
BofEn 2154, il existe deux catégories de personnes : ceux très riches, qui vivent sur la parfaite station spatiale crée par les hommes appelée Elysium, et les autres, ceux qui vivent sur la Terre devenue surpeuplée et ruinée. La population de la Terre tente désespérément d’échapper aux crimes et à la pauvreté qui ne cessent de ne propager. Max, un homme ordinaire pour qui rejoindre Elysium est plus que vital, est la seule personne ayant une chance de rétablir l’égalité entre ces deux mondes. Alors que sa vie ne tient plus qu’à un fil, il hésite à prendre part à cette mission des plus dangereuses - s’élever contre la Secrétaire Delacourt et ses forces armées – mais s’il réussit, il pourra sauver non seulement sa vie mais aussi celle de millions de personnes sur Terre.

Pour son deuxième long-métrage, Neill Blomkamp se contente de nous balancer une variante de District 9.
On y retrouve peu ou prou les mêmes ingrédients : l’argument SF, le ghetto, la technologie aux accents cyberpunks, ...
C’est presque un remake, en plus friqué et moins intelligent

Du coup, le résultat est un peu fade, parfois maladroit (le final niais) et redondant.
Pas mauvais (ça se laisse quand même voir), mais pas franchement bon non plus

En deux mots : anecdotique et dispensable.
Seuls deux trucs m’ont vraiment bien plu :
- Sharlto Copley dans son rôle de mercenaire violent et fantasque

- L’intérieur verdoyant de la station spatiale (original).