. Avec un petit chouchou, le sketch "Stink Bomb" bourré d'humour. 
TOP MOVIES (volume 3)
Modérateur : dino VELVET
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wang85
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Memories (8/10) : trois sketchs, trois ambiances mais un même plaisir . Avec un petit chouchou, le sketch "Stink Bomb" bourré d'humour.
. Avec un petit chouchou, le sketch "Stink Bomb" bourré d'humour. La Wangothèque pas à jour
"We don't stop playing because we grow old;
We grow old because we stop playing."
- George Bernard Shaw
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Lol je n'ai jamais dit que c'était inconpatible, je n'ai pas du tout aimé ce film, et vu que ce sont deux films que l'on se plait à comparer, je n'ai pu m'empêcher de flatter l'amour propre de Snake (sa réaction fut d'ailleurs sans aucune supriseright hand of doom a écrit :Non mais n'importe quoi.SamReVolt a écrit :- TOKYO FIST (9/10): découverte de l'univers de Tsukamato (comme le dit si bien Dionnet-sensei), et ce fut la baffe de chez baffe. Il nous offre au travers de cette introspection sado-maso un pure bijou et n'en déplaise à certains, ça change de cet étron qu'est Fight Club (ce n'est pas Snake qui va me contredire)
Moi j'aime autant Fight Club que Tokyo Fist.
) 
Le DVD est déjà dans le lecteur depuis hierright hand of doom a écrit :PS : Sam il faut que tu regardes Bullet Ballet tu vas prendre une autre grosse claque.
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wang85
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When We Were Kings (8/10) : Un fantastique documentaire remplis de personnages "Bigger Than Life" 
. Et quel phénomène ce Ali
. Et quel phénomène ce Ali La Wangothèque pas à jour
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Le Géant de Thessalie : Peplum ritalien signé Riccardo Freda et vieux comme Hérode. Du "muscle-opera" comme l’Italie en a produit pendant des années avec un Jason bodybuildé et huileux. Le tout est un peu bancal malgré de bons acteurs, ça péte de couleurs vives et les effets spéciaux sont honteux. Sans oublier les décors en carton. Le DVD n’arrange rien, un master cracra avec des couleurs qui clignotent parfois (???) et une piste VF uniquement. On est loin de Jason et les Argonautes et du travail de Ray Harryhausen (ah ah le King Kong borgne comment il est trop biiidon).
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pologeof
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Mariages : 6.5/10
Starsky et Hutch : 8/10 (tro fun j'adore )
Van Helsing : 5/10 (franchement décu ...
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pologeof
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oups me suis trompé... 
je reposte sur le bon sujet
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wang85
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Le Privé (7,5/10) : Elliot Gould est excellent en détective privé .
A noter pour l'anecdote une des premières apparitions d'Arnold Schwarzennegger en garde du corps avec une très sayante moustache .
.A noter pour l'anecdote une des premières apparitions d'Arnold Schwarzennegger en garde du corps avec une très sayante moustache
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Dracula : Tod Browning et Bela Lugosi dans ce chef d’oeuvre intemporel du film d’horreur gothique. Tout le mythe est là, de Mina au professeur Van Helsing en passant par monsieur Renfield (campé par un sinistre Dwight Frye). Même les répliques ont traversés les ages ("Blood is life", "i never drink… wine"). Magique.
Frankenstein : James Whale et Boris Karloff pour un autre chef d’oeuvre de la Universal. L’histoire d’un docteur mégalo décidé à devenir l’égal de Dieu et de trouver le mystère de la vie. Fort d’une formation de couturière, il déterre les morts et décroche les pendus pour recomposer un puzzle d’humain. Un jeu d'ombres diabolique dans un cadre macabre, à nouveau l'étrange Dwight Frye (dans le rôle de Fritz) et évidemment Karloff, icône monstrueuse, pathétique et faible, épeuré et chassé parce qu’horrible. La scène du père au regard vide portant sa petite fille noyée qui passe dans une rue en fête et qui laisse tous les badauds saisis d’effroi au passage du cadavre de l’enfant est saisissante.
Pour ceux qui en doutaient encore : Tim Burton, en plus de vénérer Le Masque du Démon, adore Frankenstein au point d’en reprendre le final, le moulin à vent en flammes, dans son Sleepy Hollow
Ces deux dvds proposent des bonus intéressants notamment deux reportages de presque une heure sur les mythes de ces figures emblématiques du film d’horreur. Le DVD de Frankenstein propose un court métrage comique mais pas très drôle (d’époque on dirait) : Boo !, melting-pot de Nosferatu de Murnau, Frankenstein, Dracula et qui forme une histoire débile…
O Brother : Un nouvel ampli et des sonorités nouvelles, ça donne envie de se refaire toute sa filmothèque. Chose que je me suis décidé à faire quand j’ai le temps. O Brother, ça doit être la troisième ou quatrième fois que je le vois et j’en ressors toujours un peu plus émerveillé. Un film original et drôlissime avec un trio d’acteurs excellents.
