Pas très bon le Hooper, use et abuse dans le mauvais sens du poil l'experimentation et l'interpretation des acteurs est pas au top. Malgré ça reste les bonnes idées de Matheson et la jolie bouille de l'interpréte principale.
Pas très bon le Hooper, use et abuse dans le mauvais sens du poil l'experimentation et l'interpretation des acteurs est pas au top. Malgré ça reste les bonnes idées de Matheson et la jolie bouille de l'interpréte principale.
C'est tiré de la nouvelle "Danse macabre", avec des cadavres danseurs et un dépucelage nécrophile (hé Roger, faut penser à vider la morte !) ?
La pensée profonde du mois : "Avec deux lignes de l'écriture d'un homme on peut faire le procès au plus innocent" (Richelieu)
Hooper en a fait une mauvaise adaptation malheureusement...
Jenifer
Absolument rien à voir avec le style flamboyant d'Argento du début de sa carrière, pas de giallo, pas de thriller. L'histoire est un mélange de cannibalisme et de sexe en la demoiselle Jenifer attirant un flic dans ses filets. Très plaisant grâce à une autre direction prise par Dario Argento.
Une adaptation de Lovercraft par Stuart Gordon, auteur de prédilection pour le réalisateur, qui honore un sympathique film à l'ambiance maitrisé avec une bonne histoire rondement mené.
Construit comme un long flashback, Mick Garris évite les surprises par ce procédé mais conte une histoire sympathique et amusante par certaines scènes.
SPOILER: La femme se masturbe dans sa baignoire avec le pommeau de douche et le type ressent sa jouissance.
Joe Dante officie un film ouvertement politique se servant du retour d'hommes tombés au front pendant la guerre, devenant des zombies "intelligents" pour tirer à coup de fusil à pompe sur une décision actuelle de Bush.
Film oeuvrant dans la légende indienne avec un zeste de buddy movie et de comédie caractérisant bien le style de Landis. Mention spéciale à Lisa Marie Caruk, comprennent ceux qui ont vu ou la verront sur celluloide.
Loin de ses derniers films, se rapprochant plus de l'antre de la folie, Carpenter nous emmène dans une spirale de plus en plus violente pour retrouver un film" La fin du monde" donc je lui attribuerai le mauvais point d'en avoir montrer un bout. Malgré cela, ça reste bon pour un Carpenter.
A noter que le scénarii est de Drew McWeeny alias Moriarty de aintitcoolnews.
Loin de ses derniers films, se rapprochant plus de l'antre de la folie, Carpenter nous emmène dans une spirale de plus en plus violente pour retrouver un film" La fin du monde" donc je lui attribuerai le mauvais point d'en avoir montrer un bout. Malgré cela, ça reste bon pour un Carpenter.
A noter que le scénarii est de Drew McWeeny alias Moriarty de aintitcoolnews.