Sam Carter a écrit :ayéééééééééé j'ai vu le 1er episode!!! enfin!!!!!!!!
ah la la la que d'emotions pour ce début de saison!!! c'est terrible!!
bon je vais tenter de me maîtriser et de pas regarder tous les episodes dispo en 2 jours, sinon je vais encore etre frustrée
24 - Saison 3
Modérateur : dino VELVET
- Sam Carter
- Hollywood succes
- Messages : 6157
- Enregistré le : 14.10.2002 - 20:43
- Localisation : Lille
- Contact :
Zorg a écrit :Sam Carter a écrit :ayéééééééééé j'ai vu le 1er episode!!! enfin!!!!!!!!
ah la la la que d'emotions pour ce début de saison!!! c'est terrible!!
bon je vais tenter de me maîtriser et de pas regarder tous les episodes dispo en 2 jours, sinon je vais encore etre frustrée
Mes petiots
"Je vis tellement au dessus de mes revenus, qu'en vérité nous menons, eux et moi, une existence entièrement séparée." - O. Wilde
"Je vis tellement au dessus de mes revenus, qu'en vérité nous menons, eux et moi, une existence entièrement séparée." - O. Wilde
je viens juste de dler le 1er épisode de la saison 3
ahhhh j'ose pas regardé j'ai vu les 10 premières secondes avec les flsah back et ensuite un écran noir apparait, marqué que l'action se passe plus tard !!!
je veux pas en voir plus. je les veux tous avant et en fr si possible !!!
ahhhh j'ose pas regardé j'ai vu les 10 premières secondes avec les flsah back et ensuite un écran noir apparait, marqué que l'action se passe
Spoiler: Afficher
je veux pas en voir plus. je les veux tous avant et en fr si possible !!!
-
- Tycoon
- Messages : 11410
- Enregistré le : 17.07.2003 - 14:45
- Localisation : Paris-sur-Mer, sa plage, ses galets...
- Contact :
Up!
Bon alors voilà. Je tenais à exprimer par la présente mon stress, mon désespoir le plus intense suite au visionnage de l'episode 18 de la troisieme saison de 24.
C'est vrai quoi. J'ai beau être habitué, je dois reconnaitre avec toute l'humilité dont je puis faire preuve que putain de nom de dieu de bordel de merde que c'est sacrément gonflé ce qu'ils sont en train de nous faire.
Petite récap. La premiere saison a profondément marqué les esprits lorsqu'elle déboula il y a bientot 3 ans de cela à la télé US. Elle a completement fracassé le paysage audiovisuel là bas en imposant un style nouveau, et ce, rien qu'avec le concept "events occur in real time". Mais il n'y a pas que ca. Ecriture, mise en scène, photographie, interprétation, tous les ingredients sont d'un niveau, d'une qualité absolument exceptionnels. Résultat : la mayonnaise prend et on marche à fond dans l'histoire. Je dois dire que rarement une serie télé m'aura autant captivé, et je ne suis certainement pas le seul dans ce cas là.
La deuxieme saison, à mon humble avis, enterre completement la précédente, particulierement en ce qui concerne l'intrigue qui lui sert de fil conducteur. Je ne compte plus les kilometres de rognures d'ongle qui sont le résultat du stress intense qui m'etraignait au plus fort de l'action, mais c'est a donner le vertige. La premiere saison avait placé la barre très haut, la deuxieme a réussi à aller au delà. Remarquable. Vertigineux. Surtout au vu du cliffhanger de classe olympique qui nous a été infligé dans les dernières secondes de l'ultime épisode.
Et voici la troisieme saison. Après les deux précédentes, le challenge est bien evidemment encore plus grand. Altius, citius, fortius, comme on dit. Alors forcément, je suis dubitatif, sceptique, incrédule. Limite desenchanté, surtout vu son pitch de base. La messe est entendue, ils ne pourront pas faire mieux. C'est impossible.
