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20 minutes a écrit :« On ne parodie bien que ce qu’on aime », déclare Mel Brooks, dans un des suppléments de La Folle Histoire de l’espace. Le cinéaste s’était attaqué au western, au film d’horreur et au cinéma muet avant de se lancer, en 1987, dans la science-fiction.

S’il déclare s’être inspiré pêle-mêle de Star Trek, La Planète des singes, Buck Rogers et autres Flash Gordon, La Guerre des étoiles constitue sa cible principale. « J’ai même envoyé le scénario à George Lucas en lui demandant si rien ne l’offusquait », raconte l’humoriste. Lui-même fan du Shérif est en prison et de Frankenstein Junior, précédentes fantaisies de Brooks, George Lucas lui a laissé carte blanche. Industrial Light and Magic, firme d’effets spéciaux créée pour Star Wars, s’est même chargée de la post-production de La Folle Histoire... Brooks et ses comédiens se sont visiblement bien amusés sur le tournage. Rick Moranis, faux Dark Vador, pouvait cacher ses gloussements sous son casque surdimensionné, mais ses partenaires faisaient rater de nombreuses prises pour cause d’hilarité intempestive. « Nous avons plus ri en faisant ce film que les spectateurs en le voyant », avoue l’acteur George Wyner. Ce n’est pas peu dire car, près de vingt ans après sa sortie, La Folle Histoire de l’espace a autant les faveurs des enfants qui prennent l’intrigue au premier degré que de leurs parents qui se délectent des références à la culture populaire.

Zorg a écrit :Mel Brooks merite l'excommunication pour cette vile hérésie blasphématoire qu'est Spaceballs

JOJO a écrit :

Zorg a écrit :Mel Brooks merite l'excommunication pour cette vile hérésie blasphématoire qu'est Spaceballs