Frankenstein : James Whale et Boris Karloff pour un autre chef d’oeuvre de la Universal. L’histoire d’un docteur mégalo décidé à devenir l’égal de Dieu et de trouver le mystère de la vie. Fort d’une formation de couturière, il déterre les morts et décroche les pendus pour recomposer un puzzle d’humain. Un jeu d'ombres diabolique dans un cadre macabre, à nouveau l'étrange Dwight Frye (dans le rôle de Fritz) et évidemment Karloff, icône monstrueuse, pathétique et faible, épeuré et chassé parce qu’horrible. La scène du père au regard vide portant sa petite fille noyée qui passe dans une rue en fête et qui laisse tous les badauds saisis d’effroi au passage du cadavre de l’enfant est saisissante.
Pour ceux qui en doutaient encore : Tim Burton, en plus de vénérer Le Masque du Démon, adore Frankenstein au point d’en reprendre le final, le moulin à vent en flammes, dans son Sleepy Hollow
Ces deux dvds proposent des bonus intéressants notamment deux reportages de presque une heure sur les mythes de ces figures emblématiques du film d’horreur. Le DVD de Frankenstein propose un court métrage comique mais pas très drôle (d’époque on dirait) : Boo !, melting-pot de Nosferatu de Murnau, Frankenstein, Dracula et qui forme une histoire débile…
O Brother : Un nouvel ampli et des sonorités nouvelles, ça donne envie de se refaire toute sa filmothèque. Chose que je me suis décidé à faire quand j’ai le temps. O Brother, ça doit être la troisième ou quatrième fois que je le vois et j’en ressors toujours un peu plus émerveillé. Un film original et drôlissime avec un trio d’acteurs excellents.
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wang85
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Disjoncté (8/10) : Un de mes Jim Carrey préférés. Dans ce film réalisé par Ben Stiller, il montre l'étendue de son talent. De plus le film est parsemé de scènes cultes (le resto Moyen Age, le Karaoké...)
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Zorg
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Bon, je rattrape un retard colossal.
- Far From Heaven : une Julianne Moore fantastique dans ce drame fort sympathique qui nous plonge au coeur des fifties (la reconstitution est impressionnante). Le film dégage un charme completement surrané assez sympa, on a vraiment l'impression qu'il a été tourné à l'epoque. Mon seul regret vient de la collision des deux intrigues (le mari qui quitte sa femme pour un homme et la love story avec le jardinier noir) qui aurait mérité un film chacun. La rencontre des deux donne un peu (bcp) l'impression que ca fait beaucoup trop pour le film et pour les frêles épaules de cette femme brisée. Ce qui est d'autant plus dommage que tout est remarquable de justesse et de finesse, d'où mon sentiment qu'il n'aurait été encore mieux de faire deux histoires différentes.
7.5/10
- La Planète des Singes 1967 : un classique de la SF qui n'a pas tant vieilli que ca mine de rien. Bon au début, on rigole de certains effets completement dépassés, mais on se laisse bercer doucement. Le film est un peu dédié a la gloire de Charlton HEeton, la superstar de l'epoque, mais la reflexion sur la nature humaine tient qd meme sacrement bien la route. Reste que cette version est au moins aussi fidele au bouquin que la version de Tim Burton, ce qui me désespere toujours autant de voir une VRAIE adaptation de cet authentique chef d'oeuvre, universel, de la littérature SF
7/10
- The Fog : un bon p'tit Carpenter des familles. L'histoire tient sur un ticket de métro, on retrouve toutes les constantes de Big John, mais ca reste relativement efficace meme de nos jours. Les effets speciaux tiennent aussi encore la route malgre les ravages du temps.
6/10
- Destination Finale : un premier opus qui avec le recul (et la vision recente du 2e) souffre d'un rythme completement haché, limite chiant à vrai dire. On s'emmerde copieusement entre les scenes où les gens meurent qui sont elles meme bcp trop courtes. une relative déception au vu de sa suite, bcp plus rythmee et du capital sympathie dont bénéficiait le film dans mon souvenir.
