Idem...Colonel Kurtz a écrit :pas encore vu !
Munich - Steven Spielberg - 2006
Modérateur : dino VELVET
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Un nouveau tres bon Spielberg pour ma part. Les 2h40 sont passés sans probleme.
Alors oui, on peut lui reprocher comme le font certains de donner un coup de couteau dans l'eau en développant l'idée que la violence engendre forcement la violence, et a fortiori sur un sujet ou concretement personne n'a plus de torts ou de raisons que celui d'en face.
En même temps, si on cesse de dire que la violence est vaine et stupide, on fait pas nous plus beaucoup avancer les choses.
Sinon, d'un point de vue cinematographique, j'azi trouvé la mise en scène superbe, les acteurs très bon, surtout Avner, et une prestation remarquée des français.
La mise en parallèle de la prise d'otage et du massacre de ses auteurs est finement joué. Cela évite justement un parti pris pro israelien ou pro palestinien que pourtant beaucoup trouve qd meme à lui rapprocher Et j'ai beaucoup aimé le parralèle au début du film entre les photos des victimes israeliennes de la prise d'otages et les futurs victimes palestiniennes de la vengeance du Mossad.
Par contre, et comme tout le monde je pense, j'ai eu du mal avec le côté: on fait du vélo en Hollande, on porte un bérêt en France, (j'ai eu peur un instant qu'ils roulent en 2chevaux ou en DS) etc...
Alors oui, on peut lui reprocher comme le font certains de donner un coup de couteau dans l'eau en développant l'idée que la violence engendre forcement la violence, et a fortiori sur un sujet ou concretement personne n'a plus de torts ou de raisons que celui d'en face.
En même temps, si on cesse de dire que la violence est vaine et stupide, on fait pas nous plus beaucoup avancer les choses.
Sinon, d'un point de vue cinematographique, j'azi trouvé la mise en scène superbe, les acteurs très bon, surtout Avner, et une prestation remarquée des français.
La mise en parallèle de la prise d'otage et du massacre de ses auteurs est finement joué. Cela évite justement un parti pris pro israelien ou pro palestinien que pourtant beaucoup trouve qd meme à lui rapprocher Et j'ai beaucoup aimé le parralèle au début du film entre les photos des victimes israeliennes de la prise d'otages et les futurs victimes palestiniennes de la vengeance du Mossad.
Par contre, et comme tout le monde je pense, j'ai eu du mal avec le côté: on fait du vélo en Hollande, on porte un bérêt en France, (j'ai eu peur un instant qu'ils roulent en 2chevaux ou en DS) etc...
Et quand ils vinrent pour moi, il n'y avait plus personne pour crier...
Superflo, toujours là quand il faut!!!
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Vu à cet aprèm, je quote une partie du texte de Zorg, qui se rapproche le plus de mon avis personnel. Il y a aucune emotion effectivement et a un moment on décroche du film, non pas parce qu' il est trop long (je trouve) mais parce que Spielberg n' arrive pas à nous captiver et que son film est froid.
Par contre un floppé de très grands acteurs !!! Kassovitz dedans de mon coté La palme revient à Bana Seul bémol, Yvan Attal qui en fait beaucoup trop Pas un mauvais film néanmoins Le reste Zorg la dejà dit
Note : 6.5/10
Par contre un floppé de très grands acteurs !!! Kassovitz dedans de mon coté La palme revient à Bana Seul bémol, Yvan Attal qui en fait beaucoup trop Pas un mauvais film néanmoins Le reste Zorg la dejà dit
Note : 6.5/10
Zorg a écrit :y'a absolument aucune émotion, c'est froid au possible, pour ne pas dire ridicule par moments.
En fait, il semble décidé à raconter les faits sans imagination, sans réel enjeu. C'est froid, comme la photo par moment beaucoup trop appuyée de Janusz Kaminski, c'est dépourvu de la moindre émotion et je me suis ennuyé ferme au bout d'un certain temps.
