Predators - Nimrod Antal - 2010
Modérateur : dino VELVET
- peter wonkley
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eh bien sache que predators n'est pas qu'une série de gunfights et d'action comme tu le dit si bien et se rapproche pas mal de lost :
- un groupe de personnes qui ne se connaissent pas se retrouve échoué dans la nature
- des évènements fantastiques se produisent (exemple : "l'ombre" du predator/la machine "fumée")
- ils essaient de s'enfuir et de survivre de cet endroit
- dans ce groupe, ya des gens plus ou moins intègres et certains qu'on croit bons le sont beaucoup moins et vice/versa
sauf que lost dure 6 ans et predators 1h40 !
- un groupe de personnes qui ne se connaissent pas se retrouve échoué dans la nature
- des évènements fantastiques se produisent (exemple : "l'ombre" du predator/la machine "fumée")
- ils essaient de s'enfuir et de survivre de cet endroit
- dans ce groupe, ya des gens plus ou moins intègres et certains qu'on croit bons le sont beaucoup moins et vice/versa
sauf que lost dure 6 ans et predators 1h40 !
peter wonkley a écrit :eh bien sache que predators n'est pas qu'une série de gunfights et d'action comme tu le dit si bien et se rapproche pas mal de lost :
- un groupe de personnes qui ne se connaissent pas se retrouve échoué dans la nature
- des évènements fantastiques se produisent (exemple : "l'ombre" du predator/la machine "fumée")
- ils essaient de s'enfuir et de survivre de cet endroit
- dans ce groupe, ya des gens plus ou moins intègres et certains qu'on croit bons le sont beaucoup moins et vice/versa
sauf que lost dure 6 ans et predators 1h40 !
La pensée profonde du mois : "Avec deux lignes de l'écriture d'un homme on peut faire le procès au plus innocent" (Richelieu)
- dino VELVET
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J’ai découvert le film hier, c’est parti.
Un métrage qui commence très fort avec une ouverture en chute libre. Plus abrupt tu meurs.
Predators brasse ensuite pas mal d’influences : Cube (les enlèvements mystérieux), Lost (persos catapultés dans une jungle étrange) et Les chasses du Comte Zaroff (avec des Predators toujours friands de chasse à l’homme).
Ca continue tambour battant avec de la grosse action qui débourre, animée par une galerie de tronches pas possibles : Adrien Brody (finalement convainquant en action man froid), Oleg Taktarov (qui me fait toujours furieusement penser à un Charles Bronson version stéroïdes), Danny « Machete »Trejo, Walton « The Shield » Goggins et, plus tard, Larry Fishburne.
Pas mal de références au chef-d’œuvre de McT : le gros Russe nous ressort la mitrailleuse gatling de Jesse Ventura, le Yakuza et son katana remplacent le militaire aux couteaux, la vision thermique (incontournable), l’évocation des aventures du Major Dutch Scheffer.
Bien tendu, le film se prend un méchant coup de mou à partir de la rencontre avec le personnage de Fishburne (Ronald Noland … ça c’est du nom !).
J’ai un peu décroché à partir de là
Rien de neuf dans l’intrigue et une action moins décapante qu’au début, c’est dommage.
Si l’idée de ramener des humains sur une autre planète pour les chasser était plutôt bonne, je trouve que le fait que l’action soit entièrement située sur une autre planète nuit grandement au film. C’est trop fantastique, le danger semble moins prégnant que sur terre. L’univers fait factice
Autre bonne idée qui foire à l’arrivée : le fait que le personnage de Fishburne maîtrise la technologie de camouflage des guerriers de l’espace. Pas du tout exploité !
On se console un peu avec la mise en scène au cordeau de Nimrod Antal. Mention spéciale au combat au sabre contre un Predator, passage incongru mais bel hommage au chambara
A l’arrivée, un film distrayant mais pas inoubliable.
Un actioner SF qui commence sur les chapeaux de roue mais ne tient pas la distance.
Moyen
Un métrage qui commence très fort avec une ouverture en chute libre. Plus abrupt tu meurs.
Predators brasse ensuite pas mal d’influences : Cube (les enlèvements mystérieux), Lost (persos catapultés dans une jungle étrange) et Les chasses du Comte Zaroff (avec des Predators toujours friands de chasse à l’homme).
