
J’adore Noah BaumbachFrances, jeune New-Yorkaise, rêve de devenir chorégraphe. En attendant, elle s’amuse avec sa meilleure amie, danse un peu et s’égare beaucoup ...

Et là, certains se demandent « Mais qui est donc Noah Baumbach ? ».
D’un côté, ce n’est pas bien : c’est ignorer l’existence d’un auteur intéressant.
De l’autre côté, c’est bien : c’est l’occasion de découvrir quelques bons films.
Baumbach, c’est un proche de Wes Anderson (il a bossé sur les scénarios de La vie aquatique et Fantastic Mr. Fox) qui a réalisé une poignée de longs-métrages, notamment ...
- Les Berkman se séparent (The squid and the whale en VO), chronique familiale mélancolique portée par un Jeff Daniels génial arborant la barbe la plus classe de l’univers ! (Wonkley ne me contredira pas

- Greenberg, métrage gravitant autour d’un mec un peu paumé et attachant campé par un Ben Stiller en très grande forme.
- Frances Ha, le film qui nous occupe ici.
Frances Ha ou une succession de saynètes, de tranches de vie emballées de façon minimaliste (photo en noir et blanc, filmage direct).
Une œuvre qui repose avant tout sur les dialogues et les acteurs.
Ça fonctionne du tonnerre, le film possède sa petite magie

Le personnage principal et ultra attachant et bien joué (Greta Gerwig crève l’écran).
Difficile d’en dire plus, si ce n’est que c’est réussi, réjouissant.
Bon film !