Bon, comme j’ai bouclé la « saison 1 » (entendez « première saison de la deuxième série ») la semaine dernière, me revoici de passage dans l’antre de Death’.
C’est parti.
Déjà, ce qui m’a frappé, c’est la densité du background
Même sans connaître l’ampleur de la série (j’apprendrais plus tard qu’elle compte quand même plus de 700 épisodes depuis 1963, c’est donc un monstre), on subodore une toile de fond sacrément touffue … et elle l’est
Tonalité bien particulière aussi, entre humour et gravité (avec des basculements parfois ultra rapides de l’un à l’autre). Une dualité que l’on retrouve chez le personnage titre et dans le jeu de Christopher Eccleston (acteur largement sous-employé, pas ici mais en général hein).
Des gloumoutes bien foutus (mention spéciale à ces gros péteurs de Slitheen), du moins lorsqu’il s’agit d’effets live, les trucages digitaux étant souvent beaucoup moins convaincants.
Pour rester dans le bestiaire de la série : les daleks me font flipper ! Leurs voix me filent la trouille (exterminate ! exterminate !)
Quelques épisodes marquants, je pense notamment à la fin de la terre, observée par différentes créatures d’outre-espace (Face of Boe ! la dernière humaine !, etc.). Je songe aussi au double épisode avec les contaminés qui veulent leur maman (glauque).
MAIS …
J’ai quand même eu grand peine à accrocher, principalement pour deux raisons :
01/ Je ne suis pas du tout fan du mélange SF / humour (
H2G2 passe bien mais c’est le seul contre-exemple je crois).
02/ Les visuels de la série, très numériques (je n’aime pas du tout la photo) et un peu cheap sur les bords, ont tendance à me sortir par les yeux.
Mon aventure
Doctor Who s’arrête donc ici
Je reconnais à la série d’indéniables qualités, mais il y a trop de trucs qui coincent à mon niveau, pure question de goût je crois
