Alors que la Terre se meurt, un adolescent se lance dans une chasse au trésor. Celle-ci se déroule dans le monde virtuel d'OASIS.
Ready player one - Steven Spielberg - 2018
Modérateur : dino VELVET
Ready player one - Steven Spielberg - 2018
- dino VELVET
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Re: Ready player one - Steven Spielberg - 2018
Spielberg, donc inratable pour moi !
"If you don't know Jurassic Park, you don't know shit"
"Il a les yeux blindés"
"Now I've got a machine gun ho ! ho ! ho !"
"Are you gonna bark all day, little doggie, or are you gonna bite ?"
"Il a les yeux blindés"
"Now I've got a machine gun ho ! ho ! ho !"
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Re: Ready player one - Steven Spielberg - 2018
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Re: Ready player one - Steven Spielberg - 2018
le film est fait pour les ado gamers de 14 ans mais qui possèdent la nostalgie 80's des quasi quinqua, bon avec la génération casimir tout est possible, mais sinon ça se laisse voir, visuellement l'Oasis est moins moche que ne me l'avais laissé craindre la bande annonce, difficile de retenir des morceaux de bravoures tant c'est avance rapide quasi tout le temps, mais le film fourmille de bonnes idées qui font sourire (une sourire affectueux), des moments assez jouissifs quand même, après il faut accepter de faire l'impasse sur une intrigue déjà vu et des événements et personnage totalement prévisibles. Le scénario est un peu à trous béants par moment, mais ça passe. le film reste très fun, aprés il joue la corde facile, nostalgie à tous les étages, musique, films etc, c'est Spielberg donc c'est bien foutu, il ne se moque pas de toi. Quand un film est prévisible à ce point, quelque soit ses qualités, ça m'emmerde un peu pour dire que c'est un très bon film. Voilà je me suis pas ennuyé, passons à autre chose.Un très bon brainless popcorn movie.
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
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Re: Ready player one - Steven Spielberg - 2018
Cet après midi j'ai enfin pu aller le voir et il est fantastique, j'ai adoré tous les clins d'œils aux films et dessins animés de notre enfance.
Bref si vous ne l'avez pas vu, foncez !!!!!!!
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Re: Ready player one - Steven Spielberg - 2018
Du fun, du fun, du fun !
Je préfère le Spielberg moins spectaculaire, mais, dans le genre, c'est un must !
PS: un film taillé pour les écrans XXL !
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PS: un film taillé pour les écrans XXL !
- dino VELVET
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Re: Ready player one - Steven Spielberg - 2018
Une œuvre copieuse et éreintante.
Pour moi, c’est tout sauf le truc régressif et nostalgique beaucoup y ont vu.
Derrière l’aspect « best of facile » se cache une œuvre subversive et plutôt pessimiste.
C’est certes gavé de références (c’est le carburant du film) mais encore faut-il faut savoir observer au-delà
Sur le plan thématique, c’est juste passionnant.
Steven Spielberg ne fait rien moins que nous alerter sur les possibles effets pervers d’une dilution de la culture geek dans l’océan tiède du mainstream.
Car le risque d’appropriation de cette culture alternative par les costards-cravates (un processus – hélas - en marche) signifie forcément une dépossession pour ceux qui l’ont construite.
Le film ne parle que de ça : défendre ce qui fut avant tout une contre-culture (sans pour autant se vautrer dans une nostalgie crasse), ne pas signer un pacte avec le diable.
Le fait que ce soit justement Steven Spielberg qui réalise le film n’est d’ailleurs pas du tout anodin dans la mesure où il est lui-même l’un des grands pourvoyeurs de la pop culture, l’un des artisans majeurs de son essor.
Avec Ready Player One, il dresse donc un constat et nous adresse un avertissement.
Tout ceci, il le fait avec un panache hallucinant.
Ici, le fond et la forme fonctionnent toujours de concert. Imbriqués à un niveau subatomique.
En termes d’action, le film en remontre aux blockbusters actuels (coucou Marvel !) et vient rappeler avec force qui est le patron.
Et puis la porosité entre réel et virtuel n’avait pas été aussi bien traitée depuis l’excellent Summer Wars de Mamoru Hosoda (voyez ce film les amis !).
A l’arrivée, Spielberg nous délivre un spectacle étourdissant et riche.
Avec le temps, Ready Player One risque bien de s’imposer comme une sorte de jalon.
Espérons juste que son message aura été entendu …
Pour moi, c’est tout sauf le truc régressif et nostalgique beaucoup y ont vu.
Derrière l’aspect « best of facile » se cache une œuvre subversive et plutôt pessimiste.
C’est certes gavé de références (c’est le carburant du film) mais encore faut-il faut savoir observer au-delà
Sur le plan thématique, c’est juste passionnant.
Steven Spielberg ne fait rien moins que nous alerter sur les possibles effets pervers d’une dilution de la culture geek dans l’océan tiède du mainstream.
Car le risque d’appropriation de cette culture alternative par les costards-cravates (un processus – hélas - en marche) signifie forcément une dépossession pour ceux qui l’ont construite.
Le film ne parle que de ça : défendre ce qui fut avant tout une contre-culture (sans pour autant se vautrer dans une nostalgie crasse), ne pas signer un pacte avec le diable.
Le fait que ce soit justement Steven Spielberg qui réalise le film n’est d’ailleurs pas du tout anodin dans la mesure où il est lui-même l’un des grands pourvoyeurs de la pop culture, l’un des artisans majeurs de son essor.
Avec Ready Player One, il dresse donc un constat et nous adresse un avertissement.
Tout ceci, il le fait avec un panache hallucinant.
Ici, le fond et la forme fonctionnent toujours de concert. Imbriqués à un niveau subatomique.
En termes d’action, le film en remontre aux blockbusters actuels (coucou Marvel !) et vient rappeler avec force qui est le patron.
Et puis la porosité entre réel et virtuel n’avait pas été aussi bien traitée depuis l’excellent Summer Wars de Mamoru Hosoda (voyez ce film les amis !).
A l’arrivée, Spielberg nous délivre un spectacle étourdissant et riche.
Avec le temps, Ready Player One risque bien de s’imposer comme une sorte de jalon.
Espérons juste que son message aura été entendu …
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