Free, 9 télécom, téléphone gratuit et TV ADSL
Modérateur : dino VELVET
Source : Grenouille
Free passe à 6 Mbit/sec
Free vient d'annoncer dans un communiqué de presse de ce jour le passage de ses abonnés en zone dégroupée aux débits de 6 Mbit/sec en download et 512 Kbit/sec en upload (contre 5 Mbit et 384K précédemment), sous réserve d'éligibilité de la ligne, pour un tarif inchangé de 29,99 €/mois.
> plus d'infos sur free.fr
Free passe à 6 Mbit/sec
Free vient d'annoncer dans un communiqué de presse de ce jour le passage de ses abonnés en zone dégroupée aux débits de 6 Mbit/sec en download et 512 Kbit/sec en upload (contre 5 Mbit et 384K précédemment), sous réserve d'éligibilité de la ligne, pour un tarif inchangé de 29,99 €/mois.
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Aucune idée. de plus, Free puire de plus en plus la satisfaction du nouveau client. 
Tenez:

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le reste ici http://adsl.free.fr/admin/sagem_freebox.htmlOffre de renouvellement du modem Sagem par un modem Freebox actualisée en date du 24 août 2004
Free propose à l'ensemble de ses abonnés disposant d'un modem Sagem de le remplacer, dans la limite des stocks disponibles et sous réserve d'éligibilité de la ligne, contre un modem Freebox afin de permettre à ses abonnés d'accéder à l'offre de téléphonie et, si la ligne le permet, aux services TV. Cette offre n'est actuellement proposée qu'aux abonnés dégroupés.
Si vous souhaitez bénéficier de cette offre de renouvellement, nous vous remercions de bien vouloir suivre la procédure décrite ci-dessous. L'offre de renouvellement du modem Sagem contre un modem Freebox est facturée 60 Euros au titre des frais engagés par Free. Ces frais seront débités sur votre facture émise après réception du nouveau modem. Il sera appliqué sur ces frais un tarif dégressif qui variera en fonction de l'ancienneté de l'abonné :
Pour un abonnement d'une durée supérieure ou égale à 13 mois, les frais seront facturés 30 euros
Pour un abonnement d'une durée supérieure ou égale à 25 mois, les frais seront offerts.
Pour calculer la durée de votre abonnement, il convient de prendre comme point de départ le 1er du mois de la première facture émise par Free dans le cadre de votre abonnement Free Haut Débit. (Exemple: si vous avez reçu votre première facture le 10 septembre 2002, la date de début de votre abonnement sera le 1er septembre 2002).
Toute opération de renouvellement d'un modem annule l'ancienneté de l'abonné. L'ancienneté sera ensuite calculée à partir du mois de la première facture émise après la mise à disposition du modem Freebox.
A titre exceptionnel, Free laisse à votre disposition pour toute la durée de votre abonnement le modem Sagem. Il vous appartiendra, en cas de résiliation de votre abonnement, de nous retourner le modem Sagem ainsi que le modem Freebox.
Une fois que vous aurez confirmé la procédure en cliquant sur le bouton "confirmer", votre demande sera prise en compte et vaudra acceptation de votre part des conditions de renouvellement et Free procédera à l'envoi de votre modem Freebox. Vous pourrez suivre l'avancement de cet envoi sur la console de suivi de commande que nous mettons à votre disposition sur notre site Internet en rubrique "Votre compte". Il sagit d'une offre commerciale spécifique et valable uniquement dans le cadre de l'offre de renouvellement du modem Sagem par un modem Freebox.
Conformément à nos Conditions Générales de Vente qui restent applicables, le modem Sagem et le modem Freebox sont mis à votre disposition mais demeurent la propriété de Free.
Le délai de livraison du modem Freebox est d'environ 20 jours dans la limite d'un envoi par Free de 5 000 renouvellements par mois.
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le dégroupage crée de nouvelles disparités entre régions
ADSL: le dégroupage crée de nouvelles disparités entre régions
Selon l’Observatoire des télécommunications, le taux de couverture de la population en ADSL a atteint 75% fin 2003. Seuls six départements ont un taux inférieur à 40%. Mais d’autres disparités importantes apparaissent avec le dégroupage.
Va-t-il falloir revoir la définition de la "fracture numérique" en France? C’est ce qui se dégage en filigrane de l’édition 2003 de l’Observatoire régional des télécommunications (Ortel), réalisée conjointement par le cabinet de conseil Tactis et l'institut d'études Idate.
