effroyables jardins
Posté : 19.04.2003 - 23:44
Pour l'adaptation du livre de Michel Quint, trois scénaristes se sont succédé, c'est d'abord Sébastien Japrisot, l'auteur du roman L'Eté meurtrier (1983), qui commença le scénario, mais celui-ci, souffrant, ne put continuer. Puis Jean Cosmos, qui a notamment travaillé avec Bertrand Tavernier pour Capitaine Conan, en fit une première adaptation. Mais c'est Guillaume Laurant, à qui l'on doit Le Fabuleux destin d'Amélie Poulain (2000), qui termina la version finale du scénario, en modifiant dialogues et situations (source allocine)
Pour le tournage d'Effroyables jardins, Jean Becker s'attache à reprendre ses comédiens fétiches depuis Les Enfants du marais (1998), comme Jacques Villeret, André Dussollier, et dans un rôle secondaire Suzanne Flon, mais aussi sa région (Rhône-Alpes), et les mêmes périodes de tournage. et c'est une vraie reussite meme si la presse n'a pas ete unanime à la sortie du film.
résumé : un adolescent ne comprend pas pourquoi son père, un instituteur (Villeret), se ridiculise régulièrement, à ses yeux, dans un numéro de clown de village. Devant la réaction de dégout de l'ado, le meilleur ami de son père (Dussolier), lui dévoile l'origine de cette vocation : à la fin de la seconde guerre mondiale, les deux amis se retrouvent dans une histoire de résistance....
A travers ce récit, nous découvrons la bravoure de l instituteur et de son ami. Le ton est juste et fait mouche (oui j ai encore pleuré...), l histoire est parfaite et pourtant je ne suis pas une fan des films traitants de cette période de notre histoire.
A voir absolumment.
Pour le tournage d'Effroyables jardins, Jean Becker s'attache à reprendre ses comédiens fétiches depuis Les Enfants du marais (1998), comme Jacques Villeret, André Dussollier, et dans un rôle secondaire Suzanne Flon, mais aussi sa région (Rhône-Alpes), et les mêmes périodes de tournage. et c'est une vraie reussite meme si la presse n'a pas ete unanime à la sortie du film.
résumé : un adolescent ne comprend pas pourquoi son père, un instituteur (Villeret), se ridiculise régulièrement, à ses yeux, dans un numéro de clown de village. Devant la réaction de dégout de l'ado, le meilleur ami de son père (Dussolier), lui dévoile l'origine de cette vocation : à la fin de la seconde guerre mondiale, les deux amis se retrouvent dans une histoire de résistance....
A travers ce récit, nous découvrons la bravoure de l instituteur et de son ami. Le ton est juste et fait mouche (oui j ai encore pleuré...), l histoire est parfaite et pourtant je ne suis pas une fan des films traitants de cette période de notre histoire.
A voir absolumment.