C'est pourtant bien parti. Au bout de quelques épisodes, on avait déjà eu a deux ou trois retournements de situation bien pêchus, mais il manquait quelquechose. Un enjeu. Dans les deux précédentes "journées", celui-ci était clair, net, précis, palpable. Il était tangible, matérialisé sous une forme précise. La menace était là, présente, omniprésente même, on ne voyait qu'elle, on se focalisait dessus pour ne pas en démordre, pour ne pas en perdre la moindre miette. Or en ce début de 3e saison, d'enjeu il n'y a pas, ou presque... Ca a beau être 24, on a beau adorer voir Jack Bauer tuer des gens ou enfreindre suffisamment de lois pour purger 4 ou 5 peines à perpétuité consécutive, il manque la petite étincelle qui fait que l'on bout littéralement sur son fauteuil pendant les 45 minutes d'un épisode (sans les pubs donc).
Je dois d'ailleurs dire qu'arrivé à mi-saison, ils étaient en train de perdre un client en ce qui me concerne. C'était bien joli, mais on se retrouvait devant un truc en meme temps mou et inutilement tarabiscoté. On ne s'orientait pas vers les Feux de l'Amour, mais presque. Mais cahin caha, je me suis accroché au dernier wagon, raccroché a mes derniers espoirs de voir un jour ressurgir le feu sacré, et, à nouveau, de passer 45 minutes à trépigner d'impatience, de martyriser mes pauvres ongles qui décidément ne méritaient pas cela.
Sauf qu'au détour du quatorzieme épisode (enfin approximativment, c'est pas précis précis), l'espoir ela série renaquirent de leurs cendres. Tells le phénix, uils se dressent forts et grands, arborant avec fierté la devise (maison) de la série : "Accroche toi à ton siège, ca va te trouer le cul".
Et depuis trois ou quatres épisodes, je ne vis plus, je ne dors plus. Tel le drogué en état de manque, j'erre, hagard, la bave aux lèvre, l'oeil torve, au travers de l'espace réduit qui me sépare de ma machine à laver, seule amie fidèle sur laquelle je puis compter,inlassable, infatigable, irremplacable, en ces sombres heures qui marquent l'apogée de ma déchéance.
Car après le visionnage du 18e épisode de cette saloperie de putain de bordel de merde de troisieme saison, je n'en puis plus. Je suis au bord de la crise cardiaque. L'épuisement nerveux fait mon cerveau s'écouler par les narines et les trompes d'Eustache. C'est trop dur pour un seul homme. Je renonce, je jette l'éponge. Le combat est terminé, les boxeurs ont déserté le ring, Monsieur Loyal a rangé son micro, les spectateurs peuvent rentrer chez eux repus de leur dose d'adrénaline.
C'est peu de chose de dire que les auteurs de 24 ont réussi à atteindre des terres jamais explorées avant à la télévision (américaine de surcroît). Je pense très sincèrement que comme avec Twin Peaks en son temps, nous sommes à l'aube d'un jour nouveau en matière de conceptualisation des séries télés. Béni soit le producteur assez fou pour miser quelques dizaines de millions de dollars sur un concept aussi fou. Une paille serait-on tenté de dire vu les milliards brassés par l'industrie audiovisuelle, mais un risque énorme vu l'engorgement créatif et audimatationnel dont est victime le PAF americain. Nombre de séries soit prometteuses soit carrément géniales dès les deux premiers épisodes se font démoléculariser au bout de quelques semaines pour cause d'audience insuffisante, j'en ai encore eu la preuve pas plus tard que y'a 15 jours.
Mais quand par chance on a la possibilité de voir s'accomplir un truc aussi énorme, aussi poussé, aussi puissant que 24, on ne peut qu'applaudir des deux mains. Et attendre avec une anxiété grandissante l'épisode suivant. Pour de nouveau, inlassablement, souffrir pendant 45 minutes, et se prendre sa dose comme tout bon toxicomane qui se respecte. A tel point que je pense qu'il faudrait en interdire le visionnage aux personnes particulierement émotives ou sujettes a des troubles cardiaques tant le stress peut s'avérer intense par moments.
Mais bon, je vais me calmer, aller prendre l'air, histoire de me changer les idées, car c'es trop dur. Je sais bien que je suis du genre a m'emporter pour un rien (comme beaucoup de gens remarque), que je suis d'humeur lyrique car j'écris ces élucubrations à chaud, sous le coup de l'émotion, mais bon... C'est ca qui est bon aussi dans cette putain de série.
Alors de grâce, que ceux qui ne connaissent pas 24 se jettent dessus...
...
