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Navire marchand, le Demeter doit transporter une cargaison privée, composée de 50 caisses en bois, des Carpates à Londres. Accablé par d’étranges événements, l’équipage du Demeter tente de repousser une présence impitoyable qui les assaille chaque nuit. Quand le navire atteint enfin la côte anglaise, ce n’est plus qu’une épave délabrée et calcinée, sans un seul survivant à bord.

Déçu ! Déçu ! Déçu !

Le film partait pourtant d’un bon pied car :

1/ j’aime bien le travail d’Andre Ovredal (j’adore Troll Hunter et The Jane Doe Identity),

2/ le pitch était intéressant (prendre juste une petite partie du roman Dracula et en tirer un long-métrage entier).

Hélas, si Ovredal fait correctement son boulot, le scénario, lui, tire sacrément à la ligne.

J’ai trouvé l’intrigue convenue et répétitive.

En dépit de deux ou trois moments vaguement plus réussis que le reste, le film ne dépasse jamais son statut de slasher maritime.

Bref, je me suis copieusement ennuyé devant ce Dernier voyage du Demeter.

Pas glop !