Top Movies (hors 2004)
Modérateur : dino VELVET
Le Corps et le Fouet. Un drame sado-masochiste filmé par Mario Bava avec Christopher Lee armé d’un fouet et Daliah Lavi qui prend des coups et qui aime ça. Une magnifique ambiance gothique sur un rythme lent qu’il faut apprivoiser pour apprécier le film. J’ai tripé. 14/20. Merci Mad Movies
Miller’s Crossing. 17/20. Que dire après une telle note ? Deux génies de l’écriture et de la réalisation se cachent derrière ce film.
Le Masque du Démon. Encore un Mario Bava (qui signait son premier film). L’histoire d’une sorcière qui, deux siècles après avoir été exécuté, revient pour se venger auprès des descendants de ses bourreaux (rancunière la bougresse). On sait où Tim Burton a trouvé quelques-unes de ses références pour son Sleepy Hollow (le masque de torture avec les piques à l’intérieur, l’effusion de sang qui suit, les trous dans la peau + le générique où le carrosse roule dans les sous-bois embrumés...) et même Gans pour son Pacte des Loups (le cadavre dans la rivière qui se serait fait déchiqueter par une bête non identifié). Bref, j’ai encore plus tripé La photographie N&B est fa-bu-leu-se, l’ambiance sent bon la malédiction de sorcière, c’est beau, lugubre, c’est un film d’horreur italien comme on en fait plus et qui est devenu un classique, une référence, le précurseur d’un genre. Merci à Cdiscount de m’avoir vendu ce film pour 5 dollars (pareil en euro). Seule ombre au tableau : pas de VO. Obligé de le regarder en version anglaise ou française et de supporter la désynchronisation des lèvres. 15/20 à cause de ça.
Les Sentiers de la Gloire. Seul Kubrick que je n’avais pas encore vu, je peux mourir en paix. Mention spéciale au jeu de Kirk Douglas et à la photographie. Et vive la France. 16/20
Tokyo Decadence. Un film merdique sur la vie d’une prostipute japonaise aussi nerveuse qu’un cadavre. C’est long avec des plans répétitifs (la prostipute va chez son client, le réalisateur se sent obligé de nous la montrer en train de longer le loooong couloir de l’hôtel qui la mène jusqu’à la chambre… Elle repart, pareil, le loooong couloir). Le film se résume à des parties sexuelles perverses et cocasses (mais je me demande si c’est voulu) genre le mec chargé à la coke demande à se faire fellationner la nouille pendant qu’une autre prostipute l’étrangle à l'aide d'une cravate. Il finira asphyxié, ressuscité (ressuscité, j’ai dit) et trempant dans son pipi. Trop drôle. 03/20
Miller’s Crossing. 17/20. Que dire après une telle note ? Deux génies de l’écriture et de la réalisation se cachent derrière ce film.
Le Masque du Démon. Encore un Mario Bava (qui signait son premier film). L’histoire d’une sorcière qui, deux siècles après avoir été exécuté, revient pour se venger auprès des descendants de ses bourreaux (rancunière la bougresse). On sait où Tim Burton a trouvé quelques-unes de ses références pour son Sleepy Hollow (le masque de torture avec les piques à l’intérieur, l’effusion de sang qui suit, les trous dans la peau + le générique où le carrosse roule dans les sous-bois embrumés...) et même Gans pour son Pacte des Loups (le cadavre dans la rivière qui se serait fait déchiqueter par une bête non identifié). Bref, j’ai encore plus tripé La photographie N&B est fa-bu-leu-se, l’ambiance sent bon la malédiction de sorcière, c’est beau, lugubre, c’est un film d’horreur italien comme on en fait plus et qui est devenu un classique, une référence, le précurseur d’un genre. Merci à Cdiscount de m’avoir vendu ce film pour 5 dollars (pareil en euro). Seule ombre au tableau : pas de VO. Obligé de le regarder en version anglaise ou française et de supporter la désynchronisation des lèvres. 15/20 à cause de ça.
