Sans un bruit 2 (John Krasinski - 2021)

Tout ce qui concerne le cinéma...

Modérateur : dino VELVET

Répondre
Avatar du membre
dino VELVET
Tycoon
Tycoon
Messages : 11161
Enregistré le : 16.05.2003 - 22:23

Sans un bruit 2 (John Krasinski - 2021)

Message par dino VELVET »

Image
Après les événements mortels survenus dans sa maison, la famille Abbot doit faire face au danger du monde extérieur. Pour survivre, ils doivent se battre en silence. Forcés à s’aventurer en terrain inconnu, ils réalisent que les créatures qui attaquent au moindre son ne sont pas la seule menace qui se dresse sur leur chemin.
Ce sacré John Krasinski nous balance une suite qui ne démérite pas par rapport au premier opus, loin s’en faut.

Sans un bruit 2 commence d’ailleurs très fort avec une séquence de flash-back qui nous refait La guerre des mondes de Spielberg en mode minimaliste.

Le concept des extraterrestres hargneux guidés par le son (idée géniale digne d’un Larry Cohen) fonctionne encore à plein.

J’ai beaucoup aimé les passages où le long-métrage met adroitement plusieurs actions (tendues) en parallèle. C’est brillant.

A l’arrivée, on tient là un film bien troussé.

Humble, immersif, touchant.

Comme son aîné, il possède un côté presque intemporel extrêmement plaisant.

Bref, un bon moment pour ma part. Clairement :idea:
"If you don't know Jurassic Park, you don't know shit"

"Il a les yeux blindés"

"Now I've got a machine gun ho ! ho ! ho !"

"Are you gonna bark all day, little doggie, or are you gonna bite ?"
Avatar du membre
Rockatansky
Tycoon
Tycoon
Messages : 13812
Enregistré le : 08.12.2002 - 13:52

Re: Sans un bruit 2 (John Krasinski - 2021)

Message par Rockatansky »

J'ai bien aimé, la scène d'intro est assez prenante dommage qu'elle soit un peu courte, le reste du film ne réinvente pas la roue loin de là, mais maintient une bonne tension jusqu'au bout. Se laisse regarder.
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
Répondre