L'ex-petite amie du détective privé Doc Sportello surgit un beau jour, en lui racontant qu'elle est tombée amoureuse d'un promoteur immobilier milliardaire : elle craint que l'épouse de ce dernier et son amant ne conspirent tous les deux pour faire interner le milliardaire… Mais ce n'est pas si simple… C'est la toute fin des psychédéliques années 60, et la paranoïa règne en maître. Doc sait bien que, tout comme "trip" ou "démentiel", "amour" est l'un de ces mots galvaudés à force d'être utilisés – sauf que celui-là n'attire que les ennuis.
Inherent Vice - Paul Thomas Anderson - 2015
Modérateur : dino VELVET
Inherent Vice - Paul Thomas Anderson - 2015
- dino VELVET
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Re: Inherent Vice - Paul Thomas Anderson - 2015
Inratable pour moi
"If you don't know Jurassic Park, you don't know shit"
"Il a les yeux blindés"
"Now I've got a machine gun ho ! ho ! ho !"
"Are you gonna bark all day, little doggie, or are you gonna bite ?"
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Re: Inherent Vice - Paul Thomas Anderson - 2015
Et bien moi je crois qu'il va falloir que j'attende qu'il soit dispo sur le net en hd car au cinéma, ils n'ont pas encore prévu de le diffuser en vf.
- peter wonkley
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Re: Inherent Vice - Paul Thomas Anderson - 2015
Je pense plutôt que je vais adoré oui car la bande annonce me donne terriblement envie mais en vost c'est juste inimaginable.
- peter wonkley
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Re: Inherent Vice - Paul Thomas Anderson - 2015
Reparlons-en !
Curieux objet filmique
Pour schématiser (beaucoup), on pourrait dire que Inherent Vice se situe quelque part entre certaines œuvres des frères Coen et Las Vegas Parano, avec un soupçon de Wes Anderson.
Voici un film étrange qui vous donne une bizarre sensation de flottement.
C’est typiquement un titre à visionner tard, fatigué ou ... sous l’emprise de psychotropes
Un truc dans lequel il faut s’immerger, se laisser emporter.
On navigue entre dimension méta (la narratrice), ruptures tonales (drôle et léger, le film devient parfois subitement dur et violent) et seconds rôles étonnants (Martin Short, Belladonna ! ).
C’est une œuvre paradoxale : elle dégage une impression de nonchalance alors qu’elle est particulièrement maîtrisée (la composition minutieuse de chaque plan, l’utilisation de la bande-originale, le travail sur la photographie, etc.).
Pour ma part, je n’ai pas été totalement séduit mais j’ai trouvé l’expérience intéressante (j’imagine que certains se feront copieusement chier devant ce film ... ).
A mes yeux, le résultat est en tout cas bien supérieur à The Master, le premier Paul Thomas Anderson qui m’avait chagriné.
Curieux objet filmique
Pour schématiser (beaucoup), on pourrait dire que Inherent Vice se situe quelque part entre certaines œuvres des frères Coen et Las Vegas Parano, avec un soupçon de Wes Anderson.
Voici un film étrange qui vous donne une bizarre sensation de flottement.
C’est typiquement un titre à visionner tard, fatigué ou ... sous l’emprise de psychotropes
Un truc dans lequel il faut s’immerger, se laisser emporter.
On navigue entre dimension méta (la narratrice), ruptures tonales (drôle et léger, le film devient parfois subitement dur et violent) et seconds rôles étonnants (Martin Short, Belladonna ! ).
C’est une œuvre paradoxale : elle dégage une impression de nonchalance alors qu’elle est particulièrement maîtrisée (la composition minutieuse de chaque plan, l’utilisation de la bande-originale, le travail sur la photographie, etc.).
Pour ma part, je n’ai pas été totalement séduit mais j’ai trouvé l’expérience intéressante (j’imagine que certains se feront copieusement chier devant ce film ... ).
A mes yeux, le résultat est en tout cas bien supérieur à The Master, le premier Paul Thomas Anderson qui m’avait chagriné.
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Re: Inherent Vice - Paul Thomas Anderson - 2015
peter wonkley a écrit :et tu risques de détester
u ribellu a écrit :Je pense plutôt que je vais adoré oui car la bande annonce me donne terriblement envie mais en vost c'est juste inimaginable.
J'ai hâte d'avoir l'avis de ribellupeter wonkley a écrit :on en reparlera
Je pense un peu comme pete sur le coup, surtout après avoir lu l'avis de Dino
Re: Inherent Vice - Paul Thomas Anderson - 2015
Pour ça il faudrait que je le chope en true-french mais il semble qu'aucune copie n'existe et la version vfq non merci, j'ai essayé mais j'ai coupé au bout de quinze minutes tellement le doublage était insupportable.