C'est ca, oui, je vais aller prendre l'air... ou alors regarder l'episode une nouvelle fois, tiens, c'est bon pour ce que j'ai:mrgreen:
Bon alors voilà. Je tenais à exprimer par la présente mon stress, mon désespoir le plus intense suite au visionnage de l'episode 18 de la troisieme saison de 24.
C'est vrai quoi. J'ai beau être habitué, je dois reconnaitre avec toute l'humilité dont je puis faire preuve que putain de nom de dieu de bordel de merde que c'est sacrément gonflé ce qu'ils sont en train de nous faire.
Petite récap. La premiere saison a profondément marqué les esprits lorsqu'elle déboula il y a bientot 3 ans de cela à la télé US. Elle a completement fracassé le paysage audiovisuel là bas en imposant un style nouveau, et ce, rien qu'avec le concept "events occur in real time". Mais il n'y a pas que ca. Ecriture, mise en scène, photographie, interprétation, tous les ingredients sont d'un niveau, d'une qualité absolument exceptionnels. Résultat : la mayonnaise prend et on marche à fond dans l'histoire. Je dois dire que rarement une serie télé m'aura autant captivé, et je ne suis certainement pas le seul dans ce cas là.
La deuxieme saison, à mon humble avis, enterre completement la précédente, particulierement en ce qui concerne l'intrigue qui lui sert de fil conducteur. Je ne compte plus les kilometres de rognures d'ongle qui sont le résultat du stress intense qui m'etraignait au plus fort de l'action, mais c'est a donner le vertige. La premiere saison avait placé la barre très haut, la deuxieme a réussi à aller au delà. Remarquable. Vertigineux. Surtout au vu du cliffhanger de classe olympique qui nous a été infligé dans les dernières secondes de l'ultime épisode.
Et voici la troisieme saison. Après les deux précédentes, le challenge est bien evidemment encore plus grand. Altius, citius, fortius, comme on dit. Alors forcément, je suis dubitatif, sceptique, incrédule. Limite desenchanté, surtout vu son pitch de base. La messe est entendue, ils ne pourront pas faire mieux. C'est impossible.
C'est pourtant bien parti. Au bout de quelques épisodes, on avait déjà eu a deux ou trois retournements de situation bien pêchus, mais il manquait quelquechose. Un enjeu. Dans les deux précédentes "journées", celui-ci était clair, net, précis, palpable. Il était tangible, matérialisé sous une forme précise. La menace était là, présente, omniprésente même, on ne voyait qu'elle, on se focalisait dessus pour ne pas en démordre, pour ne pas en perdre la moindre miette. Or en ce début de 3e saison, d'enjeu il n'y a pas, ou presque... Ca a beau être 24, on a beau adorer voir Jack Bauer tuer des gens ou enfreindre suffisamment de lois pour purger 4 ou 5 peines à perpétuité consécutive, il manque la petite étincelle qui fait que l'on bout littéralement sur son fauteuil pendant les 45 minutes d'un épisode (sans les pubs donc).
Je dois d'ailleurs dire qu'arrivé à mi-saison, ils étaient en train de perdre un client en ce qui me concerne. C'était bien joli, mais on se retrouvait devant un truc en meme temps mou et inutilement tarabiscoté. On ne s'orientait pas vers les Feux de l'Amour, mais presque. Mais cahin caha, je me suis accroché au dernier wagon, raccroché a mes derniers espoirs de voir un jour ressurgir le feu sacré, et, à nouveau, de passer 45 minutes à trépigner d'impatience, de martyriser mes pauvres ongles qui décidément ne méritaient pas cela.
Sauf qu'au détour du quatorzieme épisode (enfin approximativment, c'est pas précis précis), l'espoir ela série renaquirent de leurs cendres. Tells le phénix, uils se dressent forts et grands, arborant avec fierté la devise (maison) de la série : "Accroche toi à ton siège, ca va te trouer le cul".
Et depuis trois ou quatres épisodes, je ne vis plus, je ne dors plus. Tel le drogué en état de manque, j'erre, hagard, la bave aux lèvre, l'oeil torve, au travers de l'espace réduit qui me sépare de ma machine à laver, seule amie fidèle sur laquelle je puis compter,inlassable, infatigable, irremplacable, en ces sombres heures qui marquent l'apogée de ma déchéance.
