J'allais le diretrotinette a écrit :on verra ça samedi
Love actually - Richard Curtis - 2003
Modérateur : dino VELVET
- moycéline
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cette seance restera un bon souvenir : debout a attendre que zorg et sam carter finissent par enfin me voir car je leur avais reserve de bonnes places (faut dire que la senace etait complete et que je faisais le forcing pour leur garder les places) puis assise pendant le film entre mes deux "copines"..
sam carter me tabassant parce que je ne pleurais pas et zorg entrant dans des considerations typiquement feminines sur le mascara waterproof...
bref une comedie sympa sans plus mais quand on la voit en bonne compagnie ça passe bien...
sam carter me tabassant parce que je ne pleurais pas et zorg entrant dans des considerations typiquement feminines sur le mascara waterproof...
bref une comedie sympa sans plus mais quand on la voit en bonne compagnie ça passe bien...
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- Tycoon
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Bon. Sur l'insistance d'une personne que je ne citerai pas, je vais vous donner mon sentiment sur le film...
Seance pleine à craquer dans une salle bizarre au Forum des Halles... Suprenant.. Je passe sous silence le fait qu'on a failli perdre Troti dans la salle pour passer au film...
Bon alors, ça se laisse regarder sans déplaisir. Y'a de très bons passages, certaines situations sont bien cocasses, voire même bien loufoques comme il faut. D'autres débordent de guimauve assez difficile à avaler, mais ca reste quand meme assez léger et digeste, pour ne pas dire attendrissant parfois. Comme souvent avec les comédies anglaises, le dramatique cotoie le loufoque, et le mélange est assez réussi dans l'ensemble (dois-je rappeller que le film a été écrit et réalisé par celui qui a fait Notting Hill et 4 mariages et un enterrement, et que la parenté se sent immédiatement ?)
Côté casting, c'est du 4 étoiles, et y'en a pour tout le monde, garçons comme filles, et si quelques personnage se détachent du lot, ca reste assez homogène quand même, et les guests se battent pour emporter la palme de l'apparition la plus cool et/ou la plus décalée.
De plus, si vous êtes allergiques aux comédies romantiques, vous pouvez aller voir celle là car après vous serez dispensé d'en revoir la moindre. Les auteurs réussisent qd meme à nous condenser toutes les variantes possibles (ou presque) de ce genre de film, ce qui au final fera faire une sacrée économie de temps et d'énergie à bon nombre d'entre nous. Une sorte de best-of quoi.
PS : faut pas pleurer comme ca Stéphanie. C'est pas grave ce qui se passe dans le film tu sais.
Seance pleine à craquer dans une salle bizarre au Forum des Halles... Suprenant.. Je passe sous silence le fait qu'on a failli perdre Troti dans la salle pour passer au film...
Bon alors, ça se laisse regarder sans déplaisir. Y'a de très bons passages, certaines situations sont bien cocasses, voire même bien loufoques comme il faut. D'autres débordent de guimauve assez difficile à avaler, mais ca reste quand meme assez léger et digeste, pour ne pas dire attendrissant parfois. Comme souvent avec les comédies anglaises, le dramatique cotoie le loufoque, et le mélange est assez réussi dans l'ensemble (dois-je rappeller que le film a été écrit et réalisé par celui qui a fait Notting Hill et 4 mariages et un enterrement, et que la parenté se sent immédiatement ?)
Côté casting, c'est du 4 étoiles, et y'en a pour tout le monde, garçons comme filles, et si quelques personnage se détachent du lot, ca reste assez homogène quand même, et les guests se battent pour emporter la palme de l'apparition la plus cool et/ou la plus décalée.
De plus, si vous êtes allergiques aux comédies romantiques, vous pouvez aller voir celle là car après vous serez dispensé d'en revoir la moindre. Les auteurs réussisent qd meme à nous condenser toutes les variantes possibles (ou presque) de ce genre de film, ce qui au final fera faire une sacrée économie de temps et d'énergie à bon nombre d'entre nous. Une sorte de best-of quoi.
PS : faut pas pleurer comme ca Stéphanie. C'est pas grave ce qui se passe dans le film tu sais.
