TOP : vos dix casses cinématographiques préférés
Posté : 06.06.2004 - 12:23
Venant de re-voir "BAD BOYS" en dividi, je m'suis dit que pour mon comeback du coté des cinéphiles, un p'tit top s'rait ( p'têt ) le bienvenu
Alors, je vous propose ici de ( nous ) indiquer
VOS CASSES CINÉMATOGRAPHIQUES PRÉFÉRÉS :
10 : "WES CRAVEN PRESENTS DRACULA 2000 ( DRACULA 2001 )" de Patrick Luissier qui aurait pu être bien plus sanglant, vu le sujet et l'objet volé en question, si le réalisateur avait su où aller avec un scénario qui tienne la route, et ce malgrè une déco' passable, car il s'avère être au mordant finalement aussi creux qu'une carrie chez une poule : inexistant.
Comme quoi ( en dehors de spoiler la réinterprétation de l'origine "Juda-Hic" de Dracula spoiler end ) les clichés ont la dent dure
09 : "LES FRÈRES PÉTARDS" de Hervé Palud qui tout en étant le plus portugese mais pas des plus propre s'avère des plus inutiles quand spoiler on voit comment le butin prend la poudre d'escampette spoiler end
08 : "DOBERMANN" de Jan Kounen où, hélas, les casses se répètent et tout en étant explosif se révèlent être des plus simplistes.
Les courses-poursuites et surtout celle du motard qui s'engagent le sauve de la neuvième ou dixième place
07 : "KILLING ZOÉ" de Roger Avary où bien que partant d'un concept tarantinoïde et dans la veine, selon les accroches visuelles, ce casse de drogués complétement défoncés garde un petit coté sympathique et aussi scotchant qu'une dose de crack.
Peut-être les participations françaises dans cette banque française mad in Hollywood
06 : "RIDERS ( TEAM RIDERS )" de Gérard Pirès, casses américains du père du premier taxi bessonien qui dans leurs vitesses, exploits sportifs de ride-surfers au chronomètre impeccabe et sans violence cligne pas mal de l'oeil du coté d'un casse précédent signé Kathryn Bigelow.../...
05 : "THE ITALIAN JOB ( BRAQUAGE À L'ITALIENNE )" de F. Gary Gray", le plus "THE ITALIAN JOB ( L'OR SE BARRE )" de Peter Collinson ou vice-versa pour les plus jeunes.
Mais toujours aussi mini sur ces maxis escapades motorisées.
04 : "BAD BOYS" de Michael Bay qui tient en trois mots et ce pour quelques secondes mais un maximum de plans : osé, rapide, organisé !
03 : "PIÈGE DE CRISTAL ( DIE HARD )" de John McTiernan qui de plus épatant à l'époque, bien que longuet sur la durée d'exécution du vol en lui-même, s'avère être un des classik du cinéma aujourd'hui. Yippee-ki-yay, motherfucker
02 : "POINT BREAK ( EXTRÊME LIMITE )" de Katrhyn Bigelow, le clin d'oeil évident dont je parlais précédemment, l'ancêtre du casse américain de Pirès.
Celui qui sent bon la wax des surfeurs californiens qui n'ont content de voler des centaines de milles se moquent ouvertement du système et des institutions en place
Culottés et déculottés, j'avoue que ces voleurs ont tout de même un coté grisant et hypnotisant
01 : "UNE JOURNÉE EN ENFER ( DIE HARD 3 )" de John McTiernan, qui prouve encore une fois qu'il est le réalisateur des meilleurs casses cinématographiques - avec deux films dans le tiercé de tête.