Car si le nombre de personnes pouvant avoir accès à un service de «connexion permanente à l’internet» (1) a considérablement augmenté, des disparités très importantes sont désormais à craindre entre les zones dégroupées (option 1 de la classification (2) de l’Autorité de régulation des télécoms) et celles où France Télécom reste l’unique opérateur de réseau. Selon l’Ortel, le taux de couverture de la population éligible au service de connexion permanente à l’internet est passé de 62% à 75% entre fin 2002 et fin 2003. Ce qui représente environ 45 millions de Français.
Sur la même période, le nombre de communes totalement ou partiellement couvertes par de tels services a doublé pour atteindre 14.700. Fin 2003, «il restait moins de 30% du territoire bâti non couvert par une offre de connexion permanente», estiment les deux instituts. Ces offres s’appuient dans leur vaste majorité sur la technologie ADSL, car «la diversité du choix technologique en France souffre de la relative faiblesse du câble». Seule 26% de la population est située dans une commune couverte par le câble, contre 75% pour l’ADSL.
La Creuse, la Lozère et la Guyane en queue de peloton
La proportion de personnes ayant accès aux deux technologies est de 26%. «Pour la population, ce chiffre a stagné du fait d’absence réelle d’alternative technologique nouvelle au DSL et de l’absence de déploiements nouveaux dans le domaine des réseaux câblés», peut-on lire dans le rapport. Pour devenir une alternative sérieuse, la "boucle locale radio" (BLR) devra notamment attendre le déploiement de solutions nouvelles comme le Wimax, tandis que l’arrivée de la fibre optique en dehors des zones d’activité économique (pas forcément urbaines est «encore balbutiante». Mais ces technologies sont aussi tributaires des investissements que réaliseront les collectivités locales, désormais autorisées être opérateurs de réseaux.
Fin 2003, 10 départements bénéficiaient d’une couverture ADSL supérieure à 90% de la population, contre 6 un an auparavant. «De même, 28 départements avaient une couverture inférieure à 40% en 2002, il n’étaient plus que 6 fin 2003», poursuit l’Ortel. «Mais le taux de couverture le plus faible est de 28% pour la Creuse, la Lozère et la Guyane».
Reste que de nouvelles disparités, encore plus flagrantes, apparaissent lorsqu’on recense les communes ayant accès à un service dégroupé, qui permet à des concurrents de l’opérateur historique de toucher directement l’utilisateur final. En un an, le taux de population éligible à ces services est certes passé de 14% à 25%. Toutefois, «les situations locales restent très contrastées»: seuls 4 départements disposaient d’une couverture supérieure à 75% de la population, Paris et sa petit couronne. À l’opposé, 68 départements n’avaient accès à aucune offre de service dégroupé.
Le dégroupage s’est considérablement accéléré au cours des premiers mois de 2004, mais les disparités risquent de se renforcer avec l’apparition d’offres de services innovantes, liées à la commercialisation des accès haut débit, comme la télé sur ADSL ou la téléphonie sur IP. «Les nouveaux services apparaissent à un rythme de plus en plus rapide dans des zones très denses (Paris, Lyon...), alors que l’offre de base, tout en étant en forte progression, ne couvre pas encore l’ensemble des foyers et des entreprises», conclut l’Ortel.
(1) Selon la définition de l’Ortel, une connexion permanente peut être à bas débit (égal ou inférieur à 128 Kbit/s), moyen débit (inférieur à 2Mbit/s), haut débit (entre 2Mbit/s et 100 Mbit/s) et très haut débit (supérieur à 100Mbit/s).
(2) Les opérateurs et les fournisseurs d'accès à Internet (FAI) peuvent se connecter au réseau de France Télécom (FT) à différents niveaux:
- L'option 1, concernant le dégroupage, donne aux opérateurs concurrents de FT accès à la «paire de cuivre» afin d'accéder directement au consommateur.
- L'option 3 concerne «l'offre de revente de la ligne ADSL de France Télécom et la collecte de trafic à des niveaux intermédiaires du réseau de FT à destination des opérateurs, complémentaire du dégroupage», selon la définition de l'ART. Elle permet aux opérateurs de concurrencer FT sur les offres IP/ADSL qu'ils revendent directement aux FAI.
- L'option 5 s'adresse quant à elle directement aux FAI.
Selon l’Observatoire des télécommunications, le taux de couverture de la population en ADSL a atteint 75% fin 2003. Seuls six départements ont un taux inférieur à 40%. Mais d’autres disparités importantes apparaissent avec le dégroupage.
