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Posté : 11.11.2006 - 11:42
par karras
Posté : 11.11.2006 - 13:55
par peter wonkley
Après le succès raz-de-marée de leur premier album, et la discrétion populaire de leur deuxième, les Beastie Boys étaient revenus au premier plan avec Check Your Head, qui établissait pour les trois olibrius new-yorkais une nouvelle attitude que Ill Communication, en 1994, allait installer définitivement pour la décennie. Quelque chose comme un son personnel, à la fois respectueux des traditions du rap old school qu'ils avaient vécu, et en même temps jamais avare d'aventures risquées. "Sabotage" (et son fameux clip façon Starsky & Hutch), mais aussi "Sure Shot" ou "Root Down", malgré le côté "adulte" de leur expression, et des références assumées du côté du groove seventies, séduisent alors aussi bien les générations teenagers, les skaters, les fans de rap hardcore comme ceux qui détestent ça. Définitivement "à part", les Beastie Boys, munis de leur nouvelle attitude responsable et concernée (ils militent pour le Tibet libre) n'ont commis depuis aucun faux pas, ce qui les laisse libres de régner aussi sur les années 2000.
l'indispensable clip SABOTAGE (vic colfari rulez

) :
http://www.youtube.com/watch?v=-sbqIyeed4g
le remake allemand du clip :
http://www.youtube.com/watch?v=7-iYbdUF ... ed&search=
Posté : 11.11.2006 - 20:29
par creepers
creepers a écrit :
il est pas mal du tout leurs nouvel opus !
Posté : 12.11.2006 - 21:28
par peter wonkley
Posté : 15.11.2006 - 22:20
par peter wonkley
Posté : 15.11.2006 - 22:28
par peter wonkley

Director William Friedkin knows a thing or two about innovative, genre-bending film scores. He commissioned edgy modern-jazz player Don Ellis for his classic The French Connection and reworked Mike Oldfield's "Tubular Bells" into the haunting soundtrack for the blockbuster The Exorcist. But even veteran film buffs were surprised when Friedkin turned the scoring chores for his taut 1985 forgery-ring thriller To Live and Die in LA over to British pop stars Wang Chung. Though they're still best known for their perennial rock-of-the-'80s hits "Dancehall Days," "Everybody Have Fun Tonight," and "Let's Go," Friedkin's early admiration for the band's often underrated musicality paid off with a tense, rhythmic soundscape that crystallized the era and locale of the film. And, though synth-pop has gained ill repute as a cheesy 1980s cliché, this album ably proves that it could rise above its stereotype in dramatic fashion. The Jack Hues-sung title track was also a minor pop hit.
CLIP :
http://www.youtube.com/watch?v=gm-Nkoxkrwo
Posté : 15.11.2006 - 22:32
par peter wonkley
Posté : 15.11.2006 - 22:34
par peter wonkley
Posté : 15.11.2006 - 22:38
par peter wonkley
Posté : 15.11.2006 - 22:41
par peter wonkley
Posté : 16.11.2006 - 19:10
par peter wonkley
Posté : 16.11.2006 - 23:03
par peter wonkley
Posté : 21.11.2006 - 22:27
par peter wonkley
Posté : 21.11.2006 - 22:38
par peter wonkley
Posté : 22.11.2006 - 11:29
par creepers