Source : F1-Action.netLa FOTA suspend Williams !
F1 Pour ne pas avoir respecté sa position
La Formula One Teams Association (FOTA) a décidé de suspendre temporairement l’équipe Williams, qui n’a pas respecté la position de l’association sur les budgets plafonnés.
Williams a rompu l’unité de la FOTA en faisant une demande d’engagement au championnat 2010. L’association des équipes avait décidé de boycotter les inscriptions tant qu’un compromis n’est pas été trouvé sur les budgets plafonnés.
Suite à une réunion qui a eu lieu ce mercredi, la FOTA a donc décidé de suspendre temporairement Williams de l’association.
« La décision de la FOTA, même si elle est regrettable, est compréhensible » estime Frank Williams. « Cependant, en tant qu’équipe de course dont la seule activité est la Formule 1, avec des obligations envers nos partenaires et nos employés, envoyer une demande d’inscription pour le championnat de l’an prochain était indispensable. »
« De plus, nous sommes légalement obligés en raison de notre contrat avec la FOM et la FIA, qui implique une participation au championnat du monde jusqu’à fin 2012. »
Bernie Ecclestone a en effet déclaré la semaine dernière que si des équipes décident de quitter le championnat à cause des budgets plafonnés, elles pourraient être sanctionnées pour ne pas avoir rempli leurs obligations.
La majorité des équipes se sont engagées à rouler jusqu’en 2012 et c’est ce qui conditionne les revenus qu’elles reçoivent des droits télévisuels et commerciaux de la FOM. Si elles partent avant cette date, les équipes pourraient même être contraintes de rembourser ces sommes.
Vincent Lalanne-Sicaud
Formule 1 - Saison 2009
Modérateur : dino VELVET
Et la mauvaise nouvelle du jour :
Fillon relance le projet de Magny-Cours
La France accueillera t-elle bientôt un Grand Prix de Formule 1 ? Ce vendredi sur Europe 1, le Premier ministre François Fillon a assuré que le «gouvernement ferait tout pour qu'il y ait le plus vite possible, à partir de 2010/2011, un Grand Prix en France».
Précisant que l'éventualité d'utiliser un «circuit existant» était «nécessaire», le chef du gouvernement relance le projet de modernisation du circuit de Magny-Cours.
Selon François Fillon, «la durée de construction d'un circuit est telle qu'elle nous emmènerait jusqu'en 2012». «Or, on ne peut pas accepter qu'il n'y ait pas de Grand Prix de F1 d'ici 2012», estime t-il. (traduction, il faut que le GP de France re-existe sous la présidence sarkozy)
Déficit chronique
Pour la première fois depuis longtemps, cette saison, «le grand cirque de la Formule 1», comme le surnomment ses familiers, ne fera pas étape en France. La Fédération française de sport automobile (FFSA), qui jouait le rôle de promoteur ces dernières années, a en effet préféré jeter l'éponge, craignant un trop lourd déficit.
Pour figurer en F1, les organisateurs doivent acquitter des droits très lourds, évalués à 21 millions de dollars par an (16 millions d'euros), auprès de Formula One Management (FOM), gérée par Bernie Ecclestone, gestionnaire des droits commerciaux du sport, avec une progression annuelle de plus de 10 %. Contractuellement, la billetterie est l'unique source de revenus des organisateurs.
En 2008, les collectivités locales bourguignonnes avaient dû boucher un trou de 7 millions d'euros pour soutenir le GP de France, qui se courait à Magny-Cours (Nièvre). Mais ce circuit, par son côté champêtre et ses infrastructures limitées, déplaisait à Bernie Ecclestone.
Trois sites candidats
Trois sites sont désormais candidats pour accueillir l'évènement : Flins-Les Mureaux (Yvelines) et Val-de-France (Sarcelles, Val d'oise), où tout est à construire, et un Magny-Cours «II» modernisé.
Mais Flins-Les Mureaux, au départ privilégiée par François Fillon et le secrétaire d'Etat aux Sports Bernard Laporte, se heurte notamment à l'opposition du ministre de l'Ecologie Jean-Louis Borloo, le site choisi se situant sur des captages d'eau qui alimentent quelque 500.000 foyers.
Val-de-France serait difficilement finançable, selon Bernard Laporte, ce que conteste François Pupponi, le député-maire (PS) de Sarcelles, qui porte le projet.
En envisageant que le GP se déroule «sur un circuit existant», le Premier ministre redonne donc la main à Magny-Cours. A moins que le circuit Paul Ricard, situé au Castellet (Var), qui a récemment déclaré étudier la possibilité de se porter candidat, ne coiffe tout ce monde sur le poteau. (Le Castellet, j'aimerais bien par contre)
Fillon relance le projet de Magny-Cours
La France accueillera t-elle bientôt un Grand Prix de Formule 1 ? Ce vendredi sur Europe 1, le Premier ministre François Fillon a assuré que le «gouvernement ferait tout pour qu'il y ait le plus vite possible, à partir de 2010/2011, un Grand Prix en France».
Précisant que l'éventualité d'utiliser un «circuit existant» était «nécessaire», le chef du gouvernement relance le projet de modernisation du circuit de Magny-Cours.