Le mieux planifié et mieux organisé. Encore mieux que celui du grand frère Grubert tant il semblait impossible de voler tant de tonnes d'or à la barbe de trois jours et au nez de John MacLane
Celui qui méritait de réussir
A vous de proposer les vôtres de casses du siècle, les filles
N'entre pas en liste ce "OCEAN'S ELEVEN" que je n'ai toujours pas vu, mais à la réputation ( excellente, non ? ) déjà pourtant faite
Alors, je vous propose ici de ( nous ) indiquer
VOS CASSES CINÉMATOGRAPHIQUES PRÉFÉRÉS :
10 : "WES CRAVEN PRESENTS DRACULA 2000 ( DRACULA 2001 )" de Patrick Luissier qui aurait pu être bien plus sanglant, vu le sujet et l'objet volé en question, si le réalisateur avait su où aller avec un scénario qui tienne la route, et ce malgrè une déco' passable, car il s'avère être au mordant finalement aussi creux qu'une carrie chez une poule : inexistant.
Comme quoi ( en dehors de spoiler la réinterprétation de l'origine "Juda-Hic" de Dracula spoiler end ) les clichés ont la dent dure
09 : "LES FRÈRES PÉTARDS" de Hervé Palud qui tout en étant le plus portugese mais pas des plus propre s'avère des plus inutiles quand spoiler on voit comment le butin prend la poudre d'escampette spoiler end
08 : "DOBERMANN" de Jan Kounen où, hélas, les casses se répètent et tout en étant explosif se révèlent être des plus simplistes.
Les courses-poursuites et surtout celle du motard qui s'engagent le sauve de la neuvième ou dixième place
07 : "KILLING ZOÉ" de Roger Avary où bien que partant d'un concept tarantinoïde et dans la veine, selon les accroches visuelles, ce casse de drogués complétement défoncés garde un petit coté sympathique et aussi scotchant qu'une dose de crack.
Peut-être les participations françaises dans cette banque française mad in Hollywood
06 : "RIDERS ( TEAM RIDERS )" de Gérard Pirès, casses américains du père du premier taxi bessonien qui dans leurs vitesses, exploits sportifs de ride-surfers au chronomètre impeccabe et sans violence cligne pas mal de l'oeil du coté d'un casse précédent signé Kathryn Bigelow.../...
05 : "THE ITALIAN JOB ( BRAQUAGE À L'ITALIENNE )" de F. Gary Gray", le plus "THE ITALIAN JOB ( L'OR SE BARRE )" de Peter Collinson ou vice-versa pour les plus jeunes.
Mais toujours aussi mini sur ces maxis escapades motorisées.
04 : "BAD BOYS" de Michael Bay qui tient en trois mots et ce pour quelques secondes mais un maximum de plans : osé, rapide, organisé !
03 : "PIÈGE DE CRISTAL ( DIE HARD )" de John McTiernan qui de plus épatant à l'époque, bien que longuet sur la durée d'exécution du vol en lui-même, s'avère être un des classik du cinéma aujourd'hui. Yippee-ki-yay, motherfucker
02 : "POINT BREAK ( EXTRÊME LIMITE )" de Katrhyn Bigelow, le clin d'oeil évident dont je parlais précédemment, l'ancêtre du casse américain de Pirès.
Celui qui sent bon la wax des surfeurs californiens qui n'ont content de voler des centaines de milles se moquent ouvertement du système et des institutions en place
Culottés et déculottés, j'avoue que ces voleurs ont tout de même un coté grisant et hypnotisant
01 : "UNE JOURNÉE EN ENFER ( DIE HARD 3 )" de John McTiernan, qui prouve encore une fois qu'il est le réalisateur des meilleurs casses cinématographiques - avec deux films dans le tiercé de tête.
Le mieux planifié et mieux organisé. Encore mieux que celui du grand frère Grubert tant il semblait impossible de voler tant de tonnes d'or à la barbe de trois jours et au nez de John MacLane
Celui qui méritait de réussir
A vous de proposer les vôtres de casses du siècle, les filles
N'entre pas en liste ce "OCEAN'S ELEVEN" que je n'ai toujours pas vu, mais à la réputation ( excellente, non ? ) déjà pourtant faite