Hum … mouaisPilote jugé « un peu distrait » par ses supérieurs en 1961, Neil Armstrong sera, le 21 juillet 1969, le premier homme à marcher sur la lune. Durant huit ans, il subit un entraînement de plus en plus difficile, assumant courageusement tous les risques d’un voyage vers l’inconnu total. Meurtri par des épreuves personnelles qui laissent des traces indélébiles, Armstrong tente d’être un mari aimant auprès d’une femme qui l’avait épousé en espérant une vie normale.
En fait, je n’ai pas grand-chose à en dire.
Visuellement, c’est tenu, bien ouvragé.
Emotionnellement, c’est très sec. Il y a bien quelques moments dans lesquels l’émotion point légèrement (l’affliction de Neil Armstrong par rapport à sa fille ou à ses collègues ayant une fâcheuse tendance à mourir précocement) mais trop peu
Le casting est bien vu … excepté la tête d’affiche. J’ai toujours du mal avec Ryan Gosling (sauf dans Drive) et ce fut encore le cas ici.
A l’arrivée, film moyen à mes yeux.
Rien de mémorable au tableau.