Schizophrenia (Angst)
Modérateur : dino VELVET
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Schizophrenia (Angst)
je viens de voir ça sur un site consacré à Gaspar Noé , quelqu'un aurait-il vu ce film par hasard (encore que ce soit le genre de film que l'on ne voit pas par hasard) ?
ANGST de Gerald Kargl (1983)
Couleurs -
Scénario : Gerald Kargl, Zbigniew Rybczynski
Directeur de la photographie : Zbigniew Rybczynski
Musique : Klaus Schulze
Avec : Rudolf Gotz, Erwin Leder, Silvia Rabenreither, Edith Rosset…
Angst est, selon Gaspar Noé, « très sombre, une sorte de version européenne de Henry, portrait d’un serial killer, mais en beaucoup plus baroque. Il a été interdit un peu partout dans le monde, même en France où il a été le dernier film classé X pour sa violence extrême ».
Angst (Schizophrenia en France et Fear dans le reste du monde) raconte l’histoire d’un homme libéré de prison (où il a passé quatre années) après avoir assassiné une femme âgée. Déjà condamné par deux fois pour meurtre, il décide de traverser l’Autriche. Mais, suite à une nouvelle tentative de meurtre qui échoue, l’homme doit fuir. Il trouve alors refuge dans une maison située à l’écart du monde. Là se trouvent une veuve et ses deux enfants : une adolescente et un jeune homme attardé dans un fauteuil roulant.
Il va tous les massacrer…
Le récit est basé sur l’histoire vraie d’un habitant de Salzbourg Werner Kniesek qui, dans les années 80 avait commis en Autriche un triple assassinat d’une violence inouïe.
La mise en scène de Gerald Kargl est très stylisée : déroulement du récit en temps réel, voix off, utilisation répétée de gros plans, effets gore réalistes, montage complexe, travail sur le son diégétique, cadres composée de façon très stylisée, utilisation de ralenti, caméra flottante…
Une des scène du film utilise en particulier la technique de la caméra fixée au comédien et donnant au spectateur une impression d’ivresse. Il mêle les gros plans des victimes et du meurtrier de manière à ce que le spectateur ne sache plus qui est qui. D’où l’impossibilité dans Angst de s’identifier à qui que ce soit. Kargl force (par sa mise en scène) le spectateur à regarder son film quoi qu’il arrive.
quelques visuels :
ANGST de Gerald Kargl (1983)
Couleurs -
Scénario : Gerald Kargl, Zbigniew Rybczynski
Directeur de la photographie : Zbigniew Rybczynski
Musique : Klaus Schulze
Avec : Rudolf Gotz, Erwin Leder, Silvia Rabenreither, Edith Rosset…
Angst est, selon Gaspar Noé, « très sombre, une sorte de version européenne de Henry, portrait d’un serial killer, mais en beaucoup plus baroque. Il a été interdit un peu partout dans le monde, même en France où il a été le dernier film classé X pour sa violence extrême ».
Angst (Schizophrenia en France et Fear dans le reste du monde) raconte l’histoire d’un homme libéré de prison (où il a passé quatre années) après avoir assassiné une femme âgée. Déjà condamné par deux fois pour meurtre, il décide de traverser l’Autriche. Mais, suite à une nouvelle tentative de meurtre qui échoue, l’homme doit fuir. Il trouve alors refuge dans une maison située à l’écart du monde. Là se trouvent une veuve et ses deux enfants : une adolescente et un jeune homme attardé dans un fauteuil roulant.
Il va tous les massacrer…
Le récit est basé sur l’histoire vraie d’un habitant de Salzbourg Werner Kniesek qui, dans les années 80 avait commis en Autriche un triple assassinat d’une violence inouïe.
