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Big eyes raconte la scandaleuse histoire vraie de l’une des plus grandes impostures de l’histoire de l’art. À la fin des années 50 et au début des années 60, le peintre Walter Keane a connu un succès phénoménal et révolutionné le commerce de l’art grâce à ses énigmatiques tableaux représentant des enfants malheureux aux yeux immenses. La surprenante et choquante vérité a cependant fini par éclater : ces toiles n’avaient pas été peintes par Walter mais par sa femme, Margaret. L’extraordinaire mensonge des Keane a réussi à duper le monde entier. Le film se concentre sur l’éveil artistique de Margaret, le succès phénoménal de ses tableaux et sa relation tumultueuse avec son mari, qui a connu la gloire en s’attribuant tout le mérite de son travail.

Bof !

J’ai trouvé ça plat, anodin.

Un brin balourd par moments (une chanson explicative moisie en plein milieu du film … WTF?! ).

La faute, surtout, à un scénario sans saveur.

C’est prévisible, répétitif.

Peut-être n’y avait-il pas, tout simplement, matière à faire un long-métrage sur cette affaire ? Le film en donne l’impression du moins …

On voit mal ce qui a pu séduire Tim Burton dans un projet pareil, au-delà de quelques petits trucs assez évidents (des plans fugaces d’une banlieue proprette, les personnages aux grands yeux, la notion d’identité artistique).

Et puis Waltz m’a gonflé.

C’est le quatrième film où je le vois et je sature déjà.

Cet acteur, je m’en suis lassé à une vitesse folle. J’en suis revenu.

Ici, il nous fait un insupportable numéro hystéro-mesquin

Ça a beau être lié au personnage qu’il incarne, ça reste clairement too much à mes yeux.

Amy Adams est bien par contre, ouf !

A l’arrivé, voilà un film pas honteux … mais clairement pas bon.

Moyen quoi