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Sa famille massacrée par les tueurs d’un clan ninja, Osaki fuit le Japon, accompagné de son jeune fils. Installé aux Etats-Unis, in croit pouvoir démarrer une nouvelle vie. Rapidement, Osaki se rend à l’évidence qu’il est manipulé, utilisé à son insu dans un vaste trafic de cocaïne. Trahi, menacé des pires représailles, il ressort d’une cache secrète l’équipement complet du ninja qu’il a été et qu’il n’a jamais cessé d’être, prêt à se battre contre ses anciens frères d’armes.

1983.

Deux ans après L'implacable ninja, Mémé et Yoyo continuent à exploiter ce filon populaire avec Ultime violence aka Revenge of the ninja.

Le duo confie cette fois la réalisation à Sam Firstenberg (spécialiste du film non-oscarisé ) et recycle l'acteur Shô Kosugi (ce coup-ci dans le rôle du gentil).

Avec Ultime violence, on sombre à fond dans le grand n'importe quoi.

Au programme : scénario nawak et grands moments WTF.

On aura droit, par exemple, au gamin ninja (Kane Kosugi, fils de vous savez qui) et à la mamie ninja (dans une séquence qui vaut son pesant de cacahuètes).

Les (nombreuses) scènes d'action sont juste ultra navrantes.

Bref, nous sommes bien en présence d'un nanar certifié.

Les amateurs s'en délecteront comme il se doit.