Va-t-il falloir revoir la définition de la "fracture numérique" en France? C’est ce qui se dégage en filigrane de l’édition 2003 de l’Observatoire régional des télécommunications (Ortel), réalisée conjointement par le cabinet de conseil Tactis et l'institut d'études Idate.
Car si le nombre de personnes pouvant avoir accès à un service de «connexion permanente à l’internet» (1) a considérablement augmenté, des disparités très importantes sont désormais à craindre entre les zones dégroupées (option 1 de la classification (2) de l’Autorité de régulation des télécoms) et celles où France Télécom reste l’unique opérateur de réseau. Selon l’Ortel, le taux de couverture de la population éligible au service de connexion permanente à l’internet est passé de 62% à 75% entre fin 2002 et fin 2003. Ce qui représente environ 45 millions de Français.
Sur la même période, le nombre de communes totalement ou partiellement couvertes par de tels services a doublé pour atteindre 14.700. Fin 2003, «il restait moins de 30% du territoire bâti non couvert par une offre de connexion permanente», estiment les deux instituts. Ces offres s’appuient dans leur vaste majorité sur la technologie ADSL, car «la diversité du choix technologique en France souffre de la relative faiblesse du câble». Seule 26% de la population est située dans une commune couverte par le câble, contre 75% pour l’ADSL.
La Creuse, la Lozère et la Guyane en queue de peloton
La proportion de personnes ayant accès aux deux technologies est de 26%. «Pour la population, ce chiffre a stagné du fait d’absence réelle d’alternative technologique nouvelle au DSL et de l’absence de déploiements nouveaux dans le domaine des réseaux câblés», peut-on lire dans le rapport. Pour devenir une alternative sérieuse, la "boucle locale radio" (BLR) devra notamment attendre le déploiement de solutions nouvelles comme le Wimax, tandis que l’arrivée de la fibre optique en dehors des zones d’activité économique (pas forcément urbaines est «encore balbutiante». Mais ces technologies sont aussi tributaires des investissements que réaliseront les collectivités locales, désormais autorisées être opérateurs de réseaux.
Fin 2003, 10 départements bénéficiaient d’une couverture ADSL supérieure à 90% de la population, contre 6 un an auparavant. «De même, 28 départements avaient une couverture inférieure à 40% en 2002, il n’étaient plus que 6 fin 2003», poursuit l’Ortel. «Mais le taux de couverture le plus faible est de 28% pour la Creuse, la Lozère et la Guyane».
Reste que de nouvelles disparités, encore plus flagrantes, apparaissent lorsqu’on recense les communes ayant accès à un service dégroupé, qui permet à des concurrents de l’opérateur historique de toucher directement l’utilisateur final. En un an, le taux de population éligible à ces services est certes passé de 14% à 25%. Toutefois, «les situations locales restent très contrastées»: seuls 4 départements disposaient d’une couverture supérieure à 75% de la population, Paris et sa petit couronne. À l’opposé, 68 départements n’avaient accès à aucune offre de service dégroupé.
Le dégroupage s’est considérablement accéléré au cours des premiers mois de 2004, mais les disparités risquent de se renforcer avec l’apparition d’offres de services innovantes, liées à la commercialisation des accès haut débit, comme la télé sur ADSL ou la téléphonie sur IP. «Les nouveaux services apparaissent à un rythme de plus en plus rapide dans des zones très denses (Paris, Lyon...), alors que l’offre de base, tout en étant en forte progression, ne couvre pas encore l’ensemble des foyers et des entreprises», conclut l’Ortel.
(1) Selon la définition de l’Ortel, une connexion permanente peut être à bas débit (égal ou inférieur à 128 Kbit/s), moyen débit (inférieur à 2Mbit/s), haut débit (entre 2Mbit/s et 100 Mbit/s) et très haut débit (supérieur à 100Mbit/s).
(2) Les opérateurs et les fournisseurs d'accès à Internet (FAI) peuvent se connecter au réseau de France Télécom (FT) à différents niveaux:
- L'option 1, concernant le dégroupage, donne aux opérateurs concurrents de FT accès à la «paire de cuivre» afin d'accéder directement au consommateur.
- L'option 3 concerne «l'offre de revente de la ligne ADSL de France Télécom et la collecte de trafic à des niveaux intermédiaires du réseau de FT à destination des opérateurs, complémentaire du dégroupage», selon la définition de l'ART. Elle permet aux opérateurs de concurrencer FT sur les offres IP/ADSL qu'ils revendent directement aux FAI.
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Record de vitesse :
NC NumériCable propose du 8 Méga
Pour 59,90 € / mois, on a :