- Rockatansky
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vu lundi, assez mauvais, j'aprécie pourtant les comédies romantique genre 4 mariages ou notting hill, mais là hormis les clichés et les caricatures le pb vient essentiellment du fait que la multitude d'histoires te fait perdre le fil la plupart du temps, et la mise en scène est d'un lourdingue comme c'est rarement permis
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
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Revu il ya quelques jours et je rejoins assez l'avis du disparu Zorg
Dans le paquet cadeau estampillé Love actually, on vous offre la fine fleur américano-brittanique : Hugh Grant, Liam Neeson, Colin Firth, Keira Knightley, Emma Thompson, Laura Linney, Alan Rickman, Bill Nighy, Rowan Atkinson, Billy Bob Thornton, Andrew Lincoln, Denise Richards, Elisha Cuthbert, Shannon Elizabeth, rien que ça... Plus de vingt personnages principaux, divers destins amoureux qui s'entrecroisent au fil du récit, c'est dégoulinant de bons sentiments ettpourtant, la sauce prend ! Film de filles penseront certains, remonte moral pour d'autres, Love actually ne fait en tout cas pas dans la nuance, le sujet c'est l'amour, l'amour et accessoirement aussi l'amour. L'interêt cinématographique est évidemment quasi inexistant mais le spectateur est censé savoir ce qu'il est invité à regarder, sans quoi il risque de faire une allergie des plus aigûes devant un tel produit.
Au pied de ce sapin de Noël 2003 donc, de la guimauve donc mais aussi une chanson, plus précisément une reprise d'un tube des wet wet wet : Love is all around transformé en Christmas is all around par un Bill Nighy drôlissme ! J'adore cet acteur, il incarne à merveille l'humour sophistiquée et absurde du cinéma brittanique. J'ai d'ailleurs mis un certain temps à apprivoiser cet humour là mais aujourd'hui, je peux dire que l'image Benny Hill - Mister Bean que je m'en faisais a totalement disparu ! De là à m'enquiller 4 mariages et un enterrement ou Le journal de Bridget Jones, il ya un pas que je ne franchirais sûrement pas. Cette multiplication de personnages et donc de situations amoureuses peut donc avoir deux conséquences sur le spectateur : l'acceptation ou le rejet. Dans un bon jour, on peut passer outre les défauts de mise en scène et autres situations rocambolesques, mais dans un mauvais, la guimauve peut aussi s'avérer des plus écoeurantes. En tout cas, quoique l'on puisse en penser, Love actually est une compilation ultime du feelgood movie, un peu longuette certes mais pas forcément désagréable...
Dans le paquet cadeau estampillé Love actually, on vous offre la fine fleur américano-brittanique : Hugh Grant, Liam Neeson, Colin Firth, Keira Knightley, Emma Thompson, Laura Linney, Alan Rickman, Bill Nighy, Rowan Atkinson, Billy Bob Thornton, Andrew Lincoln, Denise Richards, Elisha Cuthbert, Shannon Elizabeth, rien que ça... Plus de vingt personnages principaux, divers destins amoureux qui s'entrecroisent au fil du récit, c'est dégoulinant de bons sentiments ettpourtant, la sauce prend ! Film de filles penseront certains, remonte moral pour d'autres, Love actually ne fait en tout cas pas dans la nuance, le sujet c'est l'amour, l'amour et accessoirement aussi l'amour. L'interêt cinématographique est évidemment quasi inexistant mais le spectateur est censé savoir ce qu'il est invité à regarder, sans quoi il risque de faire une allergie des plus aigûes devant un tel produit.
Au pied de ce sapin de Noël 2003 donc, de la guimauve donc mais aussi une chanson, plus précisément une reprise d'un tube des wet wet wet : Love is all around transformé en Christmas is all around par un Bill Nighy drôlissme ! J'adore cet acteur, il incarne à merveille l'humour sophistiquée et absurde du cinéma brittanique. J'ai d'ailleurs mis un certain temps à apprivoiser cet humour là mais aujourd'hui, je peux dire que l'image Benny Hill - Mister Bean que je m'en faisais a totalement disparu ! De là à m'enquiller 4 mariages et un enterrement ou Le journal de Bridget Jones, il ya un pas que je ne franchirais sûrement pas. Cette multiplication de personnages et donc de situations amoureuses peut donc avoir deux conséquences sur le spectateur : l'acceptation ou le rejet. Dans un bon jour, on peut passer outre les défauts de mise en scène et autres situations rocambolesques, mais dans un mauvais, la guimauve peut aussi s'avérer des plus écoeurantes. En tout cas, quoique l'on puisse en penser, Love actually est une compilation ultime du feelgood movie, un peu longuette certes mais pas forcément désagréable...
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