Selon François Fillon, «la durée de construction d'un circuit est telle qu'elle nous emmènerait jusqu'en 2012». «Or, on ne peut pas accepter qu'il n'y ait pas de Grand Prix de F1 d'ici 2012», estime t-il. (traduction, il faut que le GP de France re-existe sous la présidence sarkozy)
Déficit chronique
Pour la première fois depuis longtemps, cette saison, «le grand cirque de la Formule 1», comme le surnomment ses familiers, ne fera pas étape en France. La Fédération française de sport automobile (FFSA), qui jouait le rôle de promoteur ces dernières années, a en effet préféré jeter l'éponge, craignant un trop lourd déficit.
Pour figurer en F1, les organisateurs doivent acquitter des droits très lourds, évalués à 21 millions de dollars par an (16 millions d'euros), auprès de Formula One Management (FOM), gérée par Bernie Ecclestone, gestionnaire des droits commerciaux du sport, avec une progression annuelle de plus de 10 %. Contractuellement, la billetterie est l'unique source de revenus des organisateurs.
En 2008, les collectivités locales bourguignonnes avaient dû boucher un trou de 7 millions d'euros pour soutenir le GP de France, qui se courait à Magny-Cours (Nièvre). Mais ce circuit, par son côté champêtre et ses infrastructures limitées, déplaisait à Bernie Ecclestone.
Trois sites candidats
Trois sites sont désormais candidats pour accueillir l'évènement : Flins-Les Mureaux (Yvelines) et Val-de-France (Sarcelles, Val d'oise), où tout est à construire, et un Magny-Cours «II» modernisé.
Mais Flins-Les Mureaux, au départ privilégiée par François Fillon et le secrétaire d'Etat aux Sports Bernard Laporte, se heurte notamment à l'opposition du ministre de l'Ecologie Jean-Louis Borloo, le site choisi se situant sur des captages d'eau qui alimentent quelque 500.000 foyers.
Val-de-France serait difficilement finançable, selon Bernard Laporte, ce que conteste François Pupponi, le député-maire (PS) de Sarcelles, qui porte le projet.
En envisageant que le GP se déroule «sur un circuit existant», le Premier ministre redonne donc la main à Magny-Cours. A moins que le circuit Paul Ricard, situé au Castellet (Var), qui a récemment déclaré étudier la possibilité de se porter candidat, ne coiffe tout ce monde sur le poteau. (Le Castellet, j'aimerais bien par contre)
Source : F1-Action.netLundi 1er juin 2009 - 11:56
Alex Wurz veut créer son équipe !
F1 Team Superfund sur la grille en 2010 ?
Alexander Wurz a l’intention de créer une équipe de Formule 1 parrainée par Superfund, un groupe qui a déjà été impliqué en sport automobile.
C’est le site web du magazine anglais AUTOSPORT qui révèle ce projet. L’ancien pilote de F1, aujourd’hui chez Peugeot en endurance et consultant pour Brawn GP, veut devenir patron d’équipe.
Alex Wurz est soutenu par Superfund, une société spécialisée dans la gestion d’actifs de professionnels et de particuliers. Superfund a été sponsor de Minardi et parrain du championnat Euro 3000, qui avait même failli devenir « Formule Superfund » il y a quelques années.
Team Superfund veut s’engager sous le principe des budgets plafonnés et Alex Wurz est persuadé que son projet a une chance d’être retenu par la FIA. « L’équipe part d’une plate-forme très solide » assure Wurz sur le site d’AUTOSPORT. « C’est également très différent des autres demandes d’engagement dont on parle. »
« Ce sont soit des anciens constructeurs, soit des équipes qui viennent d’autres championnats, qui veulent peut-être aller en F1 parce que c’est le sommet du sport automobile. »
« A l’inverse, Superfund est impliqué dans un monde où circulent beaucoup de millions et qui a beaucoup grandit au cours des dernières années. Christian Baha [le patron de Superfund] voit la F1 comme un moyen très puissant pour promouvoir son entreprise. »
Team Superfund, qui prévoit d’utiliser le V8 « low cost » de Cosworth, aurait donc le financement pour rejoindre la grille, ce qui n’est pas certain pour les autres projets comme Team USF1, Campos, Lola et Prodrive.
Parmi les dix équipes actuelles, seule Williams a envoyé une demande d’inscription formelle. Les neuf autres conditionnent leur présence à la suppression du principe des budgets plafonnés, qui attire pourtant les nouvelles équipes, et à la conclusion d’un nouvel accord commercial avec Bernie Ecclestone.
Le problème de Loeb, c'est que ce n'est pas un vrai attaquant. En WRC, il y en a qui ne se contenteront jamais d'une 2ème ou 3ème place et qui préfèrent attaquer même au risque de perdre le championnat.
Loeb, lui, assure et du coup enlève le sel de la compétition.
Si il fait ça en F1, ça n'est pas la peine de venir. La F1 a déjà suffisamment baissé. Putain, remettez Juan Pablo Montoya, lui au moins, c'était un gros débile.
Ps : au revoir Bourdais. Je ne l'aimais pas, c'était une pleureuse, pire qu'Alonso.