Les Sentiers de la Gloire. Seul Kubrick que je n’avais pas encore vu, je peux mourir en paix. Mention spéciale au jeu de Kirk Douglas et à la photographie. Et vive la France. 16/20
Tokyo Decadence. Un film merdique sur la vie d’une prostipute japonaise aussi nerveuse qu’un cadavre. C’est long avec des plans répétitifs (la prostipute va chez son client, le réalisateur se sent obligé de nous la montrer en train de longer le loooong couloir de l’hôtel qui la mène jusqu’à la chambre… Elle repart, pareil, le loooong couloir). Le film se résume à des parties sexuelles perverses et cocasses (mais je me demande si c’est voulu) genre le mec chargé à la coke demande à se faire fellationner la nouille pendant qu’une autre prostipute l’étrangle à l'aide d'une cravate. Il finira asphyxié, ressuscité (ressuscité, j’ai dit) et trempant dans son pipi. Trop drôle. 03/20
- karras
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Mon idole (6/10) : Canet serait-il meilleur realisateur qu'acteur ? Un film assez caustique avec surtout une revelation : Francois Berleand cynique à souhait.
Vacances romaines(8/10) : Rome et Audrey Hepburn resplendissent à chaque moment. La comédie romantique à son paroxysme.
La turbulence des fluides (7/10) : Un film intimiste flirtant avec le fantastique et une ambiance sublimée par la musique. Touchant.
Vacances romaines(8/10) : Rome et Audrey Hepburn resplendissent à chaque moment. La comédie romantique à son paroxysme.
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Tu as vu Fear and desire ?BaNDiNi a écrit : Les Sentiers de la Gloire. Seul Kubrick que je n’avais pas encore vu, je peux mourir en paix. Mention spéciale au jeu de Kirk Douglas et à la photographie. Et vive la France. 16/20
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
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Fear and Desire, c'est comme le chemin de la Terre dans la tête électronique de Shirka, le vaisseau d'Ulysse : il faut l'effacer de ta mémoireRockatansky a écrit : Tu as vu Fear and desire ?
Kubrick a détruit toutes les copies dès l'exploitation. Rares sont les spectateurs qui l'ont vu... Et c'est visiblement mieux comme ça dixit l'auteur ("Kubrick later denounced this film as amateurish, saying he considered it like a child's drawing on a fridge"). Je n'ai pas connaissance d'une copie disponible ?... A part les photos d'exploitation de l'époque qu'on peut trouver dans les biographies du cinéaste, je n'ai rien vu d'autre.
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Je sais tout ça, et je suis comme toi, mais je m'interrogeais juste au cas ouBaNDiNi a écrit :Fear and Desire, c'est comme le chemin de la Terre dans la tête électronique de Shirka, le vaisseau d'Ulysse : il faut l'effacer de ta mémoireRockatansky a écrit : Tu as vu Fear and desire ?
Kubrick a détruit toutes les copies dès l'exploitation. Rares sont les spectateurs qui l'ont vu... Et c'est visiblement mieux comme ça dixit l'auteur ("Kubrick later denounced this film as amateurish, saying he considered it like a child's drawing on a fridge"). Je n'ai pas connaissance d'une copie disponible ?... A part les photos d'exploitation de l'époque qu'on peut trouver dans les biographies du cinéaste, je n'ai rien vu d'autre.
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Bang Rajan.
Tiré d’un fait historique local, des pauvres villageois qui combattent avec une bravoure hors norme l’invasion birmane, ce Bang Rajan est une sorte de remake des 7 Samurais vu par un thaïlandais (y a même le double du personnage de Mifune !). Ajoutez-y une ambiance à la Braveheart avec les plans rapprochés sur la viande saignante et les démembrements à la hache qui giclent sur l’objectif. Sans oublier la douce folie asiatique et le résultat est là : un film d’une rare violence, réaliste (bien que les coups donnés soient étrangement sonorisés, limite Bud Spencer et Terence Hill parfois), barbare, parfois même cruel avec néanmoins une force dramatique bien présente tout au long du métrage. La confrontation finale, 20 bonnes minutes de charcutage énervé, est anthologique. Une sorte de combat du désespoir à la Horde Sauvage.
