Yeah Superflo a posté à nouveau sur Attitude !
[Accent anglais ON]Champagne !!!!![Accent anglais OFF]
Un jeu qui glace le sang
Modérateur : dino VELVET
Le Cancre, véritable appeau à gonzesses... ... Heu... C'est beau la persévérance dans la méthode Coué...Pp79 a écrit :Yeah Superflo a posté à nouveau sur Attitude !
[Accent anglais ON]Champagne !!!!![Accent anglais OFF]
La pensée profonde du mois : "Avec deux lignes de l'écriture d'un homme on peut faire le procès au plus innocent" (Richelieu)
- le pinsutu en tong
- Natale
- Messages : 702
- Enregistré le : 22.07.2003 - 16:08
Je pense aussi que l'expérience est quand même bien connue. ILs auraient pu changer le mode de chatiment au moins.Je regarde en ce moment le doc et je le trouve assez putassier de part déjà l'emploie abusif des musiques de 28 jours jours plus tard ou orange mécanique. Ce doc mise plus sur le spectaculaire que sur la démonstration scientifique. Au lieu d'exposer impartialement les faits, ils cherchent à prouver leur de vue.
Modifié en dernier par le pinsutu en tong le 18.03.2010 - 12:31, modifié 1 fois.
You're going to get spoiled!
La dernière partie du débat qui a suivi était sacrément bordélique (ça latte sur les ondes, hein Christophe ?!) et bien, évidemment, c'était les 3 "spécialistes" du petit écran (1m20 chez Pp quand même) qui avaient la plus grande gueule. Et ça rend agressif de bosser dans un journal télé...
La pensée profonde du mois : "Avec deux lignes de l'écriture d'un homme on peut faire le procès au plus innocent" (Richelieu)
Jeu de la mort : la vérité sur le clash avec Hondelatte
Hier soir à 20h35, France 2 a diffusé le documentaire "Le jeu de la mort", basé sur une émission fictive dans laquelle un candidat doit retenir une succession de mots sous peine d'envoyer une décharge électrique à un autre candidat (en réalité un comédien).
Le documentaire a été suivi d'un débat animé par Christophe Hondelatte, qui a été enregistré la semaine dernière. Dans Libération, l'un des participants au débat, Alexandre Lacroix, rédacteur en chef de Philosophie Magazine, a vivement critiqué l'attitude de l'animateur durant l'enregistrement.
« D'abord, raconte Alexandre Lacroix, Christophe Hondelatte interroge l'un des candidats au jeu ayant cru envoyé des décharges électriques à son "cobaye" et ignorant que le jeu était un coup monté. "Il faut quand même dire une chose importante, vous concernant" commence l'animateur. "Je n'aimerais mieux pas" lance alors le candidat mais Hondelatte de poursuivre : "C'est important : vous êtes homosexuel". » Alexandre Lacroix évoque un malaise sur le plateau.
Interrogé à son tour sur le plateau, Lacroix affirme avoir déclaré : « Cette soirée est précieuse. Nous avons l'occasion de nous interroger sur le pouvoir de la télévision. Mais la façon dont la discussion s'est engagée me rend pessimiste (...) On demande à un participant obéissant de nous prouver qu'il n'est pas un sale type, alors que 80 % des gens ont fait comme lui. Et puis on étale sa vie privée. Cela démontre que le plateau de télévision est un dispositif coercitif, où le présentateur a le pouvoir. »
« Bon, ben, c'est simple. Tu vois la porte là ? Tu dégages ! Pas de ça dans mon émission » lance alors Christophe Hondelatte. « C'est moi qui commande ici. Je suis le capitaine. Compris ? Alors tu te lèves là et on va s'expliquer. Juste toi et moi dans ma loge. face à face ! » Après vingt minutes d'interruption, le débat a repris. « Les échanges ont été alors confus, chaotiques et le débat saboté » écrit Alexandre Lacroix.
Précisions de Jean Marc Morandini
Ayant été moi-même invité sur le plateau de ce débat, deux précisions importantes.
1/ Le candidat à qui Christophe Hondelatte a parlé de son homosexualité a expliqué lui même, pendant cet incident, que c'est lui qui avait souhaité évoquer ce sujet.
Il l'avait demandé aux journalistes qui préparent l'émission, afin de prouver qu'il était capable de résister à des pressions. Il a reconnu sur le plateau qu'il avait fait marche arrière le matin même pour des raisons personnelles, sans en avoir parlé à personne de l'équipe de production de l'émission.
Christophe Hondelatte a alors expliqué « que cette séquence serait "comme il se doit" coupée au montage » pour ne pas l'embarrasser.
