Laura et son père Wilson s'installent dans une maison à la campagne pour la retaper sur demande de son propriétaire qui souhaiterait la mettre en vente au plus vite. Ils passeront donc la nuit sur place avant de commencer les travaux le lendemain matin. Tout semble se passer pour le mieux avant que Laura n'entende un bruit provenant de l'extérieur mais devenant de plus en plus fort au premier étage de la maison. Wilson s'aventure donc en haut pour voir ce qu'il en est tandis que Laura l'attend seule au rez-de-chaussée ...
Une escroquerie sans nom !
Exemple parfait de film-concept faussement malin. Presque un cas d’école.
Ici, on parle d’un long-métrage tourné en une seule prise et à l’aide d’un appareil photo.
Pourquoi pas ?
Le truc, c’est que ce double procédé formel ne saurait en aucun cas dissimuler la pitoyable qualité artistique de la chose
La casa muda (en VO) est moche et mal branlé (on est loin du gros travail de mise en scène d’un [REC] ).
Script écrit n’importe comment (le personnage du père, la dimension psychologique bidon).
Pas un pet’ de trouille (ça vous en touche une sans faire bouger l’autre).
Actrice nulle
Dès le début visionnage, j’ai eu la sensation que les auteurs prenaient le spectateur pour un con et cherchaient juste à se payer une carte de visite.
Enervant
Pour moi, rien à sauver du naufrage.
Une daube