La mise en scène de Gerald Kargl est très stylisée : déroulement du récit en temps réel, voix off, utilisation répétée de gros plans, effets gore réalistes, montage complexe, travail sur le son diégétique, cadres composée de façon très stylisée, utilisation de ralenti, caméra flottante…
Une des scène du film utilise en particulier la technique de la caméra fixée au comédien et donnant au spectateur une impression d’ivresse. Il mêle les gros plans des victimes et du meurtrier de manière à ce que le spectateur ne sache plus qui est qui. D’où l’impossibilité dans Angst de s’identifier à qui que ce soit. Kargl force (par sa mise en scène) le spectateur à regarder son film quoi qu’il arrive.
quelques visuels :
"If you don't know Jurassic Park, you don't know shit"
"Il a les yeux blindés"
"Now I've got a machine gun ho ! ho ! ho !"
"Are you gonna bark all day, little doggie, or are you gonna bite ?"
"Il a les yeux blindés"
"Now I've got a machine gun ho ! ho ! ho !"
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Re: Schizophrenia (Angst)
Je croyait que tu allait parler de la comédie musicale de The Whodino VELVET a écrit :je viens de voir ça sur un site consacré à Gaspar Noé , quelqu'un aurait-il vu ce film par hasard (encore que ce soit le genre de film que l'on ne voit pas par hasard) ?
ANGST de Gerald Kargl (1983)
Couleurs -
Scénario : Gerald Kargl, Zbigniew Rybczynski
Directeur de la photographie : Zbigniew Rybczynski
Musique : Klaus Schulze
Avec : Rudolf Gotz, Erwin Leder, Silvia Rabenreither, Edith Rosset…
Angst est, selon Gaspar Noé, « très sombre, une sorte de version européenne de Henry, portrait d’un serial killer, mais en beaucoup plus baroque. Il a été interdit un peu partout dans le monde, même en France où il a été le dernier film classé X pour sa violence extrême ».
Angst (Schizophrenia en France et Fear dans le reste du monde) raconte l’histoire d’un homme libéré de prison (où il a passé quatre années) après avoir assassiné une femme âgée. Déjà condamné par deux fois pour meurtre, il décide de traverser l’Autriche. Mais, suite à une nouvelle tentative de meurtre qui échoue, l’homme doit fuir. Il trouve alors refuge dans une maison située à l’écart du monde. Là se trouvent une veuve et ses deux enfants : une adolescente et un jeune homme attardé dans un fauteuil roulant.
Il va tous les massacrer…
Le récit est basé sur l’histoire vraie d’un habitant de Salzbourg Werner Kniesek qui, dans les années 80 avait commis en Autriche un triple assassinat d’une violence inouïe.
La mise en scène de Gerald Kargl est très stylisée : déroulement du récit en temps réel, voix off, utilisation répétée de gros plans, effets gore réalistes, montage complexe, travail sur le son diégétique, cadres composée de façon très stylisée, utilisation de ralenti, caméra flottante…
Une des scène du film utilise en particulier la technique de la caméra fixée au comédien et donnant au spectateur une impression d’ivresse. Il mêle les gros plans des victimes et du meurtrier de manière à ce que le spectateur ne sache plus qui est qui. D’où l’impossibilité dans Angst de s’identifier à qui que ce soit. Kargl force (par sa mise en scène) le spectateur à regarder son film quoi qu’il arrive.
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Le film décrit les premières et en même temps dernières 24 heures du personnage en liberté. A peine quelques minutes après son relâchement de prison, il se livre à la recherche de victimes. Mais le café près de la prison lui semble trop bruyant, et surtout de par sa localisation, trop en évidence, quoiqu'il y observe deux jeunes femmes. Une femme, chauffeur de taxi, par qui il se fait conduire en dehors de la ville, peut sauver sa vie en lui opposant une violente résistance, et donc en ne réagissant pas ainsi que le meurtrier l'attendait. Il laisse sa valise dans le taxi et s'enfuit à travers champs dans une région qui lui est inconnue jusqu'alors...
que rajouter a part que meme apres 12555 visions, cela reste un choc auditif et visuel (les chanceux qui l'ont vu a gerardmer, ca donne quoi sur grand ecran ?)
COLONEL MAGNE TOI LE FION !!!!!
que rajouter a part que meme apres 12555 visions, cela reste un choc auditif et visuel (les chanceux qui l'ont vu a gerardmer, ca donne quoi sur grand ecran ?)
COLONEL MAGNE TOI LE FION !!!!!