7 Samurais, Braveheart, la Horde Sauvage… Y a pire comme références, non ?
15/20 (vu en [DVD] avec un excellent sous-titrage français réalisé par des fans : http://www.asia-vision.fr.st Que grâce leur soit rendu pour m’avoir permit de découvrir ce film)
Tiré d’un fait historique local, des pauvres villageois qui combattent avec une bravoure hors norme l’invasion birmane, ce Bang Rajan est une sorte de remake des 7 Samurais vu par un thaïlandais (y a même le double du personnage de Mifune !). Ajoutez-y une ambiance à la Braveheart avec les plans rapprochés sur la viande saignante et les démembrements à la hache qui giclent sur l’objectif. Sans oublier la douce folie asiatique et le résultat est là : un film d’une rare violence, réaliste (bien que les coups donnés soient étrangement sonorisés, limite Bud Spencer et Terence Hill parfois), barbare, parfois même cruel avec néanmoins une force dramatique bien présente tout au long du métrage. La confrontation finale, 20 bonnes minutes de charcutage énervé, est anthologique. Une sorte de combat du désespoir à la Horde Sauvage.
7 Samurais, Braveheart, la Horde Sauvage… Y a pire comme références, non ?
15/20 (vu en [DVD] avec un excellent sous-titrage français réalisé par des fans : http://www.asia-vision.fr.st Que grâce leur soit rendu pour m’avoir permit de découvrir ce film)
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C'est sûr !BaNDiNi a écrit :Bang Rajan.
7 Samurais, Braveheart, la Horde Sauvage… Y a pire comme références, non ?
- Braquages : 6/10 (nouvelle ode aux escrocs signé David Mamet,avec coups de théatre,illusions,tours de passe-passe en tout genre;sympathique mais un peu lassant et redondant ,reste le plaisir de voir cabotiner Gene Hackman ou De Vito )
- New York 1997 : 8,5/10 (un film d'action jouissif,avec un héros de légende,désenchanté mais plein de ressources,un univers sauvage et sombre,et l'incomparable talent de conteur de Carpenter;splendide )
- La Fugue : 7,5/10 (un polar conjugual presque,tant Arthur Penn brouille les pistes narratives,les codes du film de détective privé;en homme mélancolique et vulnérable,Gene Hackman est très juste;avec aussi James Woods et Mélanie Griffith juvéniles et déjà bien bons)
- karras
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Les travaux d'Hercule (3/10) : Un peplum sans rythme.
Au plus près du Paradis (5/10) : Trop concentré sur le personnage de Catherine Deneuve la trame de l'histoire disparait dans un pseudo hommage au melo des années 50.
The Player(7,5/10) : Une peinture acide de l'univers d'Hollywood avec une belle brochette de stars
Au plus près du Paradis (5/10) : Trop concentré sur le personnage de Catherine Deneuve la trame de l'histoire disparait dans un pseudo hommage au melo des années 50.
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26.06 : Hulk 5/10
29.06 : Sans nouvelles de Dieu 7/10
24.06 : La cité de la peur 8/10
24.06 : Trois Zéro 2/10
30.06 : Riders 0.5/10
30.06 : Antitrust 2/10
22.06 : Mission 8.5/10
24.06 : La vierge des tueurs 3.5/10
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24.06 : Trois Zéro 2/10
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30.06 : Antitrust 2/10
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24.06 : La vierge des tueurs 3.5/10
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
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- Localisation : La cité du Ponant
Confessions d'un homme dangereux (7/10) : Satirique mais aussi demonstratif un bon début pour le réalisateur Clooney.
Millenium mambo (6/10) : Superbe image, superbe bande son, superbe actrice, mais ou est le scénario ?
Soudain, l'été dernier (7,5/10) : Un thème vieillissant mais une densité de dialogue avec deux actrices au sommet : Liz Taylor et Katharine Hepburn
New York 1997 (7,5/10) : Une vision quasi prémonitoire de New York par le grand Carpenter.
Millenium mambo (6/10) : Superbe image, superbe bande son, superbe actrice, mais ou est le scénario ?
Soudain, l'été dernier (7,5/10) : Un thème vieillissant mais une densité de dialogue avec deux actrices au sommet : Liz Taylor et Katharine Hepburn
New York 1997 (7,5/10) : Une vision quasi prémonitoire de New York par le grand Carpenter.