Exterminator - James Glickenhaus - 1980
Posté : 03.06.2006 - 13:30
dispo a 1 euro la tonne dans les bacs a soldes un peu partout
En 1981, Eastland et Jefferson, anciens combattants de la guerre du Viêt-Nam, sont confrontés à la délinquance qui sévit à New-York. Jefferson est paralysé à la suite de la sauvage attaque d’un gang. Eastland le venge, l’euthanasie avec son accord et entreprend une croisade, qu’il revendique médiatiquement sous le nom de " L’exterminateur ". Il exécute des voyous, un maffioso, un sénateur sadique, un proxénète tortionnaire…La C.I.A. décide, sur ordre du gouvernement démocrate, d’en finir avec lui avant les prochaines élections...
L'ouverture au Vietnam est fracassante, incroyablement réaliste. Images de guerre réalistes qui hissent le film au-dessus de sa modeste condition de simple vigilante. La décapitation du G.I est impressionnante, sans concession.
Le générique héliporté sur NY qui suit cette séquence est formidable -du grand art-, dès son retour à New York et l'agression de Steve Jame, Ginty commence à fracasser non-stop. Pas mal de tensions, un côté BD dans l'excès de dispositif (napalm, broyeur alimentaire, lance-flammes, ogives et tous pleins de souvenirs du Vietnam) une relation avec le flic qui le poursuit très efficace, et plein de p'tites choses aptes à amorcer une reflexion tangible sur la violence. Le film est sec, la réalisation de premier ordre,
Du concentré de vigilante brut, moins rudimentaire qu'il n'y parait, à la mise en scène inspirée. Une oeuvre forte de première ordre dans son genre.
En 1981, Eastland et Jefferson, anciens combattants de la guerre du Viêt-Nam, sont confrontés à la délinquance qui sévit à New-York. Jefferson est paralysé à la suite de la sauvage attaque d’un gang. Eastland le venge, l’euthanasie avec son accord et entreprend une croisade, qu’il revendique médiatiquement sous le nom de " L’exterminateur ". Il exécute des voyous, un maffioso, un sénateur sadique, un proxénète tortionnaire…La C.I.A. décide, sur ordre du gouvernement démocrate, d’en finir avec lui avant les prochaines élections...
L'ouverture au Vietnam est fracassante, incroyablement réaliste. Images de guerre réalistes qui hissent le film au-dessus de sa modeste condition de simple vigilante. La décapitation du G.I est impressionnante, sans concession.
Le générique héliporté sur NY qui suit cette séquence est formidable -du grand art-, dès son retour à New York et l'agression de Steve Jame, Ginty commence à fracasser non-stop. Pas mal de tensions, un côté BD dans l'excès de dispositif (napalm, broyeur alimentaire, lance-flammes, ogives et tous pleins de souvenirs du Vietnam) une relation avec le flic qui le poursuit très efficace, et plein de p'tites choses aptes à amorcer une reflexion tangible sur la violence. Le film est sec, la réalisation de premier ordre,
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