Oh le vilain foirage !
Un matériau en or massif. Un résultat tout pourri. Cherchez l’erreur …
J’ai beaucoup peiné pour aller jusqu’au bout des dix épisodes de cette saison 1.
C’est
mainstream, laborieux, pénible.
Pas king-ien pour deux sous (un comble !).
Avec tout ce qu’on pouvait puiser de bon dans les écrits de King, pourquoi donc nous faire un truc pseudo-mystérieux qui lorgne vaguement vers
Lost (Terry O’Quinn fait le lien) et
Fringe (dimensions parallèles, personnage en doublon et lac gelé) ?
Et ce n’est pas en jouant à fond la carte du fan service (l’ensemble est truffé de clins d’œil plus ou moins heureux) qu’on fera passer la pilule.
Non,
Castle Rock est un ratage complet