7/10
Le boxeur manchot : Wang Yu poursuit son exploration masochiste du combattant handicapé, film ultra violent, ou on le voit tour à tour affronter les pires représentant des arts martiaux de toute l'asie, film classique sur le fond, on comprend que cela soit les memes producteurs que Big boss. 6,5/10
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
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Tony Montana
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Mulholland Drive: 8/10 Un film dont ne ressort pas indemne, déroutant, labyrinthique,complexe, mystique et envoûtant. Bref j'ai rien compris et j'ai adoré. Une dernière demi-heure de délire totale.
Tu vois le monde se divise en deux catégories... Il y a ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent... Toi, tu creuses ! (Le Bon, la Brute et le Truand)
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karras
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Gouttes d'eau sur pierres brulantes(5,5/10) : Une adaptation fidèle de Fassbinder par Ozon. Interprétation remarquable mais tout ça sent un peu le souffre.
Ca commence aujourd'hui (6/10) : Torreton est excellent mais le film tend à se complaindre dans un certain misérabilisme un peu facile qui lui enlève un peu de sa force.
La dilletante (5,5/10) : Catherine Frot tiens le film de bout en bout mais le scénario manque de rythme pour en faire un film mémorable.
Ca commence aujourd'hui (6/10) : Torreton est excellent mais le film tend à se complaindre dans un certain misérabilisme un peu facile qui lui enlève un peu de sa force.
La dilletante (5,5/10) : Catherine Frot tiens le film de bout en bout mais le scénario manque de rythme pour en faire un film mémorable.
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wang85
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DragonBall Le Film (3/10) : Une adaptation foirée malgré des passages fun (tortue géniale par exemple) mais qui me permet de penser qu'une adaptation live de ce manga soit possible avec de bonnes personnes aux manettes 
.
.La Wangothèque pas à jour
"We don't stop playing because we grow old;
We grow old because we stop playing."
- George Bernard Shaw
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Faudrait que je le vois ce film ça peut être marrant !!! On peut le trouver en dvd ?wang85 a écrit :DragonBall Le Film (3/10) : Une adaptation foirée malgré des passages fun (tortue géniale par exemple) mais qui me permet de penser qu'une adaptation live de ce manga soit possible avec de bonnes personnes aux manettes
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wang85
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oui et pour pas cher (vaut pas plus de toute façoncreepers a écrit :Faudrait que je le vois ce film ça peut être marrant !!! On peut le trouver en dvd ?wang85 a écrit :DragonBall Le Film (3/10) : Une adaptation foirée malgré des passages fun (tortue géniale par exemple) mais qui me permet de penser qu'une adaptation live de ce manga soit possible avec de bonnes personnes aux manettes
), surveilles les promos dans les hyper.La Wangothèque pas à jour
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Rockatansky
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Les hommes préferent les blondes : Cela ne vieillit pas , Jane Russell et Marylin Monroe sont magnifiques, pas un grand chef d'oeuvre, mais plaisant à regarder. 6,5/10
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
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Zorg
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- 28 days later : graaaaah j'adore ce putain de film. Le film de zombis à la Danny Boyle, ca arrache. Un film sauvage, qui se sert du virus comme d'un révélateur sur l'inHumanité dans laquelle nous vivons.
8/10
- Les Boys (comédie kébékoise sur hockey) : bon alors j'ai pas compris plus d'un mot sur dix de ce qu'ils disaient, pourtant, C censé causer francais dedans. Ils feraient mieux de passer à l'anglais les kebs au lieu de nous massacrer la langue de la sorte. Reste une comédie joviale, des comédiens épatants, une histoire digne d'une blague carambar, mais ca se laisse suivre avec enthousiasme et simplicité.
7/10
- Master and Commander : voilà un film qui n'a pas eu le succès qu'il méritait. La faute a un concept pas assez accrocheur probablement, et surtout a une date de sortie incongrue (un 31 décembre, on n'a pas idée). La reconstitution historique est impressionnante, les personnages extrement attachants (particulierement Russel Crowe meme si je ne suis pas un fan du bonhomme, mais qui nous interprete le Capitaine Jack Aubrey avec une grande finesse), et meme si l'histoire souffre d'une legere baisse de rythme dans le milieu, il reste que l'ensemble me troue le cul d'admiration dans son ensemble
8.5/10
- Opération Funky (Undercover Brother) : Austin Powers black du pauvre qui ne m'a arraché que quelques sourires de ci delà, mais rien de convaincant, l'ensemble étant assez lourdingue à suivre.
4.5/10
- Shakespeare in love : comédie fraiche, distrayante et amusante sur la génèse (possible) de la plus belle et tragique love story de l'Histoire de la littérature, illuminée par la grâce de Gwyneth Paltrow.
