
Philippe Fournier, dit Paco, décide de ne pas ramener ses fils de 6 et 7 ans à leur mère qui en avait obtenu la garde.Enfants puis adolescents, Okyesa et Tsali Fournier vont rester cachés sous différentes identités. Greniers, mas, caravanes, communautés sont autant de refuges qui leur permettront de vivre avec leur père, en communion avec la nature et les animaux.Traqués par la police et recherchés sans relâche par leur mère, ils découvrent le danger, la peur et le manque mais aussi la solidarité des amis rencontrés sur leur chemin, le bonheur d'une vie hors système : nomades et libres.Une cavale de onze ans à travers la France qui va forger leur identité.
Mouais ...

Bof, bof, bof.
Le sujet est relativement intéressant, le traitement l’est beaucoup moins.
J’ai trouvé ça plat.
Sur le fond, sur la forme.
C’est plan-plan, pépère, sans risque(s), sans réel point de vue.
Dommage.
En tout cas, Kassovitz est excellent dans le rôle de ce père qui veut le bien de ses enfants d’une façon ... assez discutable.
C’est con, mais j’ai un peu pensé au personnage de Noé campé par Russel Crowe dans le film d’Aronofsky.
L’entêtement à toute épreuve sans doute

Pour moi, le seul truc vraiment bien dans Vie sauvage, c’est cette prestation de Kasso’ (c’est d’ailleurs la raison pour laquelle j’ai voulu le voir).
A part ça, c’est sans intérêt.