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En 2049, la société est fragilisée par les nombreuses tensions entre les humains et leurs esclaves créés par bioingénierie. L’officier K est un Blade Runner : il fait partie d’une force d’intervention d’élite chargée de trouver et d’éliminer ceux qui n’obéissent pas aux ordres des humains. Lorsqu’il découvre un secret enfoui depuis longtemps et capable de changer le monde, les plus hautes instances décident que c’est à son tour d’être traqué et éliminé. Son seul espoir est de retrouver Rick Deckard, un ancien Blade Runner qui a disparu depuis des décennies...

Vu hier après m'être revu le premier et tout comme celui ci que je n'avais pas revu depuis très longtemps et dont j'avais du coup peu de souvenirs, j'ai trouvé ça bof bof.
Ce film est beaucoup trop long et une heure de moins ça n'aurait pas été du luxe car il y a beaucoup trop de blabla à mon goût.

Film que j'attends de pied ferme.

Villeneuve, c'est l'idole

Ouaip. L'un des réalisateurs les plus intéressants actuellement, à mes yeux.
Ce "Blade runner 2049" dépote ! Même si ce n'est clairement pas un film tourné vers l'action.

Martin K a écrit :Ouaip. L'un des réalisateurs les plus intéressants actuellement, à mes yeux.

Pour moi c'est tout le contraire et d'ailleurs dans sa filmographie, parmi les films que j'ai vu le seul que j'ai aimé c'est Prisoners.
Blade Runner 2049 et Sicario sont bof bof et Premier contact clairement à chier.

Donc désormais je pense m'abstenir d'aller voir ces films en salles, du download ça suffira.

Up !

Je découvre ce soir.

On est bien sûr loin de la sidération visuelle générée par le film de 1982 mais le résultat reste méritant à plusieurs égards

J’ai apprécié son côté à rebours des standards actuels.

C’est long, volontiers contemplatif et donc assez chiche en action (le final anti-spectaculaire se pose là).

Le film exhale aussi des accents tarkovskiens étonnants dans une production de cet acabit.

Dans Blade Runner 2049, les bonnes idées narratives côtoient quelques facilités.

Au crédit du film, je mets notamment :

- La réflexion sur l’IA (avec la compagne virtuelle de K).

- Les trajectoires parallèles des personnages de Deckard et de K …
Visuellement, le film est chiadé.

La mise en scène froide et minutieuse de Denis Villeneuve se coule bien dans l’univers de Blade Runner.

Le production design en fout plein les mirettes

Au final, si je n’ai pas pleinement apprécié Blade Runner 2049 (qui, à mes yeux, oscille entre le bon et le moyen), j'en salue tout de même les multiples qualités (à commencer pour son côté à contre-courant).

Un long-métrage envoûtant mais un peu trop fumeux pour moi

Le film est clairement trop long, trop lent, voulant surfer sur une SF métaphysique à la mode Tarkovski mais la sauce ne prend pas, la faute essentiellement à une intrigue ultra prévisible qui ne réserve pas grande surprise, après le film est quand même bien fait, je ne peux pas dire que je me suis ennuyé, comme toujours Villeneuve sait y faire, mais ça tourne un peu trop à vide. Perso j'ai trouvé ça assez beau, et Zimmer se fait assez discret.