Maintenant tout n'est pas totalement noir, surtout grace au casting de luxe, emmené par un Eric Bana qui prend de plus en plus d'envergure avec le temps, délivre une interprétation de haute volée, à l'exception de notre Mathieu Kassovitz national, proprement transparent. Heureusement qu'il y a Michael Lonsdale (et Mathieu Amalric aussi, mais moins) pour faire pencher la balance tricolore du bon coté.
La reconstitution est aussi tres soignée, mais on fait pas un film qu'avec des cols pelle à tarte et des DS20.
"Le monde est un bel endroit, qui vaut la peine qu'on se batte pour lui,Je suis d'accord avec la seconde partie."
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Vu ce soir,
Le 5 Septembre 1972, 11 athlètes israéliens participants aux Jeux Olympiques à Munich sont assassinés par un commando terroriste palestinien appelé Septembre noir... En réponse à cette attaque, Israel met en place une mission secrète dont l'objectif est d'éliminer les membres de l'organisation Septembre noir. Le Munich de Steven Spielberg raconte donc cette traque, basé évidemment sur des faits réels mais aussi quelque peu fictive (et c'est logique) concernant les hommes impliqués dans cette opération appelée Colère de Dieu.
Superbement mise en scène, Spielberg nous livre un grand film qui s'il peut porter à discussion sur le plan politique, marquera tout de même l'année 2006 au cinéma. J'avais une petite crainte au niveau de la longueur du film (2h40) mais à vrai dire Munich n'a aucune longueurs si ce n'est peut-être sur la fin. Comme dans Troie, Eric Bana m'a à nouveau impressionné, sa prestance et son interprétation est des plus réussis. Vraiment dommage qu'il n'est pas été nominé dans la catégorie meilleur acteur pour les prochains Oscars car à mes yeux, il y avait largement sa place. Je retiens aussi les très bonnes interprétations de Daniel Craig et Ciaran Hinds mais je suis moins emballé concernant Mathieu Kassowitz. Certes, cela fait plaisir de le revoir en tant qu'acteur mais son rôle et son jeu m'a semblé un peu trop lisse. On note aussi la présence de quelques acteurs français : Mathieu Almaric intrigue, Michael Lonsdale impressione toujours autant, Yvan Attal ne dispose que d'un tout petit rôle tout comme Valeria Bruni-Tedeschi... Et que dire de Marie-Josée Croze, la québecoise aux formes délicieuses joue deux scènes importantes du film dont une plus que trash. La violence engendre la violence, tel pourrait être le message de Steven Spielberg... Du fait de ses origines juives, on aurait pu croire à une certaine prise de position de sa part mais ce n'est point le cas. Bref, on est vraiment saisis par la reconstitution de la prise d'otages de Munich, ebourrifés par la tension qui se dégage de l'oeuvre et littéralement soufflé par certaines scènes comme la rencontre impromptue et le dialogue qui s'en suit entre les deux groupes terroristes opposés ou encore la scène de baise qui interpelle.
Pas grand chose donc à reprocher à Spielberg, Munich est accessible et ne s'engage qu'en filigrane, le contexte des années soixante-dix est extremement remis en scène (ne pas louper les colonnes Morris dans Paris) et la partie fictive est totalement assumée...
Le 5 Septembre 1972, 11 athlètes israéliens participants aux Jeux Olympiques à Munich sont assassinés par un commando terroriste palestinien appelé Septembre noir... En réponse à cette attaque, Israel met en place une mission secrète dont l'objectif est d'éliminer les membres de l'organisation Septembre noir. Le Munich de Steven Spielberg raconte donc cette traque, basé évidemment sur des faits réels mais aussi quelque peu fictive (et c'est logique) concernant les hommes impliqués dans cette opération appelée Colère de Dieu.