Car après le visionnage du 18e épisode de cette saloperie de putain de bordel de merde de troisieme saison, je n'en puis plus. Je suis au bord de la crise cardiaque. L'épuisement nerveux fait mon cerveau s'écouler par les narines et les trompes d'Eustache. C'est trop dur pour un seul homme. Je renonce, je jette l'éponge. Le combat est terminé, les boxeurs ont déserté le ring, Monsieur Loyal a rangé son micro, les spectateurs peuvent rentrer chez eux repus de leur dose d'adrénaline.
C'est peu de chose de dire que les auteurs de 24 ont réussi à atteindre des terres jamais explorées avant à la télévision (américaine de surcroît). Je pense très sincèrement que comme avec Twin Peaks en son temps, nous sommes à l'aube d'un jour nouveau en matière de conceptualisation des séries télés. Béni soit le producteur assez fou pour miser quelques dizaines de millions de dollars sur un concept aussi fou. Une paille serait-on tenté de dire vu les milliards brassés par l'industrie audiovisuelle, mais un risque énorme vu l'engorgement créatif et audimatationnel dont est victime le PAF americain. Nombre de séries soit prometteuses soit carrément géniales dès les deux premiers épisodes se font démoléculariser au bout de quelques semaines pour cause d'audience insuffisante, j'en ai encore eu la preuve pas plus tard que y'a 15 jours.
Mais quand par chance on a la possibilité de voir s'accomplir un truc aussi énorme, aussi poussé, aussi puissant que 24, on ne peut qu'applaudir des deux mains. Et attendre avec une anxiété grandissante l'épisode suivant. Pour de nouveau, inlassablement, souffrir pendant 45 minutes, et se prendre sa dose comme tout bon toxicomane qui se respecte. A tel point que je pense qu'il faudrait en interdire le visionnage aux personnes particulierement émotives ou sujettes a des troubles cardiaques tant le stress peut s'avérer intense par moments.
Mais bon, je vais me calmer, aller prendre l'air, histoire de me changer les idées, car c'es trop dur. Je sais bien que je suis du genre a m'emporter pour un rien (comme beaucoup de gens remarque), que je suis d'humeur lyrique car j'écris ces élucubrations à chaud, sous le coup de l'émotion, mais bon... C'est ca qui est bon aussi dans cette putain de série.
Alors de grâce, que ceux qui ne connaissent pas 24 se jettent dessus...
...
C'est ca, oui, je vais aller prendre l'air... ou alors regarder l'episode une nouvelle fois, tiens, c'est bon pour ce que j'ai:mrgreen:
- Wesley_Windam_Price
- Le petit
- Messages : 1568
- Enregistré le : 03.06.2004 - 23:33
- Localisation : ajaccio
- The DeathScythe
- Hollywood Master
- Messages : 8428
- Enregistré le : 14.10.2002 - 21:46
- Localisation : Palais Doré des Burritos Volants
- Contact :
- The DeathScythe
- Hollywood Master
- Messages : 8428
- Enregistré le : 14.10.2002 - 21:46
- Localisation : Palais Doré des Burritos Volants
- Contact :
J'ai bien aimé le coté "enorme manipultion" des premiers episodes, c'est ultra capillotracté mais c'est aussi ce qui fait l'interet de la serie. Apprecié aussi le Jack Bauer semi-epave qui cause plus ou moins directement la mort d'un paquet d'innocents pour le besoin un plan foireux (serieux, ca sent quand meme la grosse catastrophe ce fameux plan secret...), ainsi que la mise en avant de Ryan Chappelle (j'aime bien les personnges de bureaucrates bornés à la George Mason ).
Par contre Chase est naaaaaze (c'est sans doute fait expres mais 'est du sidekick à la con de premier choix!) et niveau "mechants" pour l'instant c'est pas tip-top: Hector "moustache" Salazar niveau charisme c'est tres loin des Ira Gaines, André Drazen et autres Syed Ali. Heureusement qu'il y a Joaquim de Almeida et "l'invité surprise" pour relever le niveau...
Par contre Chase est naaaaaze (c'est sans doute fait expres mais 'est du sidekick à la con de premier choix!) et niveau "mechants" pour l'instant c'est pas tip-top: Hector "moustache" Salazar niveau charisme c'est tres loin des Ira Gaines, André Drazen et autres Syed Ali. Heureusement qu'il y a Joaquim de Almeida et "l'invité surprise" pour relever le niveau...