5/10
- Créatures célestes : un Peter Jackson assez surprenant et que je n'avais pas vu jusqu'alors. On reconnait immédiatement le style caractéristique de PJ dans ce drame tiré d'un fait divers sordide, mais je ne me suis pas plus emballé que ca pour l'histoire, meme si C interprété avec justesse et finement raconté. Et y'a pas à dire, l'anglo-saxon est vraiment une espèce à part.
6/10
- Battle Royale 2 : un déchainement hystérique de violence gratuite au service d'un propos douteux. Le cynisme et la satire au vitriol du premier a laissé la place à un pseudo-pamphlet anarchiste anti-américain assez difficile à avaler et à cautionner, meme si y'a beaucoup a dire sur leur politique internationale. La fin confine d'ailleurs au ridicule le plus total.
3/10
- El crimen del Padre Amaro : les ravages de l'hypocrisie du clergé catholique dans le mexique profond contemporain (le livre dont le film est tiré a été écrit en 1875, mais l'adaptation située en 2002 est parfaitement d'actualité). L'histoire confronte plusieurs pretres a leurs responsabilités, a leur culpabilité, à la corruption, à des choix impossibles, en tant que gardiens d'une communauté isolée et encore relativement arriérée. C'est remarquable de finesse et l'interprétation est remarquable. A noter que le film a eu un succès retentissant dans son pays d'origine (le mexique donc).
8/10
- Far From Heaven : une Julianne Moore fantastique dans ce drame fort sympathique qui nous plonge au coeur des fifties (la reconstitution est impressionnante). Le film dégage un charme completement surrané assez sympa, on a vraiment l'impression qu'il a été tourné à l'epoque. Mon seul regret vient de la collision des deux intrigues (le mari qui quitte sa femme pour un homme et la love story avec le jardinier noir) qui aurait mérité un film chacun. La rencontre des deux donne un peu (bcp) l'impression que ca fait beaucoup trop pour le film et pour les frêles épaules de cette femme brisée. Ce qui est d'autant plus dommage que tout est remarquable de justesse et de finesse, d'où mon sentiment qu'il n'aurait été encore mieux de faire deux histoires différentes.
7.5/10
- La Planète des Singes 1967 : un classique de la SF qui n'a pas tant vieilli que ca mine de rien. Bon au début, on rigole de certains effets completement dépassés, mais on se laisse bercer doucement. Le film est un peu dédié a la gloire de Charlton HEeton, la superstar de l'epoque, mais la reflexion sur la nature humaine tient qd meme sacrement bien la route. Reste que cette version est au moins aussi fidele au bouquin que la version de Tim Burton, ce qui me désespere toujours autant de voir une VRAIE adaptation de cet authentique chef d'oeuvre, universel, de la littérature SF
7/10
- The Fog : un bon p'tit Carpenter des familles. L'histoire tient sur un ticket de métro, on retrouve toutes les constantes de Big John, mais ca reste relativement efficace meme de nos jours. Les effets speciaux tiennent aussi encore la route malgre les ravages du temps.
6/10
- Destination Finale : un premier opus qui avec le recul (et la vision recente du 2e) souffre d'un rythme completement haché, limite chiant à vrai dire. On s'emmerde copieusement entre les scenes où les gens meurent qui sont elles meme bcp trop courtes. une relative déception au vu de sa suite, bcp plus rythmee et du capital sympathie dont bénéficiait le film dans mon souvenir.
5/10
- Créatures célestes : un Peter Jackson assez surprenant et que je n'avais pas vu jusqu'alors. On reconnait immédiatement le style caractéristique de PJ dans ce drame tiré d'un fait divers sordide, mais je ne me suis pas plus emballé que ca pour l'histoire, meme si C interprété avec justesse et finement raconté. Et y'a pas à dire, l'anglo-saxon est vraiment une espèce à part.
6/10
- Battle Royale 2 : un déchainement hystérique de violence gratuite au service d'un propos douteux. Le cynisme et la satire au vitriol du premier a laissé la place à un pseudo-pamphlet anarchiste anti-américain assez difficile à avaler et à cautionner, meme si y'a beaucoup a dire sur leur politique internationale. La fin confine d'ailleurs au ridicule le plus total.
3/10
- El crimen del Padre Amaro : les ravages de l'hypocrisie du clergé catholique dans le mexique profond contemporain (le livre dont le film est tiré a été écrit en 1875, mais l'adaptation située en 2002 est parfaitement d'actualité). L'histoire confronte plusieurs pretres a leurs responsabilités, a leur culpabilité, à la corruption, à des choix impossibles, en tant que gardiens d'une communauté isolée et encore relativement arriérée. C'est remarquable de finesse et l'interprétation est remarquable. A noter que le film a eu un succès retentissant dans son pays d'origine (le mexique donc).
8/10