Superbement mise en scène, Spielberg nous livre un grand film qui s'il peut porter à discussion sur le plan politique, marquera tout de même l'année 2006 au cinéma. J'avais une petite crainte au niveau de la longueur du film (2h40) mais à vrai dire Munich n'a aucune longueurs si ce n'est peut-être sur la fin. Comme dans Troie, Eric Bana m'a à nouveau impressionné, sa prestance et son interprétation est des plus réussis. Vraiment dommage qu'il n'est pas été nominé dans la catégorie meilleur acteur pour les prochains Oscars car à mes yeux, il y avait largement sa place. Je retiens aussi les très bonnes interprétations de Daniel Craig et Ciaran Hinds mais je suis moins emballé concernant Mathieu Kassowitz. Certes, cela fait plaisir de le revoir en tant qu'acteur mais son rôle et son jeu m'a semblé un peu trop lisse. On note aussi la présence de quelques acteurs français : Mathieu Almaric intrigue, Michael Lonsdale impressione toujours autant, Yvan Attal ne dispose que d'un tout petit rôle tout comme Valeria Bruni-Tedeschi... Et que dire de Marie-Josée Croze, la québecoise aux formes délicieuses joue deux scènes importantes du film dont une plus que trash. La violence engendre la violence, tel pourrait être le message de Steven Spielberg... Du fait de ses origines juives, on aurait pu croire à une certaine prise de position de sa part mais ce n'est point le cas. Bref, on est vraiment saisis par la reconstitution de la prise d'otages de Munich, ebourrifés par la tension qui se dégage de l'oeuvre et littéralement soufflé par certaines scènes comme la rencontre impromptue et le dialogue qui s'en suit entre les deux groupes terroristes opposés ou encore la scène de baise qui interpelle.
Pas grand chose donc à reprocher à Spielberg, Munich est accessible et ne s'engage qu'en filigrane, le contexte des années soixante-dix est extremement remis en scène (ne pas louper les colonnes Morris dans Paris) et la partie fictive est totalement assumée...
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toujours pas maté ,mais là avec les play off nba toutes les nuits c'est injouable
tiens mes ptits préferés ,les pistons de détroit ont eu chaud hier ,18 pts d'avance à l'entame du 4 ème quart et 2 seulement à 9 sec de la fin
quel suspense,quel sport de malade
Miami-détroit ,1-1
et ça repart pour 2 matchs en floride !
comment ça je suis hors sujet
tiens mes ptits préferés ,les pistons de détroit ont eu chaud hier ,18 pts d'avance à l'entame du 4 ème quart et 2 seulement à 9 sec de la fin
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Miami-détroit ,1-1
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Revu ce soir en DVD.
La reconstitution des seventies est hallucinante, même la réalisation de Spielberg est typée années soixante-dix, c'est impressionnant.
Pour moi, le film est très bon mais il y a une seule fausse note dans cette partition superbement orchestrée : c'est la scène finale dans laquelle Avner fait l'amour à sa femme, je la trouve un peu grossière, comme déplacée. Le film aurait mérité un procédé plus subtil pour montrer que le personnage principal, traumatisé par ses actes, est meurtri et n'arrive plus vraiment à réintégrer sa famille.
La reconstitution des seventies est hallucinante, même la réalisation de Spielberg est typée années soixante-dix, c'est impressionnant.
Pour moi, le film est très bon mais il y a une seule fausse note dans cette partition superbement orchestrée : c'est la scène finale dans laquelle Avner fait l'amour à sa femme, je la trouve un peu grossière, comme déplacée. Le film aurait mérité un procédé plus subtil pour montrer que le personnage principal, traumatisé par ses actes, est meurtri et n'arrive plus vraiment à réintégrer sa famille.
"If you don't know Jurassic Park, you don't know shit"
"Il a les yeux blindés"
"Now I've got a machine gun ho ! ho ! ho !"
"Are you gonna bark all day, little doggie, or are you gonna bite ?"
"Il a les yeux blindés"
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