Un film que je voulais voir depuis mille ans et que j’ai enfin découvert il y a peu !Séquestré depuis sa naissance par sa mère, Bubby ignore tout du monde extérieur qu’il croit empoisonné. L’arrivée de son père, dont il était tenu éloigné, va bouleverser sa vie. Le jour de ses 35 ans, Bubby va enfin sortir. Il découvre un monde à la fois étrange, terrible et merveilleux où il y a des gens, de la pizza, de la musique et des arbres.
Voici une œuvre assez indescriptible (je ferai donc court), étrange et singulière.
Inventif et libre, le film est imprévisible (on ne sait jamais où va nous emmener la séquence suivante), biscornu, mais cohérent dans sa folie.
Le parcours bizarroïde, glauque et poétique de Bubby donne lieu à une sorte de fable particulièrement tordue, sacrément perchée.
Je ne sais pas si j’ai vraiment aimé (le visionnage de la chose reste inconfortable et quelque peu déplaisant) mais je suis heureux de l’avoir enfin vu
