Bien, avant de me pieuter, j'ai décidé de vous raconter ce grand moment de cinéma...
J'éviterais de raconter l'intro qui rentrera sans doute dans les annales du cinéma en son temps (qui n'est pas encore venu).
Alors, l'histoire se passe en France, dans le Sud, ou des dinosaures ont été relachés dans un lac (étang en fait
) et s'amusent à bouffer de ravissantes donzelles dénudées.
En fait, tout ça, c'est à cause d'un gentil professeur qui faisait du commerce d'oeuf de dino.
Arrive un clown pied noir (
) qui a buté sa femme et qui voit une des donzelles se faire bouffer.
Il se dit tiens, je vais monter un dinosaureland où les gens paierons pour se faire bouffer.
Il s'en va chercher un mafioso pour le financer.
Au meme moment un chef scout pieux kil en peut plus et qui balance de la melasse sur les nanas denudées voit aussi le monstre et s'en va chercher le garde-chasse qui passe par là et qui se pete un plomb.
Pendant ce temps, le propriétaire des terres et du lac qui a un fils qui s'adonne a des expériences (on apprendra plus tard qu'il veut créer un hybride homme - dinosaure
) tente de transformer don exploitation en hotel restaurant pour amateur de vacances écologiques : problème, son fils lui met le wouaïe avec ses expériences à la con.
C'est à ce moment que le prof se rend compte qu'il y avait de dinosaures dans les oeufs fossilisés kil a vendu. Son assistant Gino (joué par
Eduardo pousse la chansonnette pour le réconforter : "Je t'aime le lundi, je t'aime le mardi..." (véridique
).
Bref, le prof arrive au lac avec deux donzelles qui se devêtissent (tenue de camouflage pour ne pas etre repérées)...
Arrive aussi le clown et son mafioso qui veulent racheter la ferme au paysan...
A partir de là
Gros bordel
Je ne raconte pas, mais ça vaut le coup...
Sachez qu'à la fin, tout s'arrange grâce à Eduardo qui calme les dinosaures grâce à une chanson surpuissante : "Les dinosaures ne sont pas des chiens ; Dors, dors dors petit dinosaure, dors dors dors". (PTDR
).
Au final, arriveront des extraterrestres et tout s'arrangera, sauf pour le fils du fermier.
Ah oui, le générique de fin surfrappe (made in Eduardo).