NC NumériCable propose du 8 Méga
Pour 59,90 € / mois, on a :
- - modem gratuit ;
- pas de frais d'ouverture ;
- pas de frais de résiliation ;
- 200 Mo de page perso ;
- 6 chaines de tv sur ordi (i tv, cnn, canal j, mcm...) ;
- pas besoin de téléphone.

- Polygone
- Golden Globe
- Messages : 1395
- Enregistré le : 14.10.2002 - 15:33
- Localisation : Paris, U.E.
- Contact :
Pour info, l'Internet par NCNumericable est fourni par AOLBouBout a écrit :Record de vitesse :
NC NumériCable propose du 8 Méga
Pour 59,90 € / mois, on a :Bon, faut avoir confiance au câble (hum noos !) et être cablé par NC, mais c'est quand même une sacré offre !
- - modem gratuit ;
- pas de frais d'ouverture ;
- pas de frais de résiliation ;
- 200 Mo de page perso ;
- 6 chaines de tv sur ordi (i tv, cnn, canal j, mcm...) ;
- pas besoin de téléphone.

Sinon, je ne vois pas l'intéret de cette course aux débits... surtout que là, on est au double du prix des "ADSL-Box" et qu'il manque la VoIP.
(Pour info, les 3 opérateurs mobiles incluent désormais les appels vers les freebox en 087x dans leurs forfaits...)
Maman disait toujours :
La Vie, c'est comme un boîte de chocolats ; on ne sait jamais sur quoi on va tomber...
La Vie, c'est comme un boîte de chocolats ; on ne sait jamais sur quoi on va tomber...
Assez d'accords avec Poly (Salut Poly tu vas bien
)
Quand tout le monde aura l'ADSL, on parlera de disparité entre ceux qui n'ont "que" du 1024 et ce qui ont du 3MB, alors qu'il n'y a pas si longtemps, beaucoup n'avait même pas internet, et il y a à peine 25 ans, beaucoup n'avait même pas le téléphone.

Quand tout le monde aura l'ADSL, on parlera de disparité entre ceux qui n'ont "que" du 1024 et ce qui ont du 3MB, alors qu'il n'y a pas si longtemps, beaucoup n'avait même pas internet, et il y a à peine 25 ans, beaucoup n'avait même pas le téléphone.

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Plus rien ne les arrête !!!
Free reprend l'avantage avec du 10 Mega !?
C'est le mode "patate"


Free reprend l'avantage avec du 10 Mega !?
C'est le mode "patate"

A partir de demain, lundi 30 août, les profils de réglage du ping vont être modifiés.
Les profils disponibles vont être les suivants :La grande nouveauté vient donc de ce mode Patate qui permettra un débridage total du débit : 10240k en download et 800k en upload ! (débit ATM)
- Normal (Pour Sagem & Freebox) ;
Interleave bas (Déconseillé aux Sagem) ;
FastPath (Pour Sagem & Freebox) ;
Patate (Pour Sagem & Freebox).
La mise à jour des DSLAMS parisiens devrait être faite dans la nuit.
Pour en savoir plus sur les différents profils, rendez-vous sur cette page.