8/10
- Before sunrise : Richard Linklater se livre à un exercice de style assez atypique en imaginant cette rencontre d'une journée entre un americain et une francaise dans un Vienne de cartes postales. Le duo fonctionne à merveille et la mise en scene est épatante. Reste qu'il faut aimer les drames romantiques (le terme de comédie ne me parait pas vraiment approprié) où l'on voit deux tourtereaux disserter 1h40 durant sur les relations hommes/femmes, l'avenir, et toutes ces choses ultra-compliquées à exprimer. J'attends de voir la suite, Before sunset, avec les memes acteurs et personnages, realisee 9 ans plus tard, et censée se dérouler en temps réel (à Paris de surcroit), et qui sort en ce moment aux US en circuit restreint.
7/10
8/10
- Les Boys (comédie kébékoise sur hockey) : bon alors j'ai pas compris plus d'un mot sur dix de ce qu'ils disaient, pourtant, C censé causer francais dedans. Ils feraient mieux de passer à l'anglais les kebs au lieu de nous massacrer la langue de la sorte. Reste une comédie joviale, des comédiens épatants, une histoire digne d'une blague carambar, mais ca se laisse suivre avec enthousiasme et simplicité.
7/10
- Master and Commander : voilà un film qui n'a pas eu le succès qu'il méritait. La faute a un concept pas assez accrocheur probablement, et surtout a une date de sortie incongrue (un 31 décembre, on n'a pas idée). La reconstitution historique est impressionnante, les personnages extrement attachants (particulierement Russel Crowe meme si je ne suis pas un fan du bonhomme, mais qui nous interprete le Capitaine Jack Aubrey avec une grande finesse), et meme si l'histoire souffre d'une legere baisse de rythme dans le milieu, il reste que l'ensemble me troue le cul d'admiration dans son ensemble
8.5/10
- Opération Funky (Undercover Brother) : Austin Powers black du pauvre qui ne m'a arraché que quelques sourires de ci delà, mais rien de convaincant, l'ensemble étant assez lourdingue à suivre.
4.5/10
- Shakespeare in love : comédie fraiche, distrayante et amusante sur la génèse (possible) de la plus belle et tragique love story de l'Histoire de la littérature, illuminée par la grâce de Gwyneth Paltrow.
8/10
- Before sunrise : Richard Linklater se livre à un exercice de style assez atypique en imaginant cette rencontre d'une journée entre un americain et une francaise dans un Vienne de cartes postales. Le duo fonctionne à merveille et la mise en scene est épatante. Reste qu'il faut aimer les drames romantiques (le terme de comédie ne me parait pas vraiment approprié) où l'on voit deux tourtereaux disserter 1h40 durant sur les relations hommes/femmes, l'avenir, et toutes ces choses ultra-compliquées à exprimer. J'attends de voir la suite, Before sunset, avec les memes acteurs et personnages, realisee 9 ans plus tard, et censée se dérouler en temps réel (à Paris de surcroit), et qui sort en ce moment aux US en circuit restreint.
7/10
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Rockatansky
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Le smoking : Le pire des Jacky Chan de Hong kong est supérieur à ce navet de bas étage, un scénario insipide, meme les scenes d'action sont risibles, réussi l'exploit de faire passer les deux rush hour pour des bons films. 1/10
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« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
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Rockatansky
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Le justicier de Shangai : Un demi Chang Cheh, mais on sent quand meme la patte du maitre dans la séquence de fin ultra sauvage, le film est tout ce qu'il y a de plus classique, ascension d'un pauvre qui a la rage au ventre dans le monde des gangsters, j'ai bcp aimé le comédien principal,trés animal. 7/10
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« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
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Zorg
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Le Règne du Feu : alors pour tuer un gradon, c'est très simple. Vous prenez un hélico et vous lachez des petits bouts de viande pour attirer le poisson. Si ca ne marche pas, vous passez au bon vieux harpon des famillesn comme ca, ca vous fait des brochettes prêtes à servir à vos invités. Si ca ne marche toujours pas, vous passer enfin à la hache de grand-papa, celle qui est certes un peu rouillée, mais qui vous est toujours fidele, et vous vous jetez sur la bête en poussant un cri rauque et guttural qui clouera l'animal de terreur. Si avec ca vous arrivez pas à en buter au moins un, changez de metier, devenez capilliculteur ou veilleur de nuit, je sais pas.
Enfin bref, un petit film de SF/action sans prétention que j'apprécie tout spécialement pour son ambiance post-barbecuelyptique particulierement réussie, notamment la photo sous la cendre qui a un goût de carbone fumé absolument exquise. Les bêbêtes sont vraiment réussies de sucroît.
7.5/10
Enfin bref, un petit film de SF/action sans prétention que j'apprécie tout spécialement pour son ambiance post-barbecuelyptique particulierement réussie, notamment la photo sous la cendre qui a un goût de carbone fumé absolument exquise. Les bêbêtes sont vraiment réussies de sucroît.
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karras
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Qui a tué Bambi ?(6,5/10) : Marchant sur les traces de Harry, un ami ..., un thriller hospitalier à la réalisation interessante accompagné d'un bande son qui sait créer l'ambiance. Dommage que le scénario parte un peu dans tous les sens hésitant entre le fantastique, le policier et la chronique provinciale. L'interprétation est cependant à la hauteur.