Loeb, lui, assure et du coup enlève le sel de la compétition.
Si il fait ça en F1, ça n'est pas la peine de venir. La F1 a déjà suffisamment baissé. Putain, remettez Juan Pablo Montoya, lui au moins, c'était un gros débile.
Ps : au revoir Bourdais. Je ne l'aimais pas, c'était une pleureuse, pire qu'Alonso.
Le remplaçant de Bourdais a 19 ans
Le remplaçant de Bourdais a 19 ans
L'écurie Toro Rosso a annoncé lundi matin que le très prometteur pilote espagnol Jaime Alguersuari remplacera le Français Sébastien Bourdais pour la fin de la saison de Formule 1. A 19 ans, le Barcelonais devient le plus jeune pilote de F1. Il disputera le prochain Grand Prix de Hongrie le 26 juillet.
Malgré son jeune âge, le pilote espagnol, champion de F3 britannique l'an dernier, a déjà un palmarès avec 118 courses disputées - de karting junior aux Formule 3 et Formule Renault- 17 victoires, et 36 podiums.
«Je suis conscient d'être face à un défi difficile», a déclaré le jeune pilote.
Le patron de l'équipe Toro Rosso, Franz Tost ne lui met pas la pression: «Je n'attends rien de spécial de lui pour les trois premières courses qu'il disputera, qui lui permettront de se familiariser avec l'équipe, la voiture et le monde de la F1».
«Les objectifs n'ont pas été atteints»
Sébastien Bourdais avait été écarté jeudi sans ménagement de l'écurie Toro Rosso, après deux années cauchemardesques pour lui. «Lors de la deuxième année de Sébastien avec nous, les objectifs n'ont pas été atteints et en conséquence nous avons décidé de le remplacer pour la prochaine manche du Championnat du monde, le Grand Prix de Hongrie», avait indiqué Franz Tost, le directeur de l'écurie.
Le ton froid et lapidaire du texte laisse deviner l'état des relations entre le directeur général et son pilote. Apprécié pour sa gentillesse et son professionnalisme par le personnel de Toro Rosso, Bourdais, unique pilote Français en Formule 1, n'était plus en odeur de sainteté auprès de son patron.
Bourdais envisage des poursuites
«Je suis déçu et choqué par la décision qu'a prise la Scuderia Toro Rosso de ne plus m'autoriser à piloter pour elle jusqu'à la fin de la saison. J'estime qu'en opérant ce choix, l'équipe n'a pas respecté ses obligations contractuelles envers moi», avait répondu le pilote sur son site internet.
«Par conséquent, j'ai demandé à mes avocats d'étudier la situation, y compris la possibilité d'engager une action en justice», a poursuivi Bourdais, rappelant que «rien dans (son) attitude, sur la piste comme en dehors, n'a pu justifier cette décision».
L'écurie Toro Rosso a annoncé lundi matin que le très prometteur pilote espagnol Jaime Alguersuari remplacera le Français Sébastien Bourdais pour la fin de la saison de Formule 1. A 19 ans, le Barcelonais devient le plus jeune pilote de F1. Il disputera le prochain Grand Prix de Hongrie le 26 juillet.
Malgré son jeune âge, le pilote espagnol, champion de F3 britannique l'an dernier, a déjà un palmarès avec 118 courses disputées - de karting junior aux Formule 3 et Formule Renault- 17 victoires, et 36 podiums.
«Je suis conscient d'être face à un défi difficile», a déclaré le jeune pilote.
Le patron de l'équipe Toro Rosso, Franz Tost ne lui met pas la pression: «Je n'attends rien de spécial de lui pour les trois premières courses qu'il disputera, qui lui permettront de se familiariser avec l'équipe, la voiture et le monde de la F1».
«Les objectifs n'ont pas été atteints»
Sébastien Bourdais avait été écarté jeudi sans ménagement de l'écurie Toro Rosso, après deux années cauchemardesques pour lui. «Lors de la deuxième année de Sébastien avec nous, les objectifs n'ont pas été atteints et en conséquence nous avons décidé de le remplacer pour la prochaine manche du Championnat du monde, le Grand Prix de Hongrie», avait indiqué Franz Tost, le directeur de l'écurie.
Le ton froid et lapidaire du texte laisse deviner l'état des relations entre le directeur général et son pilote. Apprécié pour sa gentillesse et son professionnalisme par le personnel de Toro Rosso, Bourdais, unique pilote Français en Formule 1, n'était plus en odeur de sainteté auprès de son patron.
Bourdais envisage des poursuites
«Je suis déçu et choqué par la décision qu'a prise la Scuderia Toro Rosso de ne plus m'autoriser à piloter pour elle jusqu'à la fin de la saison. J'estime qu'en opérant ce choix, l'équipe n'a pas respecté ses obligations contractuelles envers moi», avait répondu le pilote sur son site internet.
«Par conséquent, j'ai demandé à mes avocats d'étudier la situation, y compris la possibilité d'engager une action en justice», a poursuivi Bourdais, rappelant que «rien dans (son) attitude, sur la piste comme en dehors, n'a pu justifier cette décision».