Ghost Rider 2 - Neveldine / Taylor - 2012

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Actuellement dans Bangkok Dangerous, Nicolas Cage aurait révélé ses futurs projets en tant qu'acteur.

Pour commencer, une suite à Ghost Rider serait envisageable. L'acteur se verrait très rien dans un road-trip européen au volant de sa grosse bécane et donnerait à l'histoire des allures de Da Vinci Code ou du moins un rapprochement certain à la religion.

Son deuxième projet, dont nous vous avions déjà parlé, sera sa participation à Kick-Ass l'adaptation du comic de Mark Millar. Cette fois il jouera un flic ne pensant qu'à entraîner sa fille à devenir une super héroïne.

L'acteur oscarisé pour Leaving Las-Vegas voit sa carrière dégringoler. Ayant pris goût aux nanars hollywoodiens, il ne semble envisager aucun retour dans un film sérieux.

Source : ? via EL

[dino VELVET]

A quand des DTV avec Cage ?

[JOJO]

SANS MOI

[Le Cancre]

Mais pour Peter ça sera : DTC (Direct To Caddy)

[dino VELVET]

Ce soir

[dino VELVET]

Amen.

Je développe bientôt.

[dino VELVET]

Déjà, je précise que je n’ai pas vu le premier opus, il a l’air trop pourri

A noter que j’aurais réagi exactement pareil avec ce second volet si les réalisateurs n’avaient pas été Mark Neveldine et Brian Taylor.

Putain, Neveldine et Taylor, les fous furieux responsables de la franchise la plus badass de la création (Crank !)

De séquelle d’un film minable, Ghost rider 2 est passé au projet attendu

Un côté excitant renforcé par l’annonce d’un métrage sombre, d’un Cage plus impliqué (rappelons que c’était un cascadeur qui jouait précédemment le Rider !) et des seconds couteaux en or massif.

A l’arrivée, c’est mauvais

Le script, bien bordélique dans son genre, est surtout timoré au possible (sa plus grande folie : un Rider qui pisse du feu, mouais … ).

Le casting est à la ramasse.

Cage oscille entre des instants de cabotinage éhonté et des moments où il semble se faire chier copieusement.

Ciaran Hinds nous fait une mauvaise parodie de De Niro dans Angel Heart.

Idris Elba gâche son talent en jouant le sidekick de service.

Christophe Lambert n’a même pas deux minutes à l’écran (c’est plus un caméo qu’autre chose).

La mise en scène est hyper énergique mais s’avère vite lassante.

A croire que le style Neveldine / Taylor ne sied qu’à Crank, un constat amer qu’Ultimate game laissait déjà entrevoir.

A suivre, j’espère me tromper …

A l’arrivée, deux trucs à sauver :

- La scène où le Rider défonce tout avec l’engin de chantier (nawak mais jouissif).

- Les décors naturels de Cappadoce.

C’est peu mais il faudra s’en contenter