Ca continue tambour battant avec de la grosse action qui débourre, animée par une galerie de tronches pas possibles : Adrien Brody (finalement convainquant en action man froid), Oleg Taktarov (qui me fait toujours furieusement penser à un Charles Bronson version stéroïdes), Danny « Machete »Trejo, Walton « The Shield » Goggins et, plus tard, Larry Fishburne.
Pas mal de références au chef-d’œuvre de McT : le gros Russe nous ressort la mitrailleuse gatling de Jesse Ventura, le Yakuza et son katana remplacent le militaire aux couteaux, la vision thermique (incontournable), l’évocation des aventures du Major Dutch Scheffer.
Bien tendu, le film se prend un méchant coup de mou à partir de la rencontre avec le personnage de Fishburne (Ronald Noland … ça c’est du nom !).
J’ai un peu décroché à partir de là
Rien de neuf dans l’intrigue et une action moins décapante qu’au début, c’est dommage.
Si l’idée de ramener des humains sur une autre planète pour les chasser était plutôt bonne, je trouve que le fait que l’action soit entièrement située sur une autre planète nuit grandement au film. C’est trop fantastique, le danger semble moins prégnant que sur terre. L’univers fait factice
Autre bonne idée qui foire à l’arrivée : le fait que le personnage de Fishburne maîtrise la technologie de camouflage des guerriers de l’espace. Pas du tout exploité !
On se console un peu avec la mise en scène au cordeau de Nimrod Antal. Mention spéciale au combat au sabre contre un Predator, passage incongru mais bel hommage au chambara
A l’arrivée, un film distrayant mais pas inoubliable.
Un actioner SF qui commence sur les chapeaux de roue mais ne tient pas la distance.
Moyen
"If you don't know Jurassic Park, you don't know shit"
"Il a les yeux blindés"
"Now I've got a machine gun ho ! ho ! ho !"
"Are you gonna bark all day, little doggie, or are you gonna bite ?"
"Il a les yeux blindés"
"Now I've got a machine gun ho ! ho ! ho !"
"Are you gonna bark all day, little doggie, or are you gonna bite ?"
Ben, je dirais qu'une éventuelle suite (la fin est ouverte) aurait un sacré potentiel avec un bon scénario, un bon metteur en scène et un budget en rapport avec ses ambitions. Ce dernier point ayant fait clairement défaut à "Predators" : une jungle à peine plus inquiétante que le jardin de ma voisine, certains effets un peu "faiblards" sans verser dans le téléfilm quand même, une durée minimale (la centaine de minutes) et un Robert Rodriguez qui a démissionné préférant devenir producteur (flairant l'embrouille avec le studio ?)
La pensée profonde du mois : "Avec deux lignes de l'écriture d'un homme on peut faire le procès au plus innocent" (Richelieu)
Re: Predators - Nimrod Antal - 2010
Vu récemment
Franchement sympa. J'avais un putain d'a priori négatif cause la réputation qui lui a été faite.
Mais franchement Brody à contre emploi, c'était bien cool.
J'aurais aimé un peu plus de SFX à l'ancienne par contre.
Et des morts ou des situations de danger un peu plus glauque.
Mais dans l'ensemble beaucoup de plaisir à la vision.
Franchement sympa. J'avais un putain d'a priori négatif cause la réputation qui lui a été faite.
Mais franchement Brody à contre emploi, c'était bien cool.
J'aurais aimé un peu plus de SFX à l'ancienne par contre.
Et des morts ou des situations de danger un peu plus glauque.
Mais dans l'ensemble beaucoup de plaisir à la vision.
- Nono-Binks
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Re: Predators - Nimrod Antal - 2010
Vu il y'a peu aussi...
Et franchement pas hyper convaincu... pas mauvais, mais trop convenu, grand public...
Un peu l'impression de redites du premier aussi...
Et franchement pas hyper convaincu... pas mauvais, mais trop convenu, grand public...
Un peu l'impression de redites du premier aussi...
Re: Predators - Nimrod Antal - 2010
Allez quoi, ça remplit bien son office. Et on est dedans de suite.
Sûrement moins bon que le premier mais pas un navet.
Sûrement moins bon que le premier mais pas un navet.
- Nono-Binks
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Re: Predators - Nimrod Antal - 2010
Non c'est clair je n'irais pas jusqu'a le traiter de navet...
Ca remplit son office...
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