2/ Alexandre Lacroix, de Philosophie Magazine, n'a jamais tenu en plateau les phrases qu'il affirme avoir prononcées. Il s'est contenté de dire « Non, je ne pars pas, je reste ». Il n'a jamais dit par exemple : « Vous croyez que je vais vous obéir ? Vous rêvez ? » comme il l'affirme dans l'article. Il était penaud sur son siège, rouge écarlate, au point que c'est un des intervenants qui a du prendre la parole pour le défendre.
Même si la colère de Christophe Hondelatte était excessive, c'est un peu facile aujourd'hui de refaire l'histoire dans Libération en se donnant le beau rôle. Si le débat dérangeait M. Lacroix - partenaire de la soirée- il lui suffisait de quitter le plateau au lieu de jouer le jeu jusqu'à la fin sans jamais émettre la moindre critique après cet incident.
Hier soir à 20h35, France 2 a diffusé le documentaire "Le jeu de la mort", basé sur une émission fictive dans laquelle un candidat doit retenir une succession de mots sous peine d'envoyer une décharge électrique à un autre candidat (en réalité un comédien).
Le documentaire a été suivi d'un débat animé par Christophe Hondelatte, qui a été enregistré la semaine dernière. Dans Libération, l'un des participants au débat, Alexandre Lacroix, rédacteur en chef de Philosophie Magazine, a vivement critiqué l'attitude de l'animateur durant l'enregistrement.
« D'abord, raconte Alexandre Lacroix, Christophe Hondelatte interroge l'un des candidats au jeu ayant cru envoyé des décharges électriques à son "cobaye" et ignorant que le jeu était un coup monté. "Il faut quand même dire une chose importante, vous concernant" commence l'animateur. "Je n'aimerais mieux pas" lance alors le candidat mais Hondelatte de poursuivre : "C'est important : vous êtes homosexuel". » Alexandre Lacroix évoque un malaise sur le plateau.
Interrogé à son tour sur le plateau, Lacroix affirme avoir déclaré : « Cette soirée est précieuse. Nous avons l'occasion de nous interroger sur le pouvoir de la télévision. Mais la façon dont la discussion s'est engagée me rend pessimiste (...) On demande à un participant obéissant de nous prouver qu'il n'est pas un sale type, alors que 80 % des gens ont fait comme lui. Et puis on étale sa vie privée. Cela démontre que le plateau de télévision est un dispositif coercitif, où le présentateur a le pouvoir. »
« Bon, ben, c'est simple. Tu vois la porte là ? Tu dégages ! Pas de ça dans mon émission » lance alors Christophe Hondelatte. « C'est moi qui commande ici. Je suis le capitaine. Compris ? Alors tu te lèves là et on va s'expliquer. Juste toi et moi dans ma loge. face à face ! » Après vingt minutes d'interruption, le débat a repris. « Les échanges ont été alors confus, chaotiques et le débat saboté » écrit Alexandre Lacroix.
Précisions de Jean Marc Morandini
Ayant été moi-même invité sur le plateau de ce débat, deux précisions importantes.
1/ Le candidat à qui Christophe Hondelatte a parlé de son homosexualité a expliqué lui même, pendant cet incident, que c'est lui qui avait souhaité évoquer ce sujet.
Il l'avait demandé aux journalistes qui préparent l'émission, afin de prouver qu'il était capable de résister à des pressions. Il a reconnu sur le plateau qu'il avait fait marche arrière le matin même pour des raisons personnelles, sans en avoir parlé à personne de l'équipe de production de l'émission.
Christophe Hondelatte a alors expliqué « que cette séquence serait "comme il se doit" coupée au montage » pour ne pas l'embarrasser.
2/ Alexandre Lacroix, de Philosophie Magazine, n'a jamais tenu en plateau les phrases qu'il affirme avoir prononcées. Il s'est contenté de dire « Non, je ne pars pas, je reste ». Il n'a jamais dit par exemple : « Vous croyez que je vais vous obéir ? Vous rêvez ? » comme il l'affirme dans l'article. Il était penaud sur son siège, rouge écarlate, au point que c'est un des intervenants qui a du prendre la parole pour le défendre.
Même si la colère de Christophe Hondelatte était excessive, c'est un peu facile aujourd'hui de refaire l'histoire dans Libération en se donnant le beau rôle. Si le débat dérangeait M. Lacroix - partenaire de la soirée- il lui suffisait de quitter le plateau au lieu de jouer le jeu jusqu'à la fin sans jamais émettre la moindre critique après cet incident.
"échanges confus et chaotiques" : ouaip plutôt... mais "débat saboté" : non ! Une bonne partie des participants n'ont pas eu besoin de Hondelatte pour faire couler le navire...
La pensée profonde du mois : "Avec deux lignes de l'écriture d'un homme on peut faire le procès